égocentrisme

dénoncer, par le biais d'une caricature très satirique, l'égocentrisme. Comment La Bruyère procède-t-il pour mener la critique de ce défaut ? Nous verrons dans un premier temps que Gnathon apparaît comme un être répugnant, avant d'étudier ensuite son égocentrisme. Enfin, nous observerons comment le portrait prend une dimension générale. I. Un être répugnant 1. Un goinfre Le portrait de Gnathon est un portrait en actes. La Bruyère présente son personnage dans différentes situations de la vie courante

la société : regardez les pédophiles qui, dépendants de leurs pulsions sexuelles détruisent la vie de nombreux enfants. Plus généralement, ce sont les désirs immoraux. Certains désirs comme celui de la réussite sociale ou celui de satisfaire son égocentrisme sont percus comme bons dans la société étatsunienne car elle conduit au progrès. Mais elle peut pour d'autres avoir de mauvais retours... La on posera aussi le problème suivant : laisser libre les gens de satisfaire tous leurs désirs où les

N'accepte aucun reproche. Billet de Figaro : excuse de sa réaction. Vengeance contre Figaro. III - Faiblesse de la comtesse Débat sur les hommes et les Femmes. Pièce sociale et morale. Pour le comte : femmes = comédiennes, manipulatrices. Egocentrisme du comte. Comtesse : faible, naïve. Le comte obtient ce qu'il veut. Conclusion Scène de quiproquos. Au début de la scène, la comtesse renverse la situation, catastrophique pour elle. Suzanne dirige la manœuvre. Le comte, surpris et désemparé

héros, le « vague des passions » qui l'assaille et son désir de fuir une réalité qui l'accable, faisant ainsi de René, un héros typiquement romantique. | | | Tout d'abord, l'extrait étudié met en scène un héros qui trouve satisfaction dans un égocentrisme maladif. En effet, on voit rapidement que René est obnubilé par son « Moi ». L'omniprésence des pronoms personnels (« j'aurais voulu », « j'enviais », « je me promenais) et des déterminants possessifs (« mon coeur », « ma rêverie », « mes regards

passions » qui l'assaille et  son désir de fuir une réalité qui l'accable, faisant ainsi de René, un héros typiquement romantique. | | |         Tout d'abord, l'extrait étudié  met  en scène un héros qui trouve satisfaction dans un égocentrisme maladif.  En effet, on voit rapidement que René est obnubilé par son « Moi ».  L'omniprésence des pronoms personnels (« j'aurais voulu »,  « j'enviais », « je me promenais) et des déterminants possessifs (« mon coeur », « marêverie », « mes regards

comment les tester, ils organisent leurs idées et les objets de façon systématique et utilisent un mode de pensée déductif. L’égocentrisme : L’adolescence favorise l’égocentrisme ou l’individu perçois le monde à partir de son seul point de vue. Cet égocentrisme explique les difficultés qu’ont les adolescents à entendre et accepter la critique. D’autres difficultés : séparer ses préoccupation personnelles à celles des autres, penser que sa propre expérience est unique, la conscience de soi excessive,

I – MATAMORE, UN PERSONNAGE DU PARAÎTRE 1 Matamore fait son propre éloge - énonciation : pronoms et adjectif à la 1er personne = tournure anaphorique : égocentrisme mis en avant. - Champ lexical du pouvoir et de la destruction > Matamore fait son éloge - Opposition singulier/pluriel => Matamore se compare au monde entier (vers 320, 323 et 325), montrant sa puissance et sa supériorité 2 Ridicule de ses propos - Procédés hyperboliques : lexique mélioratif renforcé par la versification, terme

l'offense qui lui a été faite ( code de chevalerie) lexique de l'escrime: engager le fer, rompez, je pare la pointe, je quarte du pied.. 2) autoportrait Cyrano excessif, utilisation de la première personne;portrait très valorisé. Termes mélioratifs. Égocentrisme scénique. {text:soft-page-break} 3)Cyrano, personnage théâtral 1)Cyrano fait son théâtre Glissement du texte vers la représentation. Cyrano devient spectaculaire. Avant, sa tirade du nez avait bouleversé la salle. Entrée fracassante

centripète qui unifie à l’intérieur, capte et s’approprie à l’extérieur. La tendance spontanée du moi est de « persévérer dans son être » ; de s’accroître et prospérer, y compris au détriment d’autrui. D’où les mots formés à partir du préfixe « ego » : égocentrisme, égoïsme, égotisme… L’autre moi est donc un concurrent virtuel, un ennemi bien plus qu’un ami précisément parce qu’il est un « moi »… 2- Alter ? L’altérité de l’autre est ici posée. L’ « alter ego » est aussi un « ego alter », un moi « autre »

symbolique : apogée de l’égocentrisme enfantin. L’enfant n’est pas capable de se place du point de vue d’autrui par indifférenciation avec son propre point de vue. Cette égocentrisme résulte d’un défaut de subjectivité, de décentration. Cet égocentrisme n’est pas un trait de personnalité, il provient d’une limitation cognitive. Cet égocentrisme enfantin se manifeste dans les représentations du monde. Ces représentations possèdes 4 caractéristiques dans lesquelles, l’enfant fait preuve « d’une assimilation