égoïste Lâche Hypocrite

Dans ce passage il y a deux personnages, Alceste et Philinte. Alceste est contre la société qui l'entoure qui est trop hypocrite. Ce qui l'oppose a Philinte qui lui est hypocrite. Le deuxième texte est De la société et de la conversation provenant d'un des livres « Les caractères » de LaBruyère écrit entre 1688 et 1696. Dans ce texte LaBruyère parle de Théodecte, Un homme égoïste, qui ne fait attention qu'a lui et ces petits plaisirs. Le troisième texte est de Jean-Jacques Rousseau. C'est la quatorzième

(supériorité) intellectuelle qui leur permettra de manipuler et de convaincre leurs compagnons, en poussant les deux religieuses qui réussiront ensuite à faire céder Boule-de-Suif. La encore, la scène de la diligence démontre a qu'elle point ils sont lâche et astucieux. Enfin, les Carré-Lamadon, des bourgeois commerçants qui semblent plus respectables grâce à l’argent qu’ils possèdent, sont plutôt populaires à travers le monde. M. Carré-Lamadon est un propriétaire de trois filatures de coton, officier

céder Boule de Suif. Enfin, elle se rend à l’église et explique à ses compagnons : que « c’est si bon de prier quelquefois » (p.34). Sa piété apparaît donc sincère. Elle contraste : avec les prières mécaniques des religieuses et la religiosité hypocrite de la comtesse, qui n’hésite : pas à abuser de la religion pour pousser Boule de Suif dans les bras du prussien. : En politique, Boule de Suif est bonapartiste. Elle s’emporte violemment quand Cornudet attribue : les malheurs de la France

céder Boule de Suif. Enfin, elle se rend à l’église et explique à ses compagnons que « c’est si bon de prier quelquefois » (p.34). Sa piété apparaît donc sincère. Elle contraste avec les prières mécaniques des religieuses et la religiosité hypocrite de la comtesse, qui n’hésite pas à abuser de la religion pour pousser Boule de Suif dans les bras du prussien. En politique, Boule de Suif est bonapartiste. Elle s’emporte violemment quand Cornudet attribue les malheurs de la France à « cette

seule la matière est réelle. Don Juan est un libertin philosophique, cependant il ne peut juger ou insulter les pratiquants. Il est immoral de ridiculiser et se moquer de ceux qui ont des croyances différentes des siennes. Puis, Don Juan est un hypocrite. Il décide de mentir à son père Don louis à propos de ses croyances. Il lui fait croire qu’il se repent et assume ses péchés. Il prie le Ciel et s'excuse du mal qu’il a commis, cependant le coureur de jupons ne pense aucunement

(ex: Boule de suif est une satire littéraire car Maupassant s'attaque et critique la société qu'il définit d'égoiste et hypocrite. Que reproche Maupassant au occupant de la diligence si l'on compare les 2 repas + si l'on observe leur attitudes à l'auberge à l'égard de boule de suif ? Maupassant reproche aux occupants de la diligence d'être égoiste, hypocrite, et lâche . Nous pouvons observer que dans le premier repas, au début ils s'ont des préjugé sur elle, des à priori à sont

céder Boule de Suif. Enfin, elle se rend à l’église et explique à ses compagnons : que « c’est si bon de prier quelquefois » (p.34). Sa piété apparaît donc sincère. Elle contraste : avec les prières mécaniques des religieuses et la religiosité hypocrite de la comtesse, qui n’hésite : pas à abuser de la religion pour pousser Boule de Suif dans les bras du prussien. : En politique, Boule de Suif est bonapartiste. Elle s’emporte violemment quand Cornudet attribue : les malheurs de la France à

faire céder Boule de Suif. Enfin, elle se rend à l’église et explique à ses compagnons : que « c’est si bon de prier quelquefois » (p.34). Sa piété apparaît donc sincère. Elle contraste : avec les prières mécaniques des religieuses et la religiosité hypocrite de la comtesse, qui n’hésite : pas à abuser de la religion pour pousser Boule de Suif dans les bras du prussien. : En politique, Boule de Suif est bonapartiste. Elle s’emporte violemment quand Cornudet attribue : les malheurs de la France à « cette

faire céder Boule de Suif. Enfin, elle se rend à l’église et explique à ses compagnons que « c’est si bon de prier quelquefois » (p.34). Sa piété apparaît donc sincère. Elle contraste avec les prières mécaniques des religieuses et la religiosité hypocrite de la comtesse, qui n’hésite pas à abuser de la religion pour pousser Boule de Suif dans les bras du prussien. « Les ténèbres » sont les derniers mots du livre, Au premier degré, il s’agit bien sûr de la nuit qui est tombée, mais symboliquement

vertueuse que Boule de Suif, elle est « la consolation des officiers de bonnes familles envoyés à Rouen en garnison ». * Les Bréville : Le comte e la comtesse de Bréville représentent la plus haute classe sociale, l’aristocratie, mais ils sont si hypocrites que les bourgeois. M. de Bréville n’a pas de courage et d’honneur, même s’il se vante d’être un descendent de Henry IV. Il possède également l’art de la parole, capable de convaincre Boule de Suif. La comtesse excelle aussi dans l’art de paraitre