Bardamu Et Lola

1937 L'école des Cadavres. 1938 Les beaux Draps. 1941 2ième axe de lecture Déterminer le genre Voyage au bout de la nuit peut être qualifié d'autobiographie imaginaire où Céline devient dans la vie le héros de son roman prénommé Ferdinand Bardamu. Autrement dit, l'auteur se fabrique une vie conforme à celle de son personnage. On peut également dire qu'il se fait littéralement « dévorer » par celui-ci. Le reste de sa vie se partage entre la médecine, la littérature et une participation à la

présentent tous un personnage sortant du schéma traditionnel d’un personnage principal de roman. Le premier texte, écrit par Jean de la Ville de Mirmont en 1914, raconte la vie d’un homme ordinaire : Jean Dézert. Le deuxième texte a pour héros Ferdinand Bardamu qui vient de s’engager pour combattre lors de la Première Guerre mondiale. George Perec bouleverse les codes du personnage en écrivant à la deuxième personnage du singulier. Quels sont les processus de déconstruction subissent ces trois personnages

personnage nous fait part de son analyse sur la guerre. La guerre est vécue par un antihéros qui à peur. La peur de Bardamu est d’ailleurs amplifiée par la solitude face à cette masse : « ma frousse (terme populaire) devint panique » l.7. Devant cette peur, Bardamu revendique sa lâcheté en la glorifiant par le simple fait qu’il est humain l.12. Ce passage anticipe avec celui de Lola (Cf. 4e de couverture). Le personnage à l’impression d’être passif et impuissant l.9-10. Une force supérieur l’accable

Dès le début du roman, la mentalité et la situation de l'époque sont le sujet d'une discussion animé entre Bardamu, son double fictionnel et Ganate, un "camarade, un carabin lui aussi". L'auteur: LOUIS FERDINAND CELINE (1894-1961) Son vrai nom est Louis Ferdinand Destouches et c'est un médecin français (on peut voir une analogie entre son prénom et celui de son personnage, Ferdinand Bardamu et leur profession) Sa pensée pessimiste est teintée de nihilisme. C'est un paradoxe à lui tout seul, auteur

Bataille Dans cette dissertation consacrée au roman de Céline « Voyage au bout de la nuit » nous allons essayer de faire ressortir, comme l’indique Georges Bataille dans la phrase ci-dessus, quels sont les rapports qu’entretient le héros, Ferdinand Bardamu, avec la (sa) mort, une ennemie qu’il va rencontrer de nombreuses fois durant son existence, entre les charniers de la première guerre mondiale, l’Afrique coloniale, le Nouveau-Monde, ou la banlieue parisienne. On va aussi essayer de montrer que pour

littératures Un roman de la guerre : Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline : Bardamu s’engage dans l’armée par hasard et découvre l’horreur de la première guerre mondiale, mais se lie d’amitié avec Robinson, son frère d’arme. Blessé, puis réformé, il fréquente quelques femmes de basse condition (Lola, Musyne) puis quitte la France pour l’Afrique. Là, il constate la brutalité de la vie coloniale. Bardamu contracte une maladie tropicale et est transporté en bateau jusqu’aux États-Unis. Il visite

Ferdinand Bardamu dans l’œuvre de Céline, Voyage au bout de la nuit, démontre ce propos. Effectivement, s’étant engagé jeune à l’armée, il découvre l’horreur de la guerre et des hommes. Son expérience en Afrique et l’exploitation coloniale, le marque également toute sa vie. Portant ce témoignage de malheur de l’humanité sur sa conscience, il se meut. Se fuyant soi-même et fuyant le monde, il se retrouve confronter au modèle de la société auquel il n’est pas conforme. Sa relation avec Lola, une américaine

rythme. On peut remarquer en particulier : - la répétition de ça qui rend la première phrase du livre significative ; - la réduction de la négation verbale à son second terme, « pas » ; - la suppression du pronom dans « Faut être osé » (page 192) : Bardamu, voyant les gens cracher par terre à Manhattan, se scandalise ; sa réprobation morale le met du côté des gens bien, mais sa faute de syntaxe montre qu'il est du peuple ; - la suppression d'une bonne part de la ponctuation, surtout des virgules, ce

pour son style imité de la langue parlée et influencé par l'argot et qui a largement influencé la littérature française contemporaine. Il s'inspire principalement de l'expérience personnelle de Céline au travers de son personnage principal Ferdinand Bardamu : Louis-Ferdinand Destouches a participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a révélé l'absurdité du monde. Il ira même jusqu'à qualifier la guerre d'« d'abattoir international en folie »2. Il expose ainsi ce qui est pour lui la

personnage de Bardamu présente-t-il au lecteur? Liens entre tous les textes: Tous de Voyage I) LECTURES ANALYTIQUES: Texte 1, de <<Le colonel, c'était donc un monstre!>>p.18 a <<(…) et c'était arrive. >>p.19 Introduction: Au début du roman, Bardamu est sur la terrasse d'un café avec son ami Arthur Ganate. Pendant leur entretien Bardamu prend des positions antinationalistes et anarchistes. Subtilement, lorsqu'un régiment passe devant le café, ce dernier s'engage paradoxalement avec eux. Ici, Bardamu est au