Arrêt 22 Juin 2004 Cour Cassation Testament

capacité de la femme mariée. - Loi du 3 Janvier 1972, reconnaît égalité des droits entre enfants naturel & légitimes (sauf pour enfant adultérins avec des droits successoraux réduits jusqu’à condamnation du droit Français par la cour européenne) - Loi du 26 mai 2004 sur le divorce, libéralisation forte - Ordonnance du 4 Juillet 2005 qui fait disparaître une partie de la distinction entre filiation naturelle et légitime. - Prise en compte de l’évolution scientifique  Loi du 8 Janvier 1993

volontaires l’engagement unilatéral de volonté. Peut-on seul créer des obligations juridiques par sa seule volonté ? Il existe des actes unilatéraux comme le testament, mais dans ce cas là ce n’est pas un engagement unilatéral car le testateur ne crée aucune obligation juridique, il peut changer d’avis jusqu'à son décès. On dit que le testament a un effet translatif au contraire de créatif. De même la donation, mais pour être valable elle doit être acceptée article 894 du Code civil. C’est un accord

utilisent restent objectifs : l’âge, l’état de santé, la région. Elle concernera tous les personnes entrant dans le champ d’application. Parfois, une règle se présente formellement comme une règle de droit sans être réellement générale. Par exemple, un arrêté ne sera pas général forcément, même si c’est une règle de droit. Autre exemple, un permis de construire, qui vaudra pour une personne, une situation précise. -La règle de droit est abstraite en principe, en effet techniquement elle comporte deux

législateur a repris un ancien adage(latin) INFANS CONCEPTUS. Ainsi, le code civil dispose t il a l'art 725 et 906 qu'un enfant simplement conçu peut recueillir une succession de donations a la seule condition qu'il naisse vivant et viable. La cour de cassation applique ce principe (infans conceptus)chaque fois que l'enfant est en jeu, et l'applique dans tous les cas. (la jurisprudence l'a généralisé)La loi présume que le temps de la conception se situe entre le 300° jour et le 180° jour avant la naissance

raisonnement sur les faits L'appréciation des faits, la détermination des faits qui sont pertinents pour juger l'affaire appartient uniquement aux juges du fonds. Les juges du fonds sont ceux des tribunaux et des cours d'appel. En revanche, la cour de cassation ne peut pas apprécier les faits, son rôle se limite à vérifier que les juges du fond ont correctement appliquer la règle de droit aux faits tels qu'ils ont été souverainement appréciés par les juges du fond. L'issue du procès va dépendre de

L’exploitation par photographie d’un immeuble par un professionnel (carte postale…) : le monopole de l’image fait-il parti du produit ? ARRET civile 1ère du 10 mars 1999 : commerçant qui fabrique des cartes postales qui représentent des images de la façade du 1er bâtiment libéré, la cour d’appel refuse car le cliché est pris d’un lieu public. La cour de cassation casse car la photographie porte atteint au droit de jouissance du propriétaire. Il faut avoir l’autorisation monnayée du ou des propriétaires

litige selon la loi française ou la loi étrangère désignée par la règle de conflit. Cependant, les juges français ne peuvent connaître toutes les lois et coutumes étrangères (exemple, le code de la route marocain). Dans un premier temps, la Cour de cassation en 1948 avait posé le principe selon lequel il appartenait au plaideur de prouver l'existence et le contenu de la loi étrangère dont il se prévalait. Très souvent, cette preuve était apportée au moyen de certificats de coutume délivrés par des

promesse lie son auteur, et que cet engagement porte sur une obligation naturelle. S’il y a une incidence, l’engagement pris sera valable quelle que soit sa forme, et pourra être prouvé par tout moyen. C’est ce qui ressort d’un arrêt de la 1ère chambre civile de la Cour de Cassation du 4 janvier 2005 : « l’engagement unilatéral pris en connaissance de cause d’exécuter une obligation naturelle transforme celle-ci en obligation civile (= juridique) ». * Le droit des obligations ne s’intéresse qu’aux

Le nouveau contrôle du Conseil Constitutionnel, qui se fait au regard du bloc de constitutionnalité, est loin de ce que voulait le Général De Gaulle. Lors de sa conférence de presse du 17 novembre 1948 il avait déclaré : « En France, la meilleure Cour suprême c’est le peuple. » Le juge protège également les droits et libertés. Mais il peut aussi en instaurer. Par exemple, le juge administratif reconnaître des PGD. « La discipline rend le juriste sensible à la contrainte normative internationale

varient beaucoup selon les contrats. Lorsque la loi renvoie expressément à l'usage, l'usage acquiert du coup force de loi par une sorte de délégation. En revanche, il reste un fait, ce qui va avoir des conséquences en matière de preuve. La Cour de cassation n'opère pas de contrôle sur les usages. C - Les conditions générales de vente Ces sont des stipulations prévues à l'avance par un professionnel donc de façon unilatérale et qui s'applique à tous les contrats particuliers qu'il conclura