éloge De La Tolérance

jouer sur les trois à la fois ! Enfin, un discours peut relever du genre judiciaire, délibératif ou épidictique, selon qu’il vise à attaquer ou à défendre une personne ou une idée, à prendre une décision ou à inciter à une action, ou à proposer un éloge ou un blâme dans le cadre d’une rhétorique d’apparat. Cette éloquence, que les auteurs à chaque siècle se sont appropriée, est notamment mise au service de la critique sociale aux XVIIe et XVIIIe siècles. En suivant la chronologie, nous allons donc

avec la société qui les porte. Elle les invite à découvrir et apprécier la diversité des domaines artistiques, des cultures, des civilisations et des religions, à constater la pluralité des goûts et des esthétiques et à s’ouvrir à l’altérité et la tolérance. Elle est l’occasion, pour tous, de goûter le plaisir et le bonheur que procure la rencontre avec l’art. 2 I. Dispositions générales Définitions L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire pour tous les élèves de l’Ecole primaire

régime démocratique : loi d'hospitalité, douceur, droit à la parole... Même si transgression, idée pour les grecs du mal etc. Conclusion : Le fait d'être grec, n'est pas seulement être né en Grèce, mais c'et aussi un ensemble de valeurs.... Grande tolérance pour les usages sociaux et la diversité culturelle ; mais dans le domaine politique, sans compromis, exigente → mépris pour autre système que la démocratie. b) phone / logos (discours / langage) phone = voix / logos = parole phone : expression

Révolution française aussi... 5 Les noms de l’infamie. La pauvreté du vocabulaire athéiste s’explique par l’indéfectible domination historique des tenants de Dieu : ils disposent des pleins pouvoirs politiques depuis plus de quinze siècles, la tolérance n’est pas leur vertu première et ils mettent tout en œuvre pour rendre impossible la chose, donc le mot. Athéisme date de 1532, athée existe au IIe siècle de l’ère commune chez les chrétiens qui dénoncent et stigmatisent les atheos : ceux qui

Marsile Ficin, qui, sous l’égide de l’homme d’Etat florentin Cosme de Médicis, rassembla les humanistes de Florence et entreprit avec Pic de La Mirandole une collaboration parfois orageuse. Il influença même des théologiens en les incitants à la tolérance, comme l’Allemand Nicolas de Cuse, auteur de la Docte Ignorance (1440). Le début de l’Humanisme français fut marqué par le philosophe et théologien Jean de Gerson et ses amis du collège de Navarre, fondé en 1304 sur l’emplacement de la future école

est un point commun avec les utopies. La plus grande différence, est que Dieu est la position centrale chez les Amish. Dans les utopies philosophiques, la religion n’est pas vraiment importante, on la traite peu. Ce qui compte surtout, c’est la tolérance, il y a donc souvent plusieurs religions qui cohabitent. 5 Philosophie 4 Semestre I Jérémie Francfort Ce qui lie les utopies philosophiques c’est l’humain, ce sont des cités où l’homme est le ciment, ils décident eux-mêmes de la politique

référence fondamentale à la philosophie antique gréco-romaine. Importance du développement scientifique, de la maîtrise de l’homme sur la nature. Développement des arts : mécénat « publique », relation politico-religieux. Auteurs :     Erasme : grande tolérance : alliage antique-religieux Rabelais : relativisme Montaigne : réflexion libre à caractère autobiographique Les Lumières Le XVIIIème siècle a été le siècle des Lumières. Période éclairée par la raison permettant, selon les philosophes des Lumières

...... 197 Montesquieu, Lettres persanes E La vertu, condition du bonheur ............................................... 197 J.-J. Rousseau, Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes ; Voltaire, Lettre à Rousseau E Éloge de l’homme primitif ............................................................... 199 Voltaire, Candide E L’Eldorado ......................................................................................................... 200 D. Diderot, Supplément

Avec elle, les philosophes (Pétrarque, Ficin, Mirandole) recherchaient le fond de la conscience humaine afin d'unir tous êtres humains. Il voulaient entraîner avec cette compréhension une pacification des civilisations humaines, – mais avec une tolérance pour les idées religieuses –, et aussi une justice plus juste. Deuxièmement l'esprit scientifique était bien représenté par Montaigne. La méthode souvent utilisée était de d'abord bien observer, noter et analyser, puis expérimenter, tout en gardent

la conscience morale et garantissent la liberté de pensée, de conscience et de religion. La liberté religieuse comporte deux dimensions : une individuelle et une institutionnelle. La deuxième vise à imposer à l’Etat la neutralité religieuse et la tolérance, bien que la liberté d’expression, dans le domaine public, puisse être restreinte pour des motifs de sécurité. Il en va de même pour le port d’un symbole ou vêtement religieux, qui sont sur le principe protégés par la CEDH et la Constitution.