Boutinet

La peine : un projet de société ? La surveillance électronique : une solution miracle ? Il importe tout d’abord de définir ce qu’on entend par « projet de société. » Selon Boutinet, il s’agit d’un « effort pour déterminer le type de production sociale à valoriser dans lequel la collectivité se retrouve volontiers et qu'elle va chercher à faire advenir... c'est par le fait même un effort pour prédire et écarter des productions sociales jugées indésirables. » La criminalisation

valider le périmètre d’une problématique réelle. Nous avons pensé les savoirs d’action en relation et construction mosaïque à partir de savoirs cachés, savoirs d’expérience, savoir-faire relationnels, savoirs contextuels, savoirs informels. Jean-Pierre Boutinet (2007) par son article « La place des savoirs professionnels dans une société de la mobilité », renforce nos propos en soulignant que « Bon nombre de ces savoirs contextualisés sont des savoirs critiques dans la mesure où leur perte, leur non transmission

« La philosophie phénoménologique entend montrer que l’homme ne peut s’enfermer dans son actuelle condition, qu’il lui faut un projet qui transcende cette condition avec le risque que ce projet s’avère à terme être chargé d’illusion » J. Pierre Boutinet[1] INTRODUCTION : Les informations dont je dispose et les observations effectuées - en tant que cadre, en contact avec les utilisateurs du dispositif CART de Poitiers (Centre d’Adaptation et de Redynamisation au Travail), leur famille et

multiples et souvent irréalistes, sans engagement en contrepartie à l’effort individuel ; 3. le recours à l’usage de psychotropes. Fragmentation identitaire et multiplication des rôles sociaux 3 Nous assistons, dans nos sociétés après postmodernes[2] (Boutinet, J.P., 1990), à une double tendance lourde, comme deux faces d’une même réalité : l’effritement des paradigmes intégrateurs traditionnels, tels que la religion ou encore l’orientation politique comme le communisme (Castel, R., 1995b), et de son corollaire

province et commune) et des bailleurs de fonds. - Chaque PDR doit être Justifié sur le plan technique, économique et sociale et analyser sur le plan environnemental. Au niveau de la gestion des PDR nous optons pour : - La gestion par projets Boutinet (1990) a formalisé la définition de la gestion par projets de la façon suivante : La gestion par projets se veut être un mode original de gouvernement qui vise à déterminer les meilleures conditions dans l’implantation d’une innovation au sein

l’Education et en psychologie : le management, (Ardoino, 1970 ; Cardon, 1992 ; Deming, 1950 ; Dreyfus & Dreyfus, 1986 ; Gatto, 2007 ; Goguelin, 1989 ; Henriot, 1999 ; Le Boterf, 2006 ; Miramon, 1996 ; Tissier, 2001), la posture, (Ardoino, 2000 ; Boutinet, 2007 ; Paul, 2004 ; Rouzel, 2004), le traitement de l’information, (Gatto, 1999), de la santé (Ganguilhem, 1966 ; D’Ivernois et Gagnayre, 1995 ; Gatto, 2005 ; Goffman, 1991), et l’ évaluation (Hadji, 1999 ; Gatto, 2005 ; Vial, 2001). 3.2. Protocole :

aux écrits de Savickas, Cochran (1994) relève qu’une telle conception de la carrière implique une représentation personnelle à travers laquelle les actions entreprises sont interprétées et évaluées par l’individu. Une autre formulation amenée par Boutinet (1993) présente la carrière comme la troisième dimension du travail; les deux autres étant l’emploi et la profession. Ainsi, d’après son point de vue, l’emploi réfère à l’implication de la personne et la profession concerne le contenu du travail

sciences de gestion. Il occupe une place omniprésente dans la société civile et professionnelle. Des disciplines comme l’anthropologie ou la sociologie ont étudié le concept en élargissant la compréhension du phénomène. Dans ce champ disciplinaire, Boutinet (1993) apporte une analyse sur les conduites à projet qui se multiplient dans une société souvent qualifiée de « postmoderne ». L’insécurité du présent va pousser sans cesse les acteurs à construire de nouveaux projets. Le renouvellement permanent

qualité du service proposé. Elle permet de se rendre compte des aspects à améliorer, elle permet aussi de réajuster les moyens. On y mesure aussi le mode de participation de chacun, son investissement et ce qu’il en retire dans sa vie. Selon JP. BOUTINET, « l’évaluation est l’appréciation de l’écart existant entre la règle incarnée par le projet et les réalisations effectives. » J’envisage de faire un point sur le déroulement des séances et sur ce qui s’y passe, avec l’équipe, notamment lors d’une

bibliographiques : Bee, H. (1997). Psychologie du développement - Les âges de la vie. Bruxelles : De Boeck. Bideaud, J., Houdé, 0. et Pedinielli, J.L. (1993). L'homme en développement. Paris: P.U.F. Boutinet, J.P. (1995). Psychologie de la vie adulte. Coll. Que sais-je ? Paris: P.U.F. 2ème éd. Boutinet, J.P. (1998). L'immaturité de la vie adulte. Paris: P.U.F. Deleau, M. (1999). Psychologie du développement. Paris: Bréal. Ricaud-Droisy, H., Oubrayrie-Roussel, N. et Safont Mottay, C. (2009). Psychologie