Critique De La Politéia D Aristote

Etre citoyen constitue un privilège dans le sens juridique : étymologiquement « la loi privée ». Le gouv. Est assuré par plusieurs organes, qui sont régit par des lois, c’est pourquoi on dit que la cité Grec repose sur 2 éléments fondamentaux : la « Politéia » (Gouvernement, régime politique : ensemble des organes qui vont gérer la vie de la cité, on peut l’apparenter à la Constitution) et les «  nomoi » : ce sont les lois qui fixent les modalités d’exercice des différents organes. Ces régimes pol.

particulièrement dans la cité d’Athènes que les fondements essentiels de la civilisation occidentale se sont forgés : • la politique et notamment le système politique de la démocratie ; • la philosophie (avec de grands philosophes comme Platon, Aristote) ; • la science ; • l’histoire avec Hérodote. Il s’agit de comprendre dans cette séquence ce que signifie être citoyen à Athènes aux Ve et IVe siècles avant J.-C. C’est notamment : • fréquenter des lieux qui sont les centres politiques, économiques

philosophiquement, la politique, l’existence et le temps, la matière et l’esprit, la raison et le réel (la connaissance dans l’ordre de la raison théorique, mais également la dimension pratique de la raison, qui peut être 1 interrogée de manière critique), la démonstration, l’interprétation (les Pensées proposent une multiplicité de points de vue), etc. Pourtant, une objection survient immanquablement : les Pensées en général, ou cette liasse en particulier, rendent-elles véritablement possible une

« Politique » : un terme polysémique Le politique : « Ordre indispensable qui permet aux hommes de vivre entre eux. » Weber Le politique renvoie à la notion de pouvoir, il va pouvoir maintenir un minimum de cohésion, de la vie en société. Selon Aristote, « l’Homme est un animal politique ». La politique : différents sens : - politique publique (action entreprise par une autorité publique (l’Etat) (politique fiscale, de l’emploi, de l’éducation..) ; - la salle politique (= la compétition

constitution. a) elle a des précédents et une signification précise. Il a existé, avant le 18ème siècle, des sociétés où le pouvoir politique était organisé. C'est pourquoi on évoque la notion de constitution pour traduire « politéia » qui servait à décrire l'organisation politique. Aristote a inventé le comparatisme. Son livre d écrit l'histoire et en fait une description indépendamment du temps. On a une description de ce qu'on appelle constitution mais ce qu'il décrivait comme étant une constitution pour

sorte de friabilité générale des sols, même, et peut-être surtout les plus familiers, les plus solides et les plus proches de nous, de notre corps, de nos gestes de tous les jours”20. Et au milieu de cette fragilisation des familiarités, l’acte critique assume toujours une forme parrhèsiastique dans la mesure où il est porteur d’une autre conjugaison de vérité et pouvoir. L’alethurgie créé par l’acte parrhèsiastique éclaire d’une autre lumière le régime de pouvoir présent ainsi que le rapport que

comprendre en conceptualisant le phénomène. Apparait dans des périodes de crise, de détermination politique, période de révolution où il y a souvent des Hommes qui met en Homme providentiel. Le charisme = produit de différentes situations politiques critiques. C’est donc le phénomène à expliquer. Philippe Brau : « Il n’y a pas d’homme politique exceptionnelle mais que des exceptionnelles projections. Il faut croire au charisme. Relation émotionnelle entre le leader et le peuple = illusion héroïque. On

4ème siècle avant notre ère. C’est la période la plus connue car elle voit l’avènement de la démocratie à Athènes, c’est la période des grands législateurs comme Périclès, Dracon ou Solon, c’est l’époque aussi des grands philosophes comme Platon, Aristote. * Epoque hellénistique, de 4ème au 1er Siècle avant notre ère, elle commence par la défaite militaire d’Athènes dans la bataille de Chéronée en 338 avant notre ère. Lorsque l’empire d’Alexandre éclate il est remplacé par les monarchies hellénistiques

peuvent provoquer le sens commun. Il n'y a qu'un seul réel, une fois trouvé on le tient. Ces théories ont connu leur heure de gloire à la fin du XIXe siècle. Depuis, elles ont fait l'objet de vives critiques, en raison notamment des progrès des sciences cognitives. L'idée centrale de la critique est que le réel n'a d'existence que par l'intermédiaire de la pensée, qui permet de construire le réel. Cette approche, qui difficilement contestable du fait des connaissances actuellement apportées par

démocratie. En 322 av Jc, Aristote dans son traité la Politique, définit la cité «elle se caractérise par une sorte de communauté et la participation commune des citoyens à système de gouvernement». La cité ne désigne ni un territoire ni un centre urbain, la cité désigne un groupe d’individus volontairement soumis à une loi commune. Dans les cités grecques, il existe l’idée d’une loi commune permettant aux individus de vivre, qui peut prendre deux formes, la politeia et la nomos (au pluriel nomoi)