éloge De La Sincérité

remonte aux origines de sa perfection morale en insistant sur l'éducation sur l'éducation que lui a transmis sa mère afin de la préparer à la vie modaine et de lui enseigner les valeurs d'une honnête femme. II) Une éducation irréprochable * a) Eloge de Mme de Chartres Mme de La Fayette fait l'éloge de Mme de Chartres car c'est elle qui a fait son éducation elle est présentée comme une femme méritante car elle a élevée seule sa fille. Elle a abandonné sa vie mondaine pr s'occuper de sa fille on

audace. « elle faisait souvent à sa fille des portraits de l'amour » l.12, « elle lui montrait ce qu'il a d'agréable pour la persuader plus aisément sur ce qu'elle lui en apprenait de dangereux » l.13, « elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques où plongent les engagements » → blâme de l'amour. → imparfait, habitude, elle fait ça depuis très longtemps : montre sa grande préoccupation de l'éducation de sa fille, elle

vu qu’à elle » l28. L2 et 3 on voit que le personnage est hors du commun puisqu’il donne de l’admiration dans un lieu où l’on était aussi accoutumé à voir de belles personnes. Dans « plein de grâce et de charme » assonance en a qui amplifie cette éloge et témoigne de l’admiration. Le narrateur cherche à peindre une jeune femme extrêmement belle et gâtée par le sort. On est face à un personnage hors du commun, idéalisé. c) Un portrait stéréotypé et juste équipé Première apparition de l’héroïne

héroïne en insistant sur l'éducation que lui a transmise sa mère afin de la préparer à la vie mondaine et de lui enseigner les valeurs de l'« honnête femme ». II. Une éducation irréprochable 1. Éloge de Mme de Chartres chargée de l'éducation de sa fille Tout d'abord Mme de la Fayette fait un éloge de Mme de Chartres qui s'est chargée de l'éducation de sa fille et lui a transmis ses valeurs. Elle est présentée comme une mère d’exception, et femme méritante car elle était seule à élever sa fille

audace. « elle faisait souvent à sa fille des portraits de l'amour » l.12, « elle lui montrait ce qu'il a d'agréable pour la persuader plus aisément sur ce qu'elle lui en apprenait de dangereux » l.13, « elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques où plongent les engagements » → blâme de l'amour. → imparfait, habitude, elle fait ça depuis très longtemps : montre sa grande préoccupation de l'éducation de sa fille, elle

domaine de la liberté. Cet éloge de la vie sauvage est par conséquence révélateur des fantasmes européens de vitalité, de simplicité et de liberté à tel point que A se moque de B : « Est-ce que vous donneriez dans la fable d’Otaïti ? ». B refuse l’emploi du mot « fable » employé de manière provocatrice par A, dans son sens de mythe, ou de fiction, d’histoire peu crédible : il donne pour preuve de sa réfutation la « sincérité » du témoignage de Bougainville. Mais cette sincérité est, aux yeux du lecteur

la curiosité - devant la méfiance de Charlotte ( l.44), il invoque ses sentiments (l.46) et sa sincérité - afin de vaincre toute résistance, il lui promet le mariage * la rhétorique du discours met fin aux objections de Charlotte (l.44, l.57) ...et les devance: -la promptitude de la demande en mariage est le fait du "Ciel" (l.70) - D.J invoque sa "conscience"(l.93) - il affirme une sincérité irréfutable, irréprochable ( les dénégations ligne 93, les questions rhétoriques lignes 91 à 99,

début de la Renaissance, c’est-à-dire à la fin du XVème siècle, et composée de deux quatrains et deux tercets) mélancolique (la mélancolie était à la mode au XVIème siècle). Quelle est la raison de cette mélancolie ? Certainement le mal du pays Natal, éloge de ce qui le rend malheureux (le voyage). Conclusion : Heureux qui, qui comme Ulysse, a fait un beau voyage parle en fait, au delà de la simple expérience autobiographique de Du Bellay, de la vie en général. Pour Du Bellay, la vie est un trajet,

attirant la sympathie de la jeune femme, Rodolphe veut souligner sa sincérité en se posant en situation de victime (« mais vous m’oublierez, j’aurai passé comme une ombre » l.119) Le discours de Rodolphe est orchestré comme une parodie de théâtre. Pourtant, sa proclamation reste fortement teintée d’esprit romantique, ce qui séduira finalement Emma. -Refus de masques, des conventions de la société -Refus de la médiocrité (éloge du héros au destin exceptionnel) -Champ lexical de l’élévation :

à l'époque comme raciste et esclavagiste. En 1777, dans son commentaire sur l'esprit des lois, Voltaire loue bien en lui sa dénonciation de tous les esclavages dont l'esclavage négrier. Dans un concours présenté à Bordeaux en 1785 sur le meilleur éloge de Montesquieu, Marat admirateur de Montesquieu, souligna en lui l'efficacité dénonciatrice de sa méthode ironique. En 1791 et 1792, le fondateur de l'Ami du Peuple prendra parti contre l'esclavage des Noirs. Condorcet, célèbre anti-esclavagiste, dans