Capitant Democratie Et Participation

Lost Voters: Participation in EU elections and the case for compulsory voting CEPS Working Document No. 317/July 2009 Anthoula Malkopoulou Abstract The malaise among Europe’s voting citizens with regard to the European Parliament elections casts a shadow over the EU’s commitment to political participation and democratic values. Not only do EU elections hold little political relevance next to national electoral cycles, but voters are also lost in the EU’s labyrinth of accountability. Yet, what

COMMENTAIRE Extrait « Démocratie et participation politique » de René CAPITANT - 1972 INTRODUCTION Ce texte est extrait de Démocratie et participation politique dans les institutions françaises de 1875 à nos jours par René CAPITANT de 1972. Cet ancien ministre de la Justice française s’est toujours soucié de l’indépendance nationale, des conditions d’une véritable démocratie et souhaitait promouvoir la participation politique. La participation devient la pièce maîtresse e la pensée gaullienne

termes de démocratie dans la mesure où la nation étant une personne morale, elle ne peut s’exprimer que par la voie de ses représentants. Ainsi, bien qu’à l’origine le peuple, ou du moins une certaine partie de celui-ci, soit associé à l’exercice du pouvoir à travers l’élection des représentants de la nation, il n’a pas vocation à exercer directement le pouvoir politique qui appartient à cette dernière. Le dogme de la représentation de la volonté générale exclut de fait toute participation directe

leur souveraineté au profit de l'ensemble de l’État fédéral qui représente toutes les entités qu'il englobe sous une seule personnalité internationale. Maurice Croisat, professeur à l'IEP de Grenoble, dans son ouvrage Le Fédéralisme dans les démocraties contemporaines, différencie les notions de fédéralisme et de fédérations. Le fédéralisme correspond aux valeurs, aux idées qui expriment -je cite- « une philosophie compréhensive de la diversité dans l'unité ». Le terme de fédération renvoie simplement

au-dessus des autres, et par conséquent détermine ce que l'on pourrait appelé la physionomie classique de la Ve République, dans laquelle l'élection présidentielle est incontestablement l'élection déterminante et du reste celle qui suscite les taux de participation les plus importants chez les électeurs. Politiquement et symboliquement le Président sous la Ve République est véritablement devenu le centre du système, comme si pesait sur le statut en question une tradition marquée par la tradition royale française

René Capitant, « Régimes parlementaire », Mélanges Carré de Malberg 1933 « La vérité c’est qu’il existe plusieurs régimes parlementaire » affirmait René Capitant dans un de ses articles paru dans les années 1930. René Capitant fut docteur et agrégé des facultés de droit en 1930 à l’université de Strasbourg, et fut professeur de droit à l’université d’Alger. Il fut nommé commissaire à l’Instruction publique par de Gaule du Comité français de la Libération, puis ministre de l’éducation nationale

pour donner les raisons de l'inadéquation de la théorie aux faits, et les causes de l'absorption de la fonction L dans la fonction E. René Capitant explique qu'historiquement la monarchie absolue, ou SP s'est dégradée en en monarchie limitée, pour laisser place au régime parlementaire. La SP n'est donc qu'un simple régime parmi d'autres. Kelsen, La démocratie, insiste sur le caractère anti-démocratique de la SP : « noyau idéologique de la monarchie constitutionnelle », il s'agissait de permettre

nécessaire d’étudier I La Souveraineté dans l’Etat, ou la démocratie, soit les mécanismes qui permettent la souveraineté de l’Etat. Pour enfin, nous tourner vers le la Souveraineté de L’Etat dans les relations Internationales. Afin d’être un Etat pleinement souverain, celui-ci doit tout d’abord acquérir une Souveraineté sur son propre territoire, une souveraineté interne qui se traduit par : I La Souveraineté dans l’Etat, ou la Démocratie. A la Thèse Rousseauiste et de Sieyès. Rousseau nous dit

éléments de démocratie directe qui en découlent, par le biais desquels le peuple, c'est-à-dire l'ensemble des personnes soumises à l'autorité de l'Etat et titulaire du pouvoir souverain selon l'article 3 de la Constitution, y est associé. Autrement dit, il est question ici de rompre avec les régimes ultra-représentatifs de la IIIe et de la IVe république en mettant fin notamment au « régime des partis » et en faisant de la Ve république un régime démocratique incontestable. René Capitant dira de ce

DEMOCRATIE REPRESENTATIVE ET DEMOCRATIE PARTICIPATIVE La démocratie représentative, d'essence libérale et bourgeoise, dans laquelle les représentants sont autorisés par l'élection à transformer la volonté populaire en actes de gouvernement, constitue à l'heure actuelle le régime politique le plus communément répandu dans les pays occidentaux. L'une des conséquences qui en résultent est qu'on a pris l'habitude de considérer que démocratie et représentation sont en quelque sorte synonymes