Califat de Cordoue

qu’il a trouvé à son arrivée dans la ville du Caire, et laisse des indices pour deviner ce qui pourra avoir lieu : « Quand je suis arrivé au Caire, mon fils, elle était depuis des siècles déjà la prestigieuse capitale d’un empire, et le siège d’un califat. Quand je l’ai quittée, elle n’était plus qu’un chef-lieu de province ; jamais, sans doute, elle ne retrouvera sa gloire passée. » À la fin de l’incipit, le narrateur, avec un seul mot, résume la terreur qui va régner sur la ville pendant un

privilèges, que l'on appel des «fueros». La Reconquête est une longue opération souvent stopper car les musulmans lancent des campagnes pour récupérer leurs terres : ils pillent Barcelone en 985 et en 997 St Jacques de Compostelle. Après la chute du califat de Cordoue en 1031, l'Espagne musulmane s'affaiblit et se désorganise. Émergence d'une série de petit royaume gouverné par de petit seigneur musulmans : Los Reyes de Taifas. Ils se font la guerre entre eux, les chrétien en profitent pour récupérer les

Bousquet (G-H), Article ‘ADA in encyclopédie de l’Islam, Volume I ‘Amal : pratique judiciaire Pose le problème de la jurisprudence en tant que source. En Andalousie s’affirmait en dépit des controverses, une tendance à lier le juge à la pratique de Cordou. La jurisprudence alimentait des recueils de formulaires « watha iq », de consultations et même de règles. Une part de cet acquis passa dans un manuel tardif, la Tuhfa d’Ibn al Âcim. (829 / 1426) promis à une grande fortune au Maroc. A fès, le magistère

au XIXe siècle, comme les Pays-Bas, l’Angleterre, le Pays de Galles ou la France. Selon des calculs très méticuleux, Bagdad rassemblait à cette époque quatre cent mille habitants ; la population de villes comme Fustat (appelée ensuite Le Caire), Cordoue, Alexandrie, Kufa et Basra était de cent mille à deux cent cinquante mille habitants chacune. La concentration dans les villes, qui s’étaient enrichies grâce au commerce et aux impôts, détermina l’apparition au Moyen-Age d’une couche d’intellectuels

y compris à un Amazigh, la possibilité d'être Calife. Sa figure incarnait à la fois le refus du diktat généalogique, qui nouait le pouvoir à l'appartenance à la famille du prophète, et le refus de la sujétion à un centre extérieur, incarné par le Califat Omeyyade, qui soumettait les nouveaux musulmans au même régime fiscal que les Dhimis. Abderrahmane Ibn Rostum, au fait des particularismes locaux et soucieux d'en tenir compte, a organisé sa succession en mettant en place un système de désignation

y compris à un Amazigh, la possibilité d'être Calife. Sa figure incarnait à la fois le refus du diktat généalogique, qui nouait le pouvoir à l'appartenance à la famille du prophète, et le refus de la sujétion à un centre extérieur, incarné par le Califat Omeyyade, qui soumettait les nouveaux musulmans au même régime fiscal que les Dhimis. Abderrahmane Ibn Rostum, au fait des particularismes locaux et soucieux d'en tenir compte, a organisé sa succession en mettant en place un système de désignation

hostilité envers les envahisseurs arabes, qui furent alors chassés du Maghreb. Les Idrissides: première dynastie marocaine Du VIII e  au XVIII e  siècle, plusieurs grandes dynasties se succédèrent. Tandis que se consolidait en Espagne le califat de Cordoue, Moulay Idris, après avoir échappé au massacre des descendants du Prophète par les Abbassides, fonda la dynastie des Idrissides (VIII e -IX e  siècle) se réfugia au Maroc et, en 786, s'installa à Oualili (près de Volubilis) où il devint chef

plus habiles de Grenade. Ce fut une journée mémorable, dont Abou-l-Hassan aurait pu s’enorgueillir, puisque le héros du jour, agissant sur ses ordres, avait réussi à semer la panique dans le camp du roi chrétien, qui s’enfuit en direction de Cordoue, laissant derrière lui des canons, des munitions, une grande quantité de farine ainsi que des centaines de morts et de prisonniers. Mais sans doute était-il trop tard. Lorsque la grande nouvelle parvint à Grenade, la révolte grondait déjà

particulièrement intéressant au cours des siècles ; le centre ville actuel se dresse à l’emplacement des installations des Phéniciens, Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Visigots jusqu’aux conquêtes musulmanes et la prise de la ville par le califat de Damas puis de Cordoue. Les Almohades s’y installent lors de leur expansion vers l’Espagne continentale avant de la céder aux royaumes ibériques : les musulmans d’Al Andalus conservent le contrôle de la ville jusqu’à l’époque mérinide, lorsqu’en 1415 la ville

XIVe si`cle e XIVe si`cle/1918 e P´riode des conquˆtes. Califat des Omeyades (Damas). e e Califat des Abbassides (Bagdad). Califes Mansur, Harun alRashid, Al-Ma‘mun. D´veloppement des arts et des sciences. e Domination des shi‘ˆ iraniens (dynastie des Buyides). ıtes ´ ´ R`gne des Fatimides en Afrique et en Egypte (Le Caire). L’Egypte e reconquise par Saladin (1171). Califat Omeyade de Cordoue. Apog´e de l’Espagne musulmane. e Prise de Cordoue par les Chr´tiens (1236). e R`gne effectif des Turcs Saljˆqides