Bentham

ethics, economics, politics, and law. (Guatemala phd thesis, chapter 2) Analyse des comportements individuels. Locke défendait l’individu au nom des principes généraux, Hume le fait au nom de l’efficacité. Prépare peut-être en cela l’utilitarisme de Bentham Entre Locke et Smith Maximisation sous contrainte = approche très moderne individu calculateur déviation du concept libéral vers l’utilitarisme. Au niveau de l’analyse économique on lui doit en particulier l’équilibre automatique de la balance

marquer comme pour le modifier, composent ces deux formes (c'est-à-dire les formes de traitement de la lèpre et de la peste ainsi que nous les avons définies dans l’introduction de cette étude cf. supra) dont elles dérivent de loin. Le Panopticon de Bentham est la figure architecturale de cette composition. On en connaît le principe : à la périphérie un bâtiment en anneau ; au centre une tour ; celle-ci est percée de larges fenêtres qui s’ouvrent sur la face intérieure de l’anneau ; le bâtiment périphérique

et jamais seulement comme un moyen ». 3.9.3 L’utilitarisme La doctrine morale et politique connue sous le nom d’utilitarisme fut formulée par Jeremy Bentham vers la fin du XVIIIe siècle et exposée plus tard par James Mill ainsi que par son fils John Stuart Mill. Dans son Introduction aux principes de morale et de législation (1789), Bentham présente le principe d’utilité comme le moyen d’augmenter le bonheur de la communauté. Il pensait que toute action est motivée par le désir de procurer du

Adam Smith Titre 1: les classiques Chapitre 1: Adam Smith Chapitre 2: Malthus Chapitre 3: Ricardo Chapitre 4: Mill, Bentham et l’utilitarisme Chapitre 1: Adam Smith Père de l’économie politique moderne An Inquiry into the nature and causes of theWealth of Nations, 1776 (La Richesse des Nations) Concepts économiques fondamentaux: Division du travail (l’origine du capitalisme moderne) Main invisible (et l’autorégulation du marché) Quelques éléments de contexte Fin du XVe siècle marque un

interétatique La dénomination « droit international » est aujourd’hui celle qui est le plus couramment employée pour désigner le droit de la société internationale. Elle est la traduction de l’expression « International Law » dont la paternité revient à Bentham qui l’utilisa dans son livre paru en 1870, An Introduction to the Principles of Moral and Legislation, en opposition à « National law » ou « Municipal law ». Le philosophe anglais ne fit que ressusciter la formule latine jus inter gentes adoptée

service d’une thérapie qui cherche induire un état d’« hypnose » chez un individu, c’est-à-dire un état modifié de conscience, distinct du sommeil. Panoptique : C’est un type d’architecture carcérale imaginée par le philosophe utilitariste Jeremy Bentham à la fin du XVIIIe siècle. L’objectif de la structure panoptique est de permettre à un gardien, logé dans une tour centrale, d’observer tous les prisonniers, enfermés dans des cellules individuelles autour de la tour, sans que ceux-ci puissent savoir

l’un des défenseurs les plus subtils. Le dilemme du tramway – dont la philosophe anglo-américaine Philippa Foot est l’auteure – en est une bonne illustration. Par ailleurs, le passage de ce chapitre 2 (certes très bref) dans lequel, à la suite de Bentham, Mill étend le principe du plus grand bonheur, non seulement à toute l’humanité, mais aussi à tous les animaux capables d’éprouver plaisir et douleur, a eu une influence sur les défenseurs de la cause animale contemporains comme Peter Singer. Importance

de légalité des délits et des peines d’égalité, de proportionnalité et même d’humanité dans la répression. L’école néo-classique (ou libre arbitre) : dont les tenants sont Guizot, Rossi, Ortolan va prôner une synthèse entre l’utilité sociale (Bentham) et la justice absolue (Kant). La responsabilité morale est mise en avant. La peine doit dépendre à la fois des circonstances de l’infraction et du degré de culpabilité de l’auteur de celle-ci. L’école positiviste italienne (Lombroso) : qui met

menée par Robespierre, le comité de salut public, une des dérogations de la Convention, fait un coup d’état et prend le pouvoir. Il se chargera de rédiger la Constitution de 1795, également appelée Constitution de l’an III. Le philosophe Anglais Bentham influença particulièrement le comité avec ses pensées démocratiques contemporaines. L’égalité, auparavant symbolisée par de grands principes moraux et rarement appliqués, devient une réalité juridique. La Constitution prévoit en effet un certain nombre

mais la Loi leur est soumise en ce qu'elle ne fait que les borner. La justice intègre désormais le droit positif ; mais de quelle forme de justice s'agit-il ? Le courant utilitariste imprègne le début du XIXè siècle, inspirée des réflexions de Bentham sur « le plus grand bonheur pour le plus grand monde ». La justice devient sociale et doit servir avant tout l'intérêt collectif ; la loi s'y conforme lorsqu'elle augmente l'utilité collective. Cette notion d'intérêt commun est fondamentale dans une