éloge De La Tolérance

l’amant de Marelle. Scandale relaté ressemble à celui de Madeleine et Laroche-Mathieu. « Forts dévorent les faibles », repas symbolique de l’avidité et de l’ambition. Vision très pessimiste, conception anti-idéaliste de l’amour. Traité sur la Tolérance [Voltaire, DS] « Comment, dans cette forme originale, l’auteur rabaisse-t-il les prétentions des hommes et suggère-t-il leurs relations idéales ? » Une prière traditionnelle Les caractéristiques formelles * Prière à Dieu : énonciation

d’Alembert se donne comme objectif d’en rendre compte dans tous ses aspects et de le rendre compréhensible. Les écrivains prennent des positions très critiques et s’engagent dans leur siècle ; on débat sur l’esclavage, la religion, le clergé, la tolérance et le fanatisme, par exemple. On réfléchit sur les types de gouvernement, le contrat social, et sur la place de l’individu dans la société. C’est le siècle des essais, ainsi que des formes de l’argumentation indirecte comme les utopies ou les contes

cité excellente car Lycurgue a porté les spartiates à être de très exacts observateurs de leurs lois. » Ils obéissent à la loi = le citoyen doit obéir la loi, ce qui garantit la concorde. Le débat est qu’est-ce que la loi et le respect de celle-ci ? Eloge de Sparte « La cité où l’on obéit aux lois est heureuse durant la paix et invincible durant la guerre. La concorde est un grand bien dans une cité. Sans elle ni les cité, ni les familles ne peuvent pas être bien gouvernées ». Mais également l’autre

n’a pas disparu mais n’a pas assez de poids pour en être parlé. Pour le jésuitisme on en parle surtout dans l’éducation. « Les Pensées » : Blaise Pascal avait un grand projet, celui de faire Apologie de la religion chrétienne (Apologie = Eloge ×10), des libertins  le libertinage. * Le libertinage : Dom Juan (un libertin). Pascal réunit, prend des notes mais ne termine pas car il meurt. Sa belle sœur et son père les éditent quand même  « Les pensées ». Thème de ce texte : La place

est le seul moyen pour éviter l’absurdité. Il écrit ce roman pour illustrer l’absurdité. Fiche de lecture Réflexion sur la nature humaine Montesquieu , « Eloge de la sincérité » (extrait),1717 Il s’agit d’un moraliste mais surtout d’un penseur politique.(1689-1755) ,ce qui le place dans la relation avec le siècle des lumières, siècle des penseurs. Il a écrit deux livre important « les lettres persanes »

libérer la philosophie des références systématiques à la Bible. Ils critiquent différents apects de la religion et notamment la superstition responsable à leurs yeux de nombreuses erreurs de jugement. Toutefois, ils défendent l'idée de respect et de tolérance à l'égard de toutes les religions et continuent à croire en Dieu ou de lui réserver une place dans leur système de pensée. --> Une remise en cause de la tradition et de l'autorité : Les philosophes condamnent les institutions de l'Ancien Régime

Nouveau Monde (= signe de barbarie). Montaigne relativise, et fait l'éloge de ces « sauvages ». ➊ Genre et registres Genre* : Essai. Registre* : argumentatif, et même polémique (contre les xénophobes et les « racistes »). + registre épidictique : éloge de ces prétendus « sauvages ». ➋ L'énonciation Qui parle ? À qui ? – C'est Michel de Montaigne lui-même, l'auteur, qui essaie de nous convaincre. En faisant quoi (actes de parole) ? – Il argumente pour nous convaincre d'un paradoxe*. ➌ La démarche

dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la philosophie des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux, qu’il nomme « l’Infâme », pour la tolérance et la liberté de pensée. Déiste en dehors des religions constituées, son objectif politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Intellectuel engagé au service de la vérité et de la justice, il prend, sur

dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la philosophie des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux, qu’il nomme « l’Infâme », pour la tolérance et la liberté de pensée. Déiste en dehors des religions constituées, son objectif politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Intellectuel engagé au service de la vérité et de la justice, il prend, sur

naturellement au Séminaire de Metz. Ordonné prêtre en 1775, il devient professeur au collège de Pont à Mousson et va chercher à améliorer la situation des pauvres grâce à l’instruction. Il commence à se faire connaître en tant que poète et publie un éloge de la poésie qui lui vaut une première récompense venant de l’Académie de Nancy. Henri Grégoire devient curé du village lorrain d’Embermesnil en 1782. En 1788, grâce à ses voyages en Suisse et en Allemagne il acquiert des connaissances qui le poussent