Cas Pratique Sur Le Transsexualisme

les actes prouvant l'identification des personnes : 40 2 : Concernant la question du transsexualisme : 40 3 : Concernant les éléments qui composent l'état des personnes physiques : 41 Le nom de famille : 41 Les éléments du nom : 41 Comment s'attribue le nom ? 41 Cas où la filiation est établie simultanément : 41 Cas où la filiation n'est pas établie simultanément à l'égard des deux parents : 42 Cas des enfants nés avant la loi : 42 Le nom de l'enfant devenu majeur : 42 Le nom de la femme

la règle est limitée dans le temps. Ceci concerne : - d’une part les lois dites transitoires qui s’imposent pendant un temps limité entre la loi nouvelle et la loi ancienne. - d’autre part les lois dites de circonstances notamment en cas de crise économique, de pénurie, de guerre. Section II. L’existence de la règle de droit Cette existence de la règle de droit suppose une entrée en vigueur de la loi, mais cette même loi peut s’éteindre. § 1. L’entrée en vigueur

dans un cas particulier serait injuste). Un autre mécanisme est le particularisme législatif. En droit de la famille, le législateur offre souvent plusieurs modèles au justiciable. On laisse le choix, on n’impose pas de modèle familial (Pacs, mariage…) La troisième technique est le recours au standard juridique ou notions cadres qui sont des notions dont les contours ne sont pas définis, ils sont à préciser. Par conséquent le juge à l’intérieur des contours doit déterminer les notions au cas par cas

ne peut être fait. Ne pas confondre l'enfant mort né et l'enfant né vivant mais mort peu de temps après la naissance car ce dernier a été une personne juridique. Simultanément on va établir un acte de naissance et un acte de décès. Paragraphe 2 : Cas particulier de l'enfant simplement conçu Selon l'adage romain, " l'enfant est réputé né chaque fois qu'il y va de son intérêt" ( il n'est pas encore né mais on va le traiter comme si bien qu'il ne soit encore que conçu dès lors qu'il en tire avantage)

systématisation. - Au contact de la convention le droit de la famille devient une collection de droits subjectifs, droits qui sont établis sur chacun des membres de la famille avec des risques de conflits entre les droits subjectifs. Ex : En cas d’accouchement sous X conflit entre 2 droits subjectifs : le droit de la mère à garder son anonymat et le droit de l’enfant à connaître ses origines. Finalement, cette convention qui exalte les droits des individus porte en elle la désagrégation

personnalité juridique dépend de la durée de vie de l’être humain. 1 : Tout être humain a la personnalité juridique. Aujourd’hui, il parait évident que tout être humain à la personnalité juridique est une personne. Mais, ça n’a pas toujours été le cas. A l’époque où existait l’esclavage, les esclaves, bien qu’étant des êtres humains n’avaient pas la personnalité juridique. En effet, ils étaient assimilés à des choses. Ils n’étaient pas sujets de droit mais objets du droit de propriété de leur maître

règles qui s’appliquent aux mœurs…). La règle de droit (ou juridique) est différente de la règle morale, elle se caractérise par : * obligatoire * générale (pas de distinction de race, de sexe…) * abstraite * coercitive (sanction en cas de non respect) Cette règle a plusieurs sources : la loi (au sens formel du terme, c'est-à-dire les règles de conduite adoptées par le parlement), le règlement, la coutume… a) La loi D’après la théorie de la séparation des pouvoirs de Montesquieu

cette diversité, le droit a décidé de supprimer la distinction entre la famille légitime et la famille naturelle. Ordonnance du 4 juillet 2005 a supprimé l’appellation de filiation légitime et naturelle. L’ordonnance de 2005 intervient bien après la pratique du concubinage ou de l’union libre. Le droit nous dit qu’il n’y a plus de différence entre les familles mariage ou hors mariage mais ce n’est pas vrai. Présomption de paternité ne régit que les enfants en mariage. Le concubin d’une femme n’est

parties sont libres d’adhérer ou de refuser cette proposition. Aujourd’hui extrêmement pratiqué dans les affaires familiales, comme les divorces. D- L’arbitrage L’arbitre propose une solution mais il a le pouvoir d’imposer sa décision. Autrement dit, on est dans un mode de règlements des litiges extra-judiciaire et non plus amiable. Parfois des parties contractantes, peuvent prévoir à l’avance qu’en cas de litige, ce litige sera soumis à l’arbitre choisi par les parties. C’est ce que l’on appelle

biens, le patrimoine. On distingue le sujet de droit de l’objet de droit. Cette distinction permet de sauvegarder la dignité de la personne. On peut vendre une chose et en louer une, ce qui n’est absolument pas le cas pour les personnes, distinction qui n’a pas toujours prévalue, en tout cas pas pour tous les êtres humains (esclavage jusqu’à son abolition en 1848, condamnation reprise dans la déclaration des droits de l’homme et dans la Convention des Droit de l’Homme du 4 novembre 1950, tous les être