Conception Marxiste De La Liberté

meurtrier que le nazisme », dit Pierre Hassner. … La révolution d’octobre 1917 est instituée par le parti révolutionnaire marxiste appelé Parti Bolchévique. Elle aboutit à la création de l’Union des républiques socialistes soviétiques en 1922. Son premier leader, Lénine, établit un système idéologique aux ambitions égalitaires, qui évoluera près de 70 ans, de son projet marxiste à son bilan meurtrier. Nous étudierons successivement les aspects politique, économique et culturel de cette dégradation

S.E.S (le 03/02/09) b) Inégalités, moteur de la croissance (voir Doc 20/21 P198) L’enrichissement dans les sociétés démocratiques a été permis par la recherche individuelle du profit (en lien avec le mérite) selon la conception libérale. Dans cette conception, rechercher à tout prix l’égalité serait freiner les incitations des plus productifs et par là empêcher l’enrichissent collectif. Une redistribution trop généralisé serait une desincitation au travail et donc un frein à la croissance. L’inégalité

économiques (classique et néoclassique, keynésien et marxiste). Enfin, deux types de systèmes économiques peuvent exister : le système capitaliste et le système socialiste. PLAN A. La science économique 1. L'objet de la science économique 2. La méthode de la science économique B. Les principaux courants de la pensée économique 1. Le courant libéral : les économistes classiques et néoclassiques 2. Le courant radical : Marx et les marxistes 3. Le courant keynésien C. Les grands systèmes

courant principalement français. Ce terme de physiocrate vient du terme physis (la nature) et kratos (puissance) = gouvernement de la nature (ou par la nature) 1756-1776. Ces termes traduisent à la fois l’importance de l’agriculture et aussi une conception de l’organisation économique comme une harmonie spontanée, un ordre naturel. Cette idée d’ordre est « la métaphore de la ruche » : les abeilles se soumettent d’un commun accord et de leur propre intérêt à l’organisation de la ruche (Dupont de Nemours

des siècles, on va rencontrer un certain nombre de théories par exemple Rousseau évoquera la démocratie directe et la démocratie semi directe, on va trouver aussi des typologies fondée sur la séparation des pouvoirs. On trouve aussi la typologie Marxiste qui fait passer d'un état esclavagiste à un été d'ancien régime puis à un état capitaliste et à un état communiste. Par la suite, on trouve diverses définitions qui vont s'appliquer à la démocratie qui va apparaitre comme le régime appliqué en Europe

3 Entre les deux, il y a donc un rapport de détermination. De l'infrastructure, qui régule l'activité de production, découle la superstructure (les institutions politiques, les lois, la religion, la pensée, la philosophie, la morale). Cette conception marxiste explique le changement social qui est impulsé par les transformations du système de production. Par exemple, la révolution industrielle a contribué à transformer la société féodale en une société industrielle, ce qui implique que l'évolution

Introduction : Dans sa thèse sur Feuerbach en 1845, Max écrit  « Les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde de diverses manières, ce qui importe, c'est de le transformer ». Cette citation reflète la pensée des philosophes et économistes marxiste. Le marxisme c’est la philosophie de Karl Marx et le courant idéologique qui en découle. Marx a une pensé matérialiste de l’histoire. Pour lui les productions spirituelles tels que la religion, l’art, la philosophie, sont déterminés par l’état matériel

société civile A) Les conceptions classiques 1) La philosophie politique de l’état de nature a) Hobbes et Pufendorf : équation entre société civile et Etat b) Locke et Rousseau : début de la connotation économique de la société civile 2) L’économie politique de la société marchande a) Mandeville : légitimation du caractère économique de la société civile b) Adam Smith : théorisation de la société civile comme société marchande B) Les conceptions modernes 1) Hegel et les Marxistes a) Hegel : la société

leur liberté ? L'état permet-il d’enlever toutes les inégalités ou au contraire les creuse-t-il ? Le problème est donc le suivant : En quoi l'État est-il nécessaire ? L’absence d'État pourrait-elle devenir préférable ? Nous verrons tout d’abord que l'État est plus à craindre que l’absence d'État. Puis nous verrons que l'État n’est pas forcement plus à craindre que l’absence d'État. Nous verrons tout d’abord que l'État est plus à craindre que l’absence d'État car il réduit les libertés des individus

et de tout universalisme abstrait  réaction critique vis-à-vis du rationalisme des Lumières. + pensée hégélienne  Hegel (1e moitié du 19e) contre un sectarisme des Lumières qui partage le rationnel et l’irrationnel. Pour lui, il faut réaliser la liberté. Donc toute pensée rationnelle abstraite y est un frein. Marx (2e moitié du 19e) dont pensée est préoccupée du sort du prolétariat. Pour lui, le vrai progrès est un progrès social qui va libérer le travailleur de son aliénation, de son rapport avec