évocation Du Souvenirs

temps : du crépuscule à la nuit. Passage du jour à la nuit. - évolution dans l’espace : on passe du mouvement (parfums et sons) à l’idée d’immobilité - évolution des états d’âme : émotion, souffrance puis évocation du souvenir. 1/ Le thème de la religion ; Voici venir les temps : évocation du ton prophétique et biblique, très solennel. Insistance sur le mouvement (vibrant, mouvement de l’encensoir, le parfum qui se répand.), souligné par l’allitération en –V 2/ le thème des correspondances entre

: "champs" v. 25, "oiseaux" v. 26, "mer" v. 30 - Espace privé : "lampe" v. 45, "maison" v. 48, "chambre" v. 50, "chien" v. 53 Etat d'esprit du poète : "absence sans désir" v. 73, "solitude nue" v. 74, "espoir sans souvenir" v. 79 Evocations fréquentes d'un fait et de son contraire -> Volonté d'englober la totalité de l'univers : V. 5-6 : "pages lues"/ "pages blanches" V. 22-23 : "soleil moisi"/ "lune vivante" V. 17-18 : "nuits"/ "journées"

durement éprouvés par cet enferment. I. L’univers carcéral a) Le dénuement La première évocation de la prison montre le rituel : la fouille. Pour Apollinaire, la prison est le lieu de l’humiliation, où l’homme perd de son humanité « il a fallu se mettre à nu ». L’expression « avant d’entrer » qui ouvre le poème montre que l’humiliation avait se faire avant même d’être enfermé. Cette évocation de la nudité est renforcée par la description que fait le poète du milieu carcéral , les murs

souffrir sans trop de peine et qu’ainsi le « mal soit délicieux » B. UNE VISION ONIRIQUE DE L’AMOUR PERDU 1. le collage des souvenirs D’ailleurs, l’amour vécu est décrit comme s’il n’avait été qu’un rêve qui « semble venir des cieux » puisque la « musique est si lointaine ». Les souvenirs s’entremêlent et sont collées des images de l’amourette en Belgique à celles de l’amour plus mature où « les masques sont silencieux », où la fausseté de l’amour

la «ville énorme» ( rappeler Révolution industrielle et exode rural) . Le spectacle du Paris changeant est l'occasion pour lui de se laisser aller au souvenir du vieux Paris qu'il a connu enfant . L' évocation assez réaliste de la ville avec sa voirie, ses baraques, ses échafaudages... n’est qu’une porte ouverte vers l’ailleurs du souvenir car à l’image de la ville réelle se superposent les images disparates que convoque le poète, essentiellement sous le signe de l'évocation mélancolique du

plus pouvoir accéder à la centrale. Combiné à cela, un autre évènement va le mener vers la solitude : la disparition de son ami Loïc  évocation du passé commun avec son ami, dans le cadre du travail, mais également dans la vie quotidienne (Voir le sujet pour un relevé précis). / Evocation de la vie entière qu’ils ont eue en commun en quelques phrases, pour se souvenir les moments qu’ils ont passé ensemble. Sujet d’écriture : Sujet d’écriture d’invention C’était un jour comme les autres sur la capitale

I) Présence de la femme aimée qui permet l’entrée dans le rêve A. Evocation du couple d’amants * Champs lexical de l’amour sensuel (extase, alcôve, amour, sève, ivresse, désir, amoureuse) * Sentiment d’extase et d’admiration (anaphore de « « ô » et apostrophe « ô mon amour ») B. Femme sacrifiée au profit de ce qu’elle inspire Elle fait naître la rêverie en évoquant chez le poète des sensations et des souvenirs. C. Fragment du corps de la femme : la chevelure * Blason = éloge

devienne son complice sur la piste de " l'inconnue ". Mais le poète propose des repères qui n'en sont pas, et il convient pour conduire l'enquête de s'investir dans le rêve qu'il donne à partager. • " je me souviens " (v.10) montrent que les souvenirs de Verlaine semblent s'être estompés avec le temps. • La femme de Verlaine manque de précision, elle est envisagée d’une façon globale et abstraite. 2ème Partie • [Sa progression]Verlaine n’a pas trouvé dans sa vie la femme qu’il cherche

un monde de mouvement et de lumière : la vie sous toutes ses formes - L’univers du poète est un monde constamment en mouvement : - évocation d’un monde qui grouille de vie par des métaphores animales : V 1 « fourmille », V9 « essaim » - évocation de mouvements plus lents, rythme grandiose de l’univers : V2 « tournoiments » des astres - évocation de mouvements rapides, vifs : « pétille », « tremblote », « clignotement » - l’univers du poète est un monde lumineux : « astres d’or »

évoquer ses souvenirs d'enfance. Son double est là aussi pour la pousser et lui faire tenter d'évoquer ses souvenirs; on le retrouve à la page 11 « cette fois (....) c'est de toi que me vient l'impulsion, depuis un moment déjà tu me pousses ». Les phrases les plus simples et les mots les plus marqués refont surgir les sensations les plus enfouies. Tout au long de la remémoration des mots par Natacha, ceux-ci deviennent des « tropismes ». Ce sont des mots, bien qu'elle ne veuille s'en souvenir qui refont