Culture Entrepreneuriale Intrapreneuriat

des relations d'influence, de pouvoir ou de coopération. La Small Business Administration, agence fédérale chargée du soutien aux PME aux Etats-Unis, souligne clairement le rapport entre le fonctionnement d'une organisation et la fonction entrepreneuriale : pour être compétitive sur les marchés internationaux, la grande entreprise transforme ses fonctions internes en unités indépendantes et fait appel très souvent aux petites entreprises spécialisées. Ce processus d'externalisation d'activités

Management des entreprises THEME 1.1 / ENTREPRENDRE ET GERER Séquence 1 : Logique entrepreneuriale et logique managériale I / L’entreprise : structure de type entrepreneuriale ou managériale A /Caractéristiques et enjeux de la logique entrepreneuriale : Le fondement de cette logique : fondée sur la prise de risques, elle consiste pour le manageur à optimiser les ressources qui lui ont été confiées pour générer des profits. Elle implique une capacité à anticiper, à se projeter, innover

Retrouvez les principales caractéristiques de la logique entrepreneuriale. « Entreprendre consiste en premier lieu à repérer des opportunités de développement, puis à prendre les risques nécessaires pour créer l’activité nouvelle correspondante ou dynamiser une activité existante. La logique entrepreneuriale implique donc une capacité à anticiper, à se projeter et à innover. Elle suppose également la mise en œuvre d’un projet entrepreneurial cohérent articulant contraintes, compétences et ressources

Cas 1 Festyvet Analyse du contexte Montrez que Jean-Marc Barbier disposait des qualités requises pour créer l’entreprise Festyvet. 1.1 Entreprendre et gérer La logique entrepreneuriale | « Il n’y a pas un caractère d’entrepreneur, mais il faut du caractère pour l’être », Peter Drucker. On peut relever chez Jean-Marc Barbier les qualités nécessaires à la création d’entreprise. Esprit volontaire, dynamisme : il a d’abord fait ses preuves comme manager chez un « grand » du prêt-à-porter

groupes désavantagés visent l’égalité par l’application de programmes et de pratiques entrepreneuriales. Les statistiques indiqueraient qu’une programmation entrepreneuriale dynamique bien ciblée a contribué significativement à l’avancement des femmes en affaires, au gouvernement, et en éducation. Également, l’éthique et l’entrepreneuriat culturel, ont fait progresser la cause de l’égalité tout en préservant les cultures et les traditions des aborigènes, des immigrants, et des communautés artistiques

MANAGEMENT DES ENTREPRISES Thème 1 : Entreprendre et diriger I/ L'esprit et la dynamique de l'entrepreneuriat a) La logique entrepreneuriale Définition : Entrepreneur : Personne physique qui investit des moyens financiers, matériel et humain pour mener un projet économique dans le but de réaliser des profits et d'assurer la survie de l'entreprise. Objectifs : créer une entreprise : *créer une entreprise ex-nihilo (=pure) ; *reprise d'une entreprise ; *relancer une activité

alors d’assurer la pérennité de son entreprise en adoptant une logique managériale de gestion des ressources, des contraintes et des compétences. La logique managériale vise à optimiser l’allocation des ressources existantes alors que la logique entrepreneuriale consiste à créer de nouvelles ressources (humaines, matérielles, financières). I. Les caractéristiques et les enjeux de la logique managériale : 1.1 Qu’est ce qu’un manager ? Le rôle du manager : En s’appuyant sur le système d’information

Devoir de management des Entreprises du 16 decembre 2011 Le Cas LAFARGE Partie 1 : Entreprendre et gerer 1. Caractérisez la logique entrepreneuriale mise en œuvre chez Lafarge et analysez ses enjeux.(4 pts) La logique entrepreneuriale, selon Joseph Schumpeter, est un processus complexe de détection et d’exploitation d’opportunités. Ce processus implique toujours la capacité d'identifier, d'exploiter et de tirer profit des opportunités qui peuvent naître sur un marché et de les exploiter

pourra pas croitre de manière saine et équilibrée sans des compétences en management. En effet, l’entrepreneur qu’il est a besoin de la rigueur et de l’expertise d’un manageur mais aussi de pouvoir déléguer pour se concentrer sur la dimension entrepreneuriale (innovation, évolution du concept) qui est son domaine de prédilection. Un manageur apportera une vision plus claire et sécurisée, une capacité à réaliser les objectifs par une planification rigoureuse, une mobilisation des équipes par une meilleure

notions très voisines de « corporate entrepreneurship » et d’« intrapreneuriat » ne sont pas nouvelles. Les travaux de Burgelman (1983 et 1984) et de Pinchot (1985) nous le rappellent et constituent à la fois des points de départ et des repères dans une littérature qui s’étoffe de jour en jour. L’émergence de ces concepts traduit la nécessité qu’ont les grandes entreprises de s’organiser pour décider et agir d’une façon entrepreneuriale, dans des environnements complexes et changeants. Certains auteurs