égocentrisme

séducteur, libertin et défenseur de l'inconstance. Nous allons le prouver en commentant un passage de l'acte I scène 2, où le protagoniste dévoile et exprime au grand jour sa personnalité volage. Nous allons le démontrer à travers sa séduction et son égocentrisme, sa comparaison de l'amour à la guerre, et ses différents procédés oratoires pendant cette tirade. Dom Juan affirme son charme à travers le champ lexical de la tentation avec les termes « je cède dès qu'un beau visage me le demande » mais encore

imposer vos vues, hélas il vous dessert chaque fois que vous ne vous cantonnez pas au simple échange verbal. Vos écrits trahissent votre souci de vous distinguer en usant de votre culture. Vous ne voulez pas être confondu avec tout le monde, par égocentrisme peut-être, mais sans doute aussi parce que vous désirez cacher un complexe d'infériorité somme toute très léger. De manigance, vous en êtes capable si vos objectifs la justifient. Vous utilisez votre habileté dans l'intrigue pour vous mettre en

pas, restant humble. Bref, ces qualités et valeurs caractérisent bel et bien la noblesse de cœur de Boule de suif. Tout au contraire, la noblesse sociale possède de nombreux vices et défauts que Maupassant met en évidence. Commençons par son égocentrisme, d’où découlent son absence de patriotisme et son matérialisme. Étant déçus par le refus de Boule de suif d’acquiescer aux demandes de l’officier, certains se disent qu’elle « aurait pu sauver les apparences en faisant dire à l’officier qu’elle

besoin physique énorme, en mouvement perpétuel Découverte du monde : de l’environnement, de la matière, de la notion d’espace et de temps, éveil intellectuel Découverte de soi et de soi avec les autres : début de la socialisation, début difficile, égocentrisme Apprentissage des codes et règles du monde collectif Découverte de son corps, des deux sexes, de leurs différences, peu pudique Plaisir immédiat : incapacité à se projeter dans un monde futur, non visualisation de projets BESOINS ET INTÉRÊTS

 »). Sa lumière est une garantie contre la mort (rythme ternaire : rallume moi), il veut sa chaleur. -Signes de l’invasion de la mort (« mes pieds commencent à refroidir »…) -Tirade à la fois lyrique et pathétique (impératif et subjonctif) -Egocentrisme du roi (il s’interroge sur le monde sans lui, destruction du monde pour qu’il puisse vivre) (« Il vaut mieux regretter que d’être regretté ») -Face au roi, Marguerite toujours réaliste, moqueuse du roi p77, agacement et mépris -Le médecin souligne

oublie la société, et les tracas de la realite. Le Culte Du moi : On s'examine dans ce qu'on a de particulier, d'exceptionnel.  Cet egocentrisme est à la source de nombreuses confessions et romans autobiographiques. On a conscience de son génie personnel,(sentiment) Le fait que l’homme tournent naturellement vers lui-même. D'où un certain égocentrisme

(médiocrité / réalité ) => Du Roy (noblesse / illusion) « Roy », connotation roi * Force imagination de Duroy « il ne voyait personne, il ne pensait qu’à lui », antithèse personne/lui => égocentrisme. Repris par « il ne les voyait point », « pour lui » x2, « Pour lui, pour lui, Georges Duroy » => égocentrisme puéril et monstrueux. * « il découvrit la chambre des députés » Réalité «  il lui sembla faire un bond » Rêve (accélération dans sa tête) Conclusion : - dénouement qui répond à l’incipit

d’écrire un texte parfaitement ennuyeux , tu t’envoie des fleurs pour te convaincre que ce que tu fais n’est pas inutile . Tu crois qu’en écrivant , elle reviendra ? Tu crois qu’écrire répondra à toutes tes questions , que le fait de confesser ton égocentrisme ne t’y renverra pas forcément dans quelques années ? Avançons . Imaginons la suite . Tu iras te coucher en regrettant d’avoir écris ce tas de n’importe quoi qui t’empêchera plus de dormir qu’il ne t’empêcheras de penser . Mais tu sais que tu y

Le Malade imaginaire – Molière Scène I,1 depuis « Plus, du vingt-sixième... » à la fin de la scènePrésentation :Eléments biographiques (cf. approche générale de l'œuvre) : dernière pièce de Molière, même s'il n'est pas mort en scène, elle contribue à la légende d'un homme qui a consacré sa vie au théâtre et qui a fait évoluer le genre et sa renommée.Le Malade imaginaire est une comédie-ballet, genre qui plaît à Louis XIV, donc à la

un roi grossier et vulgaire rendu par là même ridicule. b) un roi ridicule par son comportement -bêtise -impatience -outrance : énumérations de jurons, égocentrisme (« je » répété), énumération avec une gradation qui n’aboutit pas « je viens de te dire, t’ordonner et te signifier », ou inutile (« à produire et exhiber »). =égocentrisme; roi bouffon. c) une parodie de l’abus de pouvoir et de la politique par le biais du théâtre Conclusion FIGURES DE ROIS : correction du DST du 11/12/10