Critique De La Politéia D Aristote

qui sera formulé par Aristote. Sous le nom de principe de contradiction. Et donc ce principe est qu’une chose ne peut pas être et être son contraire au même moment et sous le même rapport. Et cet ajout a pour fonction d’introduire un élément qui était absent de Parménide qui est la notion de devenir. Et dans cette notion de devenir il y a un jeu entre l’être et le non être qui était évacué par Parménide et qui au contraire était affirmé par Héraclite son adversaire. Aristote va chercher à concilier

les villes grecques avaient un système constitutionnel propre avec un ensemble d’organes qui assuraient la vie politique de la cité et avaient des lois qui fixaient les modalités selon lesquels les organes étaient constitués. Les organes sont la Politeia (constitution) et la nomoi (loi). II- La crise du VIIème siècle : la tyrannie et la colonisation C’est un système politique avancé et proche des états modernes. L’organisation est possible dans de petites superficies et dans des espaces restreints

l’abstrait au concret. Il faut observer le comportement du citoyen. C’est un disciple de Platon qui va appliquer cette méthode, Aristote. Il n’est pas athéniens, c’est un métèque ; c’est parce qu’il n’est pas citoyen qu’il va observer avec un parfait détachement. Ce point de vue le rend donc compétent pour dessiner le portrait du citoyen idéal. 1) le citoyen idéal Aristote est réaliste et a le sens pratique. Il ne croit pas que le meilleur citoyen soit le plus juste, le plus sage ; pour lui, il

l’individu. Aux USA, bac à sable, toboggans , essaie de monter sur le toboggan,» « try again » échec n’est pas une punition, est un expérience. France « je te lavais dit c’est fait pour les grands. » Ensemble de réflex qui dépendent de la culture. Aristote  « l’homme est naturellement une personne sociable » ce qui signifie que chaque homme est au contact des hommes, ce qui se dispense de cette tendance naturelle non pas par obligation mais pas volonté sont soit des êtres dégradés ou des êtres surhumain

d’occident en 1476. Moyen Age : 476 – XVème siècle Modernité : du 16ème siècle à nos jours Période contemporaine : de nos jours Code d’Hammourabi : Mésopotamie Grande période Athènes : Invention de la politique (Vème et IVème siècle av JC) Aristote a été le précepteur d’Alexandre le Grand qui va conquérir les cités Athéniennes. III et IIème siècle av JC, Rome va conquérir les régions autour de Rome pour fonder l’empire romain. 450 av JC : La loi des XII tables : C’est le point de départ

l’autre coté, le sang et la guerre (POLEMOS). Donc on voit que dans la politique, on a le Bien, le Mal, l’harmonie, la politique est prise entre 2 feux. La POLITEIA est le but final, le POLEMOS est la guerre, ces 2 mots assemblés forment la politique. A partir de ces visions communes, il y a des différences, notamment celle que va introduire ARISTOTE en s’opposant à PLATON. PLATON pense que la politique est la recherche de la meilleure cité, de la politique idéale. Pour lui, la guerre et tout le Mal

par culture, éducation, enseignement, lecture, conversation2. Nous apprenons beaucoup et vite, dans l’éducation, grâce à un enseignement verbal et discursif (sous forme de discours), et, même si c’est un thème venu du fond des âges que celui de la critique qui apprend à se méfier d’un enseignement qui ne rencontrerait pas assez les choses elles-mêmes, force est d’observer que la condition humaine, qui rend urgentes et parfois vitales l’action et la décision en connaissance de cause, rend impossible

Recherche ancienne : une quête ancestrale Dès les premières réflexions sur le pouvoir : Quels moyens d’empêcher un régime tyrannique ? Nécessité de limiter le pouvoir. Constitutionnalisme ancien Référence aux philosophes grecs tels que Platon et Aristote avec le développement de la notion « gouvernement des lois » par opposition au gouvernement des Hommes. Volonté de soumettre les gouvernants aux lois afin d’empêcher la tyrannie et que les gouvernés ne soient pas soumis aux passions humaines. Les

va élaborer une réflexion sur l'organisation de la cité Section 1: le modèle de la cité. C'est du concept de la cité , la polis que dérive la notion de politique ce que les grec appelle la politéia: c'est l'art de gouverner la cité, le groupe social .La Grèce est la première a considéré la politéia n'est pas l'affaire d'un homme désigner mais d'abord l'affaire de tous. Ces la chose qui appartient au citoyen . C sans toute al cité elle même, sa population réduite qui a favorise cela. Dans la

enrichissement des paysans. Athènes devient un foyer culturel : les tyrans appellent, à Athènes, des artistes, des architectes dans une politique de grands travaux. Contenu du progrès économique social, la tyrannie ne va pas laisser que des mauvais souvenirs. Aristote parlait en terme élogieux de la famille des Pisistrate. Par exemple, Napoléon III a pris le pouvoir par un nd coup d’état, il y a eu des centaines de mort, cela a été très violent mais en même temps l’image qu’a laissé le 2 empire dans l’histoire