égalité Et égalitarisme

L’égalité semble être une condition d’existence dans la démocratie. Il n’y a pas de démocratie sans reconnaissance d’un principe d’égalité. L’égalité est aussi un objectif des régimes démocratique. Une démocratie a parmi ses objectifs une certaine égalité entre les individus. 3 Analyse des théories politiques 2012-2013 Donc l’égalité est à la fois une condition d’existence et un but de la démocratie. Plan du cours Le cours est divisé en deux grandes parties : - le point de vue historique

modèle d'autres formes d'autorités et en particulier l'autorité parentale et celle du maître. D'où le problème qu'Aristote pose déjà dans le cadre de la démocratie antique, à savoir qu'une disproportion ou un décalage trop important entre d'une part égalité juridique et politique de toute cité et d'autre part l'inégalité du fait de positions sociales (en particulier des termes pauvreté et richesses) qui met en péril la stabilité de l'État → cause principale des révolutions (par exemple le passage d'une

Ce processus démocratique de “l’égalisation des conditions” a donné à l’égalité une valeur prioritaire sur celle de la liberté. Les individus démocratiques préfèrent visiblement l’égalité à la liberté. Mais cet égalitarisme, néanmoins, se présente aussi comme un individualisme : il établit l’égalité d’atomes-individus tous égaux entre eux, une fois abolies toutes les structures de hiérarchies qui les encadraient. Certes, cet individualisme n’est pas un vice privé

les dénominations et les sigles pour faciliter l'information sur les cursus réserves en utilisant des termes connus du grand public (cadets, préparation militaire, préparation militaire supérieur, …) 8 Action sociale P9 : Maintenir le Plan égalité des chances à son niveau théorique. P91: Développer le dispositif cadets en nombre et en le fidélisant vers la préparation militaire. P92: Faciliter l'accès aux formations en alternance et en prérecrutement1. P93: Développer le tutorat. P10:

cité, de fait, la cité ne devait plus avoir que des rivaux extérieurs, puisque chaque citoyen, à part égale, faisait parti d’un tout. Cela est du en grande partie à la réforme de Clisthène. En effet, Clisthène fonda le principe de l’isonomie ( égalité devant la loi ) :chacun a vocation à participer à la vie et aux responsabilités politiques et toute affaire concernant la collectivité doit être débattue en public. A l’assemblée le vote individuel plaçant tout citoyen en situation responsable. Ceux-là

fiction de l’état de nature) ont émancipé l’individualité d’une double tutelle, celle des liens de la créature à son créateur dans l’ordre théologique, et celle des liens du vassal au suzerain dans l’ordre social et politique. En concevant l’absolue égalité des hommes, ils ont également mis en œuvre une représentation paradigmatique de la nature : selon la théorie métaphysique sous-jacente au droit individuel de propriété, la nature est en quelque sorte le matériau brut de l’appropriation individuelle

tout l’individu comme le participant, le membre d’une communauté politique (1999). La philosophie libérale fonctionne à la compassion, la philosophie communautarienne repose sur la bienveillance. La bienveillance accompagne l’essor de la modernité : égalité des droits, respect des personnes, importance de la « vie ordinaire » au regard de la morale. « Pour prendre ce qui est sans doute l’exemple le plus caractéristique de la culture moderne, plusieurs acceptent comme bien suprême (ou devrions-nous dire

institution et mœurs. L'amitié entre égaux et l'amitié entre le supérieur et l'inférieur se fonde sur la réciprocité. L'amitié civique est la traduction sur le plan affectif de la justice comme proportionnalité entre les biens et les personnes ou égalité des rapports, unité et organisation objective de la cité (Aristote) • Le genre humain Il y a une société du genre humain comme expression d'une nature humaine universelle qui fonde un droit naturel. Contre l'opposition de la nature

régionale, Il existe donc qu'un pouvoir constituant. Le pouvoir de participation des collectivités régionales à la vie institutionnelle de l'Etat central est pouvoir quid st finalement limité. La chambre qui représente les collectivités régionale à end égalité un pouvoir législatif limité. La chambre haute à simplement le droit de s'opposer aux lois votées par la chambre basse. Partie 2 : La délégation du pouvoir : les théories de la souveraineté Les théories

d’une telle distinction. Schwartz et Bilsky caractérisent les valeurs par la contribution aux intérêts qu’elles apportent, selon qu’elles concernent spécifiquement l’individu (comme le «plaisir », l’«indépendance»), la collectivité (comme la valeur «égalité» ou la valeur «responsabilité») ou bien qu’elles contribuent à un niveau mixte, à la fois individuel et collectif (comme la valeur «sagesse»). Reprenant les travaux d’Hofstede (1980), Schwartz et Bilsky rappellent que les sociétés varient de façon