Califat de Cordoue

de Théodoric. SLAVES HUNS JUTES ANGLES GERMAINS BRITONS Londres SAXONS FRISONS FRANCS SUÈVES ALAINS VANDALES ALAMANS WISIGOTHS OSTROGOTHS LOMBARDS BURGONDES Milan OSTROGOTHS WISIGOTHS Tolède Ravenne Rome Seville Cordoue VANDALES Constantinople Athènes Carthage VANDALES Empire romain d’Orient L’Occident barbare Survivance de l’Empire romain d’Orient Le titre d’empereur fut délégué au souverain de l’Empire romain d’Orient, qui résistait à Constantinople

ce savant était peut-être d'origine Mathématiques babyloniennes phénicienne[15] . 35 Les mathématiques en Mésopotamie après l’invasion musulmane Après la conquête musulmane de la Perse, la Mésopotamie prit le nom arabe d’Irak. Sous le califat abbasside, la capitale de l’empire fut transférée à Bagdad, ville fondée en Irak au VIIIe siècle. Du VIIIe siècle au XIIIe siècle, période fréquemment désignée comme l’ « Âge d'or de l’Islam », l’Irak-Mésopotamie retrouva le statut de centre de l’activité

cours d’une conversation, l’abbé demande au comte si l’on ne trouve pas en Catalogne des maîtres instruits des arts libéraux(1). Borell répond par l’affirmative car son comté possède à l’époque des écoles monastiques de haut renom. Au contact du califat de Cordoue, alors à son apogée, la Catalogne, en effet, bénéficie de l’apport des lettrés et savants musulmans. Les bibliothèques de Ripoll et de Vich contiennent des traductions de traités scientifiques traduits de l’arabe. L’abbé d’Aurillac propose

sait pas grand-chose sur la première adoption du voile, ni d’ailleurs, sur sa véritable signification mais on sait qu’il a été unanimement, considéré comme le symbole du peuple Sanhadja et des territoires sahariens de celui-ci. A ce sujet Al Bakri ( Cordoue – 1057) rapporte que «tous les membres des tribus du Sahara portent un voile pour se couvrir entièrement au niveau de la tête et du visage à tel point que seules les orbites des yeux restent apparentes. Ils gardent en permanence ce voile et ne l’enlèvent

africain, tous espaces dont l’historiographie est par ailleurs plus difficile à mobiliser pour les candidats et les enseignants qui les préparent au concours. Elle s’ouvre avec le moment où la proclamation de trois califats rivaux (à Bagdad, à Mahdiya, puis au Caire, et enfin à Cordoue après 929) le prive de son unité impériale, puis y renouvelle peu à peu, avec l’emprise croissante des « peuples nouveaux » (Turcs, Berbères), le fonctionnement des armées et de l’État. Elle se prolonge jusqu’aux bouleversements

conquête de la Palestine-Syrie, de l’Égypte…) ou d’un personnage. Les textes (Coran, Hadiths et Sunna, Sîra) sont datés en relation avec ce contexte, afin d’aborder le personnage de Mohammed. L’étude conduite à partir de la vie urbaine ( à Damas, Cordoue, Bagdad…), et/ou de personnages (Moawwiya et Ali, Haroun et Rachid…). Elle comprend la présentation d’une mosquée. Elle débouche sur une carte qui situe le monde musulman médiéval, par rapport à ses voisins. x Dossier – La conquête de la Syrie-Palestine

prédécesseurs, 324 lois que ses successeurs regrouperont dans le Liber judiciorum vers 654. Considéré par les Espagnols comme le premier unificador nacional, il mena une série de campagnes militaires contre les Byzantins de l'Andalousie et s'empara de Cordoue et de Malaga. Au nord, il combattit Vascons et Francs pendant que dans le nord-ouest de la péninsule, il lutta à partir de 575 contre les Suèves redevenus catholiques; les ayant vaincus à la bataille de Braga en 585, il détruisit leur royaume de Galice

d’abord berbères, comme les Fatimides ou, au Maroc, les Almohades et les Almoravides. Les grandes villes du Maghreb et de l’Andalousie sont alors des capitales de l’islam : Kairouan (grande mosquée de Djama Sidi Obqa), Tlemcen, Fez (la karaouine), Cordoue, Séville, Grenade… Les grands hommes sont Ibn Khaldoun, géographe et sociologue, Ibn Battouta, géographe, Ibn Roshd le philosophe connu sous le nom d’Averroès, Maïmonide, médecin et philosophe… Avec la chute de Grenade en 1492 (date aussi de la découverte

Rostémides, se rassemblent pour se rebeller contre le pouvoir Abbassides et Omeyades. Ibn Rustom fonde en 761[78] un royaume ibadite dans le nord du Maghreb avec Tahert pour capitale[79]. Celui-ci, comme l'émirat de Cordoue depuis sa création en 756[80], conserve son indépendance du califat des Abbassides, malgré les pressions diplomatiques et militaires ainsi que les pertes de territoires[78]. Par la suite, les Idrissides ainsi que les Soulimanides prennent le pouvoir sur une partie de l'Algérie de

sa plus grande extension et rencontre des zones de résistance : Byzantins, Carolingiens et Chinois. Au XIIe s., l’Islam ne forme pas un bloc monolithique. Les principaux États sont l’émirat de Cordoue (Andalousie), l’émirat almoravide qui s’étend sur le Maghreb avant de soumettre 30 l’Andalousie, le califat fatimide d’Égypte et surtout le sultanat seldjoukide qui s’étend de la mer Caspienne au cœur de l’Asie Mineure en passant par la Mésopotamie (Bagdad). Par l’étude comparée de ces trois cartes