Connaissance Sans Expérience Sensible

d'évoquer des images (...) Faculté de concevoir, de combiner, de créer (...) Fausse croyance qu'on s'est faite. ». Le mot science vient du mot latin scienta, qui lui, provient de scire qui signifie 'savoir'. La science est « l'ensemble des connaissances » et elle s'apparente donc au savoir. En écrivant cette phrase, Einstein veut nous dire qu'il ne faut pas se limiter à ce qu'on nous enseigne et à ce qu'on nous raconte. Il nous dit qu'il faut dépasser ces limites, qu'il faut casser les normes

> La vérité La culture-PH50 La vérité-PH50 13 > Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? La vérité-PH50 15 es sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? Cette première leçon, qui sert d’introduction à votre cours, porte sur un sujet très important pour la philosophie, dans la mesure où, comme il est dit dans la présentation, la philosophie est fondamentalement soucieuse du réel, de ce qui est vraiment

titulaire de l’agrément pour … (précisez le nombre de un à quatre) enfant(s) âgé(s) de … (précisez l’âge des enfants dont vous pouvez assurer la prise en charge). De par ma formation (et/ou) mon expérience professionnelle (précisez le nombre d'années d'expérience), je possède l'ensemble des connaissances et qualités indispensables pour accueillir et prendre en charge votre (ou vos) enfant(s) chez moi. De plus, mon domicile possède toutes les caractéristiques d’hygiène et de sécurité permettant

a de connaissances, plus le niveau de codage va être abstrait mais plus va être efficace pour la compréhension. MCT va produire un codage qui est superficiel, phonologique (plutôt concret) alors que la MLT va produire un codage plutôt abstrait. Pour distinguer MCT / MLT on fait intervenir un concept : la dissociation Dissociation : on parle de dissociation quand une fonction cognitive est affectée différemment par un facteur expérimental ou bien par une pathologie : la MCT est sensibles aux aspects

tenir pour faux, ce qui n'est que douteux. Le doute comporte plusieurs étapes. Personne n’échappe à son enfance et à ses préjugés. L’opinion, c’est un savoir qui n’est pas fondé. Pour le sceptique, le doute est l’aboutissement. l) La connaissance sensible. Sensible = qui vient des sens (cf. empirisme avec CODILLAC). Le doute cartésien porte d'abord sur les données sensorielles. On sait que nos sens nous trompent quelque fois : par exemple les mirages, les illusions d'optique. Si l'on peut raisonnablement

la vérité, ce serait connaître la réalité telle qu'elle est. Mais à ce projet s'oppose notre subjectivité. Car nous connaissons la réalité à travers l'expérience que nous en avons. Or, cette expérience est subjective. Nous ne connaissons donc pas la réalité telle qu'elle est mais telle que notre expérience nous permet de la connaître. L'expression que l'on entend assez souvent le dit bien "A chacun sa vérité"... Pourtant l'expérience de la vie en société montre que nous avons une certaine entente

le faux apparait de façon différente. ON ne cherche plus une vérité absolue et définitive ! Un des aspects de la nature mathématique de la physique c'est qu'on a affaire à des grandeurs définit mathématiquement. Par ailleurs, quand on fait des expériences, on mesure des grandeurs. Les instruments souffrent d'un certain degré d'imprécision Quand on passe de Aristote a Galilée, on passe d'une physique de lettre a une physique de quantité. La physique d’Aristote est ENTOLOGIQUE. On cherche a comprendre

Aristote (De l'âme, III, 7) => Bien distinguer penser et connaître: connaître c'est déterminer une intuition sensible par un concept. On ne peut donc connaître sans quelque chose sur quoi on s'appuie, sans support sensible, au point que, un concept sans intuition est vide. Une intuition sans concept est aveugle (= Kant). Toute connaissance exige donc un support sensible, une image comme forme sensible d'un objet: la question ne se pose même pas puisque la réponse est dans la question. => Par contre, on

est-il susceptible de coïncider avec la vérité ? L’opinion s’oppose-t-elle radicalement à la connaissance vraie ? Pourquoi tient-on ses opinions pour vraies ? Peut-on dire « à chacun sa vérité » ? Dès lors, comment distinguer le vrai de l’opinion ? Y a-t-il une place pour des vérités subjectives ? De quoi la vérité libère t-elle ? Ne pourrait-on pas considérer l’opinion comme premier degré de connaissance ? ?

Epistémologie: langage et réalité Problème: nos théories scientifiques nous donnent-elles accès à la réalité ? Nos connaissances scientifiques sont-elles vraies ?   Une des principales questions épistémologiques  rapport entre discours, en particulier discours scientifique, et réalité. Théories scientifiques donnent-elles descriptions exactes de la réalité ? Expliquent-elles la réalité ? Si on appelle vérité le fait de dire la réalité dans discours, alors revient à se demander si nous