Bentham

Plus précisément, Smith dote l’homme de 6 caractéristiques : - l’égoïsme : l’homme est calculateur puisque par son comportement il recherche un maximum de satisfactions tout en minimisant ses peines. L’approche est utilitariste au sens de Bentham. Cette approche se retrouvera au XXème siècle à travers l’individualisme méthodologique chez des sociologues comme Boudon. - La faculté de sympathie : qui se manifeste par un respect spontané du droit de la ppté & du travail d’autrui. Ce respect

un acte recommandé dans certaines peuplades. C'est donc la société qui détermine ce qu'il est bien de faire : est bon, ce qui est utile à la communauté ; est mal, ce qui lui est nuisible. Telle est du moins la thèse des utilitaristes anglais comme Bentham : une société détermine comme devoirs les actions favorables au bonheur du plus grand nombre. Or, les actions qui sont avantageuses pour le plus grand nombre le sont aussi pour l'individu qui agit : le seul véritable fondement de la morale, ce n'est

dans un corps malsain. Selon lui, la vertu ne donne pas le bonheur, mais elle seule apprend à en jouir quand on l'a. Nous avons donc, en tout état de cause, un véritable intérêt à la cultiver, et nous faisons bien de travailler pour cet intérêt. Bentham, dans son ouvrage Déontologie ou science de la morale, nous dit que “les voix réunies de la prudence et de la bienveillance effective se font entendre et nous disent : travailler au bonheur des autres ; cherchez votre propre bonheur dans le bonheur

conception alors ces 3 auteurs n’avaient pas tort. Par exemple l’idée d’une productivité marginale décroissante ou d’une utilité marginale décroissante se retrouve chez nombre d’économistes du 18ème siècle. C’est le cas chez SENIOR (1790 1864) chez BENTHAM (1748 1832). Chez les ingénieurs économistes français les travaux de DUPUIS se sont aussi intéressés aux problèmes d’économie politique et à l’utilité marginale décroissante. L’originalité de cette école marginaliste est un principe méthodologique

dans son époque. Fortement marqué par l'individualisme et l'optimisme propre à la classe dominante à l'époque où le capitalisme est en pleine expansion, il se laissera grandement influencer par les théories « à la mode », comme l'utilitarisme de Bentham. Plekhanov dira de lui que c'est un « anarchiste conservateur, un philosophe bourgeois. » Pour Spencer, la société produit et forme des éléments brillants qui seront sélectionnés pour permettre à cette société de continuer à progresser. Décliné à

Quant à la morale, le débat reste ouvert. Puisque le droit possède une finalité d'utilité social, il ne peut qu’être inspiré de la norme morale. La règle de droit correspond à celle de morale sur certains points comme le déclare Jeremy Bentham pour qui le droit serait totalement absorbé par la morale . Tout d’abord, comme l’énonce l’article 1134 alinéa 3 du code civil , « Les conventions doivent être exécutées de bonne foi ». La bonne foi qui est l'essence même de la notion morale est

platonicien et allemand, qui fait croire que vérité philosophique dans la création du concept, production d’un discours fermés et fonctionner avec néologisme (Kant, Heidegger) ce qui a fait oublier la tradition anglo-saxonne (Stuart Mine, Jeremy Bentham). Mythe disparait et la raison surgit à cette époque. Le soucis de la pensée c’est faire la paix avec soi-même et trouver sens à existence. Cours 2 : Leucippe et la Joie authentique On rapporte une phrase

cet individu est pris dans un champ documentaire, on sait tout de lui pour qu’il devienne ensuite un « cas ». L’individu devient un objet de connaissance qui est une prise pour l’exercice du pourvoir sur lui. 3) Le panoptisme « Le Panopticon de Bentham est la figure architecturale de cette composition. On en connaît le principe : à la périphérie une bâtiment en anneau ; au centre, une tour ; celle-ci est percée de larges fenêtres qui ouvrent sur la face intérieure de l’anneau ; le bâtiment périphérique

XIXe siècle, Mill, philosophe et économiste anglais (1806-1873), représente à la fois le couronnement de la pensée libérale et l'attirance vers le socialisme utopique de l'époque ; sa philosophie emprunte à l'empirisme de Hume, à l'utilitarisme de Bentham, à l'associationnisme de son père James Mill, à Saint-Simon, à Comte. En même temps, Mill souligne la portée limitée de leurs théories, car il pressent que la réalité est trop complexe pour être enfermée en une explication unique. « Il incarne en

La concentration des revenus, qui est la contrepartie de ces positions, est nécessaire au financement du capital productif et donc à la croissance. 2) Elles maximisent le bien-être collectif L’utilitarisme, doctrine introduite par Jérémy Bentham (1748-1832) et prolongée par John Stuart Mill (1806-1873), pose le principe d’utilité comme fondement de la moralité. Les utilitaristes donnent priorité au Bien sur le Juste. Selon cette doctrine, une action peut être jugée bonne ou mauvaise en fonction