Behavioriste

marque ou d’une personne et donc à susciter l’amour du public et en amour comme à la guerre, tous les coups sont permis : Comme il est question de toucher les consciences, la psychologie est très largement utilisée, en particulier les théories béhavioristes (de l’anglais « behavior » qui signifie « comportement »). Cette théorie retient que l’homme est gouverné par des éléments extérieurs. Cette théorie fut validée par le conditionnement selon Pavlov. Le réflexe de Pavlov fut testé sur des animaux :

théories de dvlpt Elle diffère par la façon d’envisager le rapport entre les sources « biologiques » et « psychologiques » des modif. que connaît tt individu ds son évolution, et du caractère « inné » ou « acquis » qui les constituent. Courant béhavioriste (comportementaliste) Dvlpt = résultat ( de pg comportementaux innés ( d’A. réalisés ds 1 milieu qui oriente l’activité du sujet par les renforcements positifs ou négatifs (récompenses

À propos de la forme  bureaucratique :  • Inflexibilité des règles,  & t t normes & structures • Processus décisionnel ralenti • Style de gestion autoritaire • Nuit à la créativité et à  l’innovation • Cercle vicieux  bureaucratique Courant de pensée behavioriste(1927‐1967) Compréhension de la dimension humaine et participative de la productivité Contexte • • • Rationalisation abusive de l’organisation du travail Mécanisation (Dés)humanisation de la condition ouvrière   Objets d’étude • • Groupe de travail

et des problèmes d’incertitude (processus de décision interdépendants). En conséquence, les agents ne vont pas chercher la solution "optimale" mais se contenter de celle qui leur semble "satisfaisante". - CYERT et MARCH constituent le courant « behavioriste » et décrivent l’entreprise comme une coalition de groupes poursuivant des objectifs propres ; - Harvey LEIBENSTEIN met en évidence le facteur organisationnel (le « facteur d’efficience X ») non pris en compte par la théorie économique ; - Alfred

pour les futures découvertes sur celui-ci. Ce qui confirme que l’appréciation d’une méthode ou d’une approche ne doit pas se limiter aux résultats concrets et doit considérer le plan théorique aussi. B. Une autre forme de prise en charge béhavioriste : le TEACCH. Maintenant, nous allons comparer la méthode A.B.A à une autre forme de prise en charge behaviouriste, le TEACCH (Treatment and Education of Autistic and Related Communication handicaped Children). Il s’agit du premier programme

et surtout Christian Von Ehrenfels qui la développent, aussi bien que Max Wertheimer, Wolfgang Köhler, Kurt Koffka et Kurt Lewin. Ils se sont tous prononcés contre une notion d’éléments dans la psychologie, l’associationniste, et une psychologie behavioriste ou basée sur la théorie des instincts. Pour les associationistes, les idées simples qui composent l’esprit s’associent automatiquement par similitude, contiguïté et par contraste (Aristote), Descartes quant à lui viendra définir trois sortes d’idées :

ci-dessous sont autant de manières d’envisager les processus d’apprentissage. Ils constituent dès lors, pour l’enseignant, trois angles de vue possibles pour observer et tenter de comprendre ce qui se joue dans sa classe. Modèle transmissif | Modèle béhavioriste | Modèle constructiviste | 1. Le modèle transmissifC’est le modèle qui correspond à la conception empirique de l’enseignement. Il est basé sur deux présupposés : * La neutralité conceptuelle de l’élève. Avant l’enseignement, l’élève n’a pas

si l’élève perçoit l’utilité de ce qu’il apprend. » Tout dépend donc de notre conception de l’enseignant et de l’apprentissage. Que cherche-t-on à construire avec l’élève ? Est-ce un savoir comportemental, à l’instar de celui prôné par l’école Béhavioriste ou construire des compétences en mettant l’apprenant au centre de son apprentissage ? C’est un choix épistémologique, qui détermine la philosophie du rapport : enseignant- apprenant- contenu d’apprentissage. Tout dépend en dernier lieu du triangle

en psychanalyse[->2], comme point de départ de la seconde topique[->3], il est aussi utilisé de manière plus générale et plus floue dans d'autres disciplines. Le terme est aussi employé dans le langage sociologique et comme entité dans le manuel behavioriste[->4] de classifications psychiatriques : le DSM[->5]. Freud[->6] a introduit le concept. Il parle de narcissisme primaire[->7] sain, pour désigner une période de l'enfance[->8] où le bébé[->9] investirait préférentiellement sa personne, encore

distinctifs. En fait, ce trouble alimentaire est exprimé par une phase d’absorption suivie d’un ou plusieurs comportements compensatoires inappropriés. Cette pathologie peut être traitée par une thérapie congnitivo-comportementale de la perspective béhavioriste. L’absorption et le sentiment de perte de contrôle Il est spécifiquement inscrit dans le DSM-IV que la boulimie est une pathologie accompagnée de plusieurs rages de nourriture par semaine, techniquement appelée période d’absorption2. En réalité