ô Tourment

quartier populaire de lEst de la ville appel le Faubourg mlasse. Mais son pre, qui tait comptable, tint ce que ses enfants reoivent une bonne ducation. Ainsi, de 1943 1951, il fut lve des jsuites, au collge Sainte-Marie, que jouxte la salle du Gsu o il monta sur les planches en amateur et prit got au thtre. Ds 1949, il publia _________________________________________________________________________________ Couleurs des jours mls (1949) Recueil de pomes Commentaire Marcel Dub gagna le second prix

: « Quand l’or de tes cheveux qui ton beau front redore… » Nuysement. L’amour naufragé : « Bref mon amour n’est rien qu’un horrible naufrage » Vermeil. La femme-soleil : « Cet astre qui me luit des rayons de son œil… » D’Aubigné. La reverdie : « O beau prez fleurissans émaillez de verdure… » Birague. l Le sonnet D’origine italienne, « sonnetto » signifiant « petite chanson » en italien, il est arrivé en France dans la première moitié du 16ème siècle par l’entremise du poète Clément Marot (1496-1544)

la douleur, puisque il s’agit de « sa » douleur mais aussi car il la transforme en nom propre. Le poète s’entend bien avec « sa » souffrance, et détient avec elle, une relation qui s’apparente presque à de la complicité. Receuillement Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille. Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici : Une atmosphère obscure enveloppe la ville, Aux uns portant la paix, aux autres le souci. Pendant que des mortels la multitude vile,  Sous le fouet du Plaisir

trait eu. Stiu prea bine ce poate sa faca o idee din noi, pina unde ne poate duce, cum ne poate tari si rapune, stiu primejdiile nebuniei la care ea ne poate împinge, intoleranta si idolatría care stau la pindà în ea, impudoarea sublima la care vrând-nevrând ne supune... stiu ca obsesia este fondul unei pasiuni, sursa care o hraneste si o sustine, secretul care o face sa dainuie. Eram departe de-a fi împlinit treizeci de ani, cind s-a întimplat sa fac o pasiune disperatà, agresiva, din care nu exista

damoiselles Se heurtent longuement dans un hideux amour. Hurrah ! les gais danseurs, qui n’avez plus de panse ! On peut cabrioler, les tréteaux sont si longs ! Hop ! qu’on ne sache plus si c’est bataille ou danse ! Belzébuth enragé racle ses violons ! Ô durs talons, jamais on n’use sa sandale ! Presque tous ont quitté la chemise de peau ; Le reste est peu gênant et se voit sans scandale. Sur les crânes, la neige applique un blanc chapeau : Le corbeau fait panache à ces têtes fêlées, Un morceau de chair

Alchimie du verbe est le deuxième volet du diptyque poétique « Délires ». Il ya eu deux Délire. Dans le second Délire, "Alchimie du verbe" se présente comme une confession d’une personne tourmenté qui analyse avec ironie et dérision son expérience poétique mais tragique. Il fait une autocritique de son parcours chaotique et reconnaît ses erreurs. Le regard qu'il porte sur son passé est un regard lucide. "Alchimie du verbe" dénonce la crédulité et la naïveté dont il a fait preuve. Il utilise l'imparfait

femme aimée v.2 + pouvoir d’attraction : les soleils viennent à elle v.2· Une richesse : §9 : métaphore des pays et villes réputés pour leur richesse : Pérou, Indes, Golconde v.36 --> yeux = trésor pour le poète· Un bonheur qui a le goût du paradis : ô vocatif v.35 : adorationII. Mais ce poème évoque aussi la souffranceA. Ce poème évoque la souffrance due à la guerre et à l’occupation· La mort : v.3 : « les désespérés » et la souffrance des combats : ombre des oiseaux = bombardements ; marins qui

»Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maîtreA détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »—Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez ditSi vous aviez un peu de lettres et d'esprit :Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettresVous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il fautPour pouvoir là, devant ces nobles galeries,Me servir toutes ces folles

Guillaume Apollinaire (1880-1918), Calligrammes L'écrevisse Incertitude, ô mes délices, Vous et moi nous nous en allons, Comme s'en vont les écrevisses, A reculons, à reculons  Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire (1911) L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours, Débris où n'est plus l'homme, où la vie est toujours ; La fauvette en avril cherche, ô ma bien-aimée, La forêt sombre et fraîche et l'épaisse ramée, La mousse, et

O femme! femme! femme! créature faible et décevante!... nul animal créé ne peut manquer à son instinct: le tien est-il donc de tromper?... Après m'avoir obstinément refusé quand je l'en pressais devant sa maîtresse; à l'instant qu'elle me donne sa parole, au milieu même de la cérémonie... Il riait en lisant, le perfide! et moi comme un benêt... Non, monsieur le Comte, vous ne l'aurez pas... vous ne l'aurez pas. Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie!... Noblesse,