Bouygues Business Model

Domaine d’activité où va être présente l’E ? Les positionnements sont très différents : il y a 1 dominante et les autres. Ex : LVMH ou Danone : multiactivités Quelles activités je revends, j’investis ? : questions à se poser en stratégie Ex : Bouygues (cf powerp) Ou encore : suez/ Envirolia/saur (assainissement de l’eau, cédée en 2006 (10%) ) Ex : PPR veut se débarasser de Conforama et de la FNAC. Choix des activités : qu’analyse-t-on ? Nécessité d’une réflexion sur ce que l’on va garde

pratiques des annonceurs et jusqu’où peut-il aller ? L’efficacité de la publicité est-elle en cause ? Est-ce principalement en raison de la saturation croissante des publics cibles ou, plus fondamentalement, de l’usure progressive mais inexorable du modèle publicitaire qui n’a pas su se renouveler ? Toutes ces questions sont abordées dans ce dossier mais elles se posaient bien avant la survenue d’Internet analysée souvent trop rapidement comme une remise en question, voire une menace pour la publicité

intermédiaires ( achats). 67 Les strates de l’environnement • Macro-environnement: Il s’agit des facteurs globaux qui ont un impact sur toutes les organisations. On se focalise sur des tendances structurelles ou sur des évolutions précises. • Modèle PESTEL • Méthode des scénarios • L’industrie: Ensemble d’organisations proposant la même offre de biens ou de services • Analyse des 5(+1) forces de la concurrence • Étude des cycles de compétition • Découverte et hiérarchisation des FCS •

personne décide des stratégies est raisonnables  Des pratiques ? (habitude, expérience, pouvoir, lobbying) Possibilité d’exercer →Les personnes stratégiques ont les qualités en dessus  Des recettes ? (formule, bricolage, heuristique 试探法) →utiliser les modèles pour résoudre problème, même pas comprendre le problème  Un art ? (aptitude innée, don, virtuosité, vision) → Personne donne don faire ça, une sens au bon moment → Personne a une vision sur ça  Un système de pensée ? (culture, conviction, paradigme)

 ABSTRACT En vue de l’obtention des crédits correspondant au Mémoire de Master NEOMA BUSINESS SCHOOL CYCLE MASTER 2014-2015 Entre les années 2012 et 2013, le marché de téléphones portables se développe différemment en Chine et en France, donc quels sont les facteurs de la variable produit qui influencent le plus l’achat d’un téléphone portable dans ces deux pays ? PAR : Yuan LEI Jury : Stéphan SARTER Lotfi HAMZI Sommaires détaillé Introduction 1 Première partie : Etat de l’art 2 I. Le téléphone

Drouas, EDF-Gaz de France Régis Delayat, Scor Annie Deryckx, Mairie de Paris Pierre Dichamp, Altadis Pierre Dulon, Crédit Lyonnais Georges Epinette, Groupement des Mousquetaires Philippe Galas, Alstom Bernard Gueguen, Framatome ANP Gilles Kerdraon, Bouygues Télécom Bertrand Kientz, JC Decaux Patrick Lier, Giat Industries Monique Moutaud, Société Générale Claude Osternaud, Alstom Véronique Pachoud Le Floch, AG2R Fabrice Penot, Société Générale Michel Piednoir, Retraites Unies Sophie Ruderand, GSIT Patrick

. . . . . . . . . . . . .7 • Les internautes français . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .7 • Quelles sont leurs habitudes ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8 • Les business models . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .13 Les défis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .17 • Les opérateurs télécom . . . . . . . . . . . . .

pays émergents (ou il est le moins cher). Ceci permettrait à ses indépendants de proposer du ciment moins cher (grâce aux faibles coûts de cette installation par rapport aux cimenteries) que les grands groupes. Ils remettent donc en cause le bisness models des grands cimentiers sur ses marchés. Ratio valeur /poids Le ciment ayant un faible ratio valeur/ poids entraînant des coûts de transport élevés, la production cimentière reste avant tout locale : 95 % en moyenne du ciment consommé dans le monde

protection de l’environnement et la lutte contre la corruption. Ces principes, en parfaite ligne avec la Charte des fondamentaux du Groupe, sont intégrés, via notre démarche de Développement Durable, à la stratégie de notre Société. Il en découle un modèle de développement fondé sur des valeurs sociétales, sociales et environnementales que nous nous efforçons de promouvoir dans l’ensemble de nos filiales et auprès de nos parties prenantes à l’échelle mondiale. Dans une volonté de transparence et de

tirer de la rédaction de tels documents ? En d'autres termes, les outils mis en place actuellement constituent- ils une bonne réponse à une vraie question ? 1 Cité par Saul W. GELLERMAN : "Why "good" managers make bad ethical choices", Harvard Business Review, July-August 1986, p. 9. 3 A ce propos, on peut considérer que le débat sur la formalisation de l’éthique en entreprise est le domaine d'application par excellence de l'hypothèse de la relativité culturelle des pratiques organisationnelles