Complicité Lecteur Narrateur

» finals. la justification de la guerre Le massacre est ici moralement et socialement justifié: « infectaient », « coquins » présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. la comptabilité Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les communiqués militaires)

Roi va pouvoir tester son influence vis-à-vis de ses courtisans. "Un tel jour, en tel lieu; ses prévôts y seraient" (alexandrin), l’absence de précisions donne un ton solennel. "Jugez si chacun s'y trouva" (v.11) > intervention du narrateur, complicité avec le lecteur. Il souligne en même temps la toute puissance du roi. "Le prince aux cris s'abandonna" (v.12) > Le lion s'abandonne aux cris de la douleur devant tout le monde: c'est un acteur > satire "Et tout son antre en résonna" (v.13) > retour

[pic] Question 1 : L’incertitude du lecteur sur le rôle des personnages de l’incipit. Chez Balzac, nous ne pouvons pas encore savoir quel rôle joue Michu dans Une Ténébreuse affaire annoncée par le titre, la terreur des deux femmes, la complicité animale de l’homme vert avec son grand chien lui donnent un statut inquiétant. Le chapelier de Simenon est également présenté de façon curieuse. Malgré sa tenue soignée, son visage « d’homme calme », pourquoi est-il le premier personnage

sur « l'harmonie », les « Te Deum » finaux. 2. la justification de la guerre Le massacre est justifié: « infectaient », « coquins » présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. 3. la comptabilité Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les communiqués militaires)

ARGUMENTATIF : convaincre le destinataire TEXTE NARRATIF : * un cadre spatiotemporel précis * un déroulement chronologique (schéma narratif) * des faits vécus : de nombreux faits * des personnages imaginaires * statut du narrateur. REGISTRE : * Registre pathétique : souffrances qui attirent la compassion * Registre Tragique : souffrances suivie par un destin contraire * Registre Epique : exploits guerriers qui provoquent l’admiration et l’effroi * Registre

Les sanctions : Rencontre avec l'ange qui ne rétablie pas Memnon dans l'état d'équilibre Bilan : Ces actions contrastent avec le cadre habituel, merveilleux du conte. Situations ordinaires et expériences familières du lecteur du 18e mais dans un cadre exotique, oriental Memnon est victime d'une farce, une tromperie, une duperie. Axe 2 : Un conte en forme d'apologue, une fable à la mode Fable : assemblage d'actions organisées dans un récit qui ouvre sur une morale

« légère » et « agile » montre sa vivacité + « à grand pas » complément circonstanciel de manière = elle est en mouvement · 6 : rythme binaire, vers court qui mime la simplicité et la rapidité de Perrette · 7 : le narrateur devient interne, rentre dans ses pensées + « notre » = déterminant

| |- Le verbe : mode, temps, aspect, personne |réalité / irréalité du texte, situation dans le temps, durée, type d'énonciation | |- Le sujet / les compléments |quels sont les éléments sujets ? qui est le narrateur ? le personnage agit-il ou subit-il?| |- La ponctuation |ton du texte, rythme | |- La présence éventuelle d'images et de |effet propre à chaque

collection de La Pléiade, synonyme de consécration, d’honneur pour un écrivain. Dans les poèmes du recueil Paroles (1946), Prévert rapporte des scènes inspirées du quotidien banal ou insolite. Avec tendresse ou ironie, sarcasme ou émotion, il conduit son lecteur à tourner vers le monde un regard différent, pour saisir avec une naïveté étonnée la réalité que masquent l’habitude ou l’indifférence. Ecrit en vers libres, le poème intitulé « Familiale » évoque avec une monotonie répétitive la situation de trois

finals. 2. la justification de la guerre Le massacre est ici moralement et socialement justifié: « infectaient », « coquins » présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. 3. la comptabilité Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les communiqués militaires)