Cartier Intégration Verticale

stratégique commune des entreprises mondiales. - 1910-1930 : stratégie de spécialisation (présente sur une seule activité, ou développement d’un seul produit. Ex : Entreprise Ford avec la Ford T). - 1930-1950 : stratégie d’intégration verticale (afin de maitriser l’ensemble des étapes de transformation pour réduire les coûts et les délais tout en se développant. - 1950-1980 : stratégie de diversification (on s’installe sur plusieurs marchés). - Depuis 1980 : stratégie de réseaux

Cellini Le groupe Richemont : Ce groupe helvétique, numéro deux mondial du luxe, a pour cœur de métier l’activité de joaillerie dont les montres en font partie. Leurs montres concernent le segment du luxe et de la haute horlogerie. Les marques : - Cartier - Baume & Mercier - Jaeger-LeCoultre - A.Lange & Söhne - IWC - Montblanc - Dunhill - Vacheron Constantin - Piaget - Shanghaiu Tang - Van Cleef & Arpels - Panerai. Le groupe LVMH Louis Vuitton - Moët Hennessy : Groupe français leader

plusieurs produits sur un même nom pour une même clientèle Ex : DIM, NESTLE, SEB Marque-caution : Le nom de la marque est décliné en plusieurs marques liées entre elles Ex : Danone, Danette, Dany Griffe : Signature d’une création originale Ex : YSL, Cartier, Louis Vuitton 4.2) L’internationalisation globalisation ou adaptation 24 CHAPITRE 5 : MARKETING STRATEGIQUE 1° Mettre en avant les missions de l’entreprise 2° Service publique à moindre coûts 3° Elaborer la stratégie dûment 4° Se différencier

.................................................... 111 1. INTÉGRATION DES PRINCIPES DE LA CULTURE EUROPÉENNE ....................................................... 114 1.1. Introduction........................................................................................................................ 114 1.2. Les principes européens pouvant guider une démarche de progrès .................................. 115 1.3. Made in cartier : exemple d’une démarche de progrès continu ...............

L’intégration : Des distributeurs élargissent leur domaine industriel, en investissant dans la fabrication de certains produits qu’ils commercialisent sous leurs marques propres. (Ex : produit économique de Marjane). Ils procèdent ainsi à une intégration verticale en amont afin de mieux contrôler la filière des produits, en particulier le coût de revient et la qualité. Cette stratégie nécessite des capitaux importants. * ------------------------------------------------- Exemple édifiant :

Elle consiste pour l’entreprise à attribuer un nom de marque à une ligne de produits. Elle se justifie par la nécessité de regrouper sous un même nom de marque des produits correspondants à un même thème (ex : collection « montre baignoire » de Cartier), et par la volonté commerciale de l’entreprise de les différencier de son offre globale (diversification de l’offre). Elles sont attribuées à des produits portant le nom du distributeur (ex : produit Carrefour). 4- Les stratégies de marque : Selon

investissement distributeurs. revente du produit un à des allégé pour le Soumise producteur (effectif contraintes de la force de vente (exemple : lois sur ententes, le limité, frais de les transport et de refus de vente). logistique réduits). - Montres Cartier, - Parfums Guerlain, - Réseau de concessionnaires (ex : Renault) ou de franchisés (ex : Gap; Gant…). 42 I- Les stratégies de distribution 2- Stratégies de distribution du distributeur Pendant très longtemps, la stratégie marketing des distributeurs

................................... 45 Ressources impliquées dans l’élaboration et le suivi du plan ..................................... 46 1. Contexte La Loi assurant l'exercice des droits des personnes handicapées en vue de leur intégration scolaire, professionnelle et sociale (L.R.Q., chapitre E-20.1) vise, comme son nom l’indique, à assurer l'exercice des droits des personnes handicapées. Elle s’appuie notamment sur une implication des ministères et de leurs réseaux, des municipalités

des voies de développement, notre définition de la corporate strategy privilégie la notion de diversification de métier alors que certains auteurs parlent de diversification géographique et de diversification verticale, considérant ainsi que l’internationalisation et l’intégration verticale sont des décisions de corporate strategy et non de business strategy. Sur la question de l’internationalisation, notre point de vue est que la globalisation, telle qu’elle est analysée dans le chapitre 8, est

que la confrontation avec le monde occidental rendra nécessaire une intégration des forces vives de la Nation derrière un objectif commun : rattraper l’Occident. On a alors « inventé » un équilibre en élargissant à la nation entière un idéal culturel qui était celui d’une minorité, les samouraïs, et érigé leurs principes en idéaux : contrôle de soi, obéissance et sacrifice. On comprend ainsi mieux l’omniprésence des rapports verticaux, le fameux rapport oyabun/kobun (père/enfant), puisque la cohésion