échec Parfum Bic

echoue » david GertonQuelque echecs de lancements de produit : New cokel (1985) Pepsi (1999) Le parfum bic (1988) bon marché, en vente dans les tabacs La cigarette sans fumer Lise d’Apple (1983) Lessive ala aux enzymes (1969) L’avantime de renault (2001) Yaourt essensis de danone (2007) Le biboe (1991) ancien telephone portable ( on devait se mettre a 3 m d’un pylone ou il il y avait un pirette pour un emmeteur, donc cela ne marchait pas bien) Salade en sachet Les echecs de société Kodak (2012)

importante : l’offre doit répondre à la demande et la demande doit trouver une offre qui lui correspond. 21. D’après vous, pourquoi le parfum Bic a-t-il été un échec alors que celui lancé par Mont-Blanc est un succès ? Le parfum a une image de produit raffiné, luxueux, nécessitant un choix réfléchi, car il correspond à une personnalité établie. Le développement d’un parfum doit être associé à une société ayant une image de marque correspondant à ces critères. Même si Mont-Blanc n’est pas un parfumeur

produits en fonction de leur prix et disponibilité. Le rôle prioritaire du gestionnaire est alors d'accroître la capacité de production et d'améliorer l'efficacité de la distribution. A abouti dans certains cas à de retentissants échecs : Par exemple, les parfums BIC incompatible avec l'image que le consommateur attend de lui. 2) L'optique produit. Domaine où la technologie est dominante, souvent à tort adopté par les hôpitaux, écoles, musée, administration. Le consommateur préfère le produit

d’obtenir plus aisément des droits de passage exclusifs. o Vers l’aval : l’organisation se positionne au niveau de ses distributeurs, de ses clients : rachat de la chaîne de parfumerie Séphora par le groupe de luxe LVMH, propriétaire notamment des parfums Dior et Guerlain. Horizontale : développement vers des activités qui sont concurrentes ou complémentaires par rapport aux activités existantes. 2) La diversification liée Elle correspond à un développement vers de nouvelles activités qui

satisfaction d’un besoin impliquant une destruction immédiate ou progressive. C’est, à titre d’exemple, le cas d’une bouteille de boisson gazeuse, d’une tablette de chocolat, des pâtes et des stylos. Certaines entreprises telles que Coca Cola, Saïd, Randa et Bic fabriquent des produits de consommation finale. Nous disons que ces entreprises s’adressent à des marchés de consommation finale. 2 Beaucoup d’entreprises produisent des biens ou des services commercialisés en vue de leur emploi ou leur transformation

des critères d’aspect, de praticité, de prix, de qualité… comme les voitures, les meubles. -Les produits de spécialité : que le client privilégie en raison de leurs caractéristiques uniques et / ou leur image de marque, comme dans le secteur des parfums, de la joaillerie, de la bagagerie… -Les produits non recherchés : que le consommateur ne connaît pas ou auxquels il ne pense pas, comme les innovations qui n’ont pas atteint une grande notoriété. 2-Les biens industriels comprennent : -Les

avoir le prix sur l’image d’un pdt. Svt le consommateur utilise le prix comme indicateur de qualité dc les performances objectives sont difficilement perceptibles par les conso. Exemple : parfum Bic à 4€, prix bas donc considéré comme mauvaise qualité mais sa qualité est comparable à une grande marque (55€) échec pdt. De plus, une marque qui s’est positionnée dès le départ sur un créneau de haute qualité peut se servir d’un prix élevé pr conforter son image. La spécificité du luxe est qu’il ne

l’utiliser ? Lorsque le marché présente des caractéristiques similaires, quand le marché est en phase de démarrage, ou encore lorsqu’il s’agit d’un offre spécialisée sans valeur ajoutée. Ex : Mc do, le concept reste le même partout. Bic, tous le monde à utilisé un bic. Limites : risques liés au monoproduit. 3 Marketing différencié Un produit par segment Un plan marketing par segment L’entreprise élabore un produit par segment et répond aux attentes du groupe ciblé. L’ensemble du marché

entreprises vont prêter un intérêt aux consommateurs, adapter leur produit aux besoins, mais qui, même si les études de marchés révèle que le consommateur ne veut pas le produit, vont produire quand même. Sony et la création du Walkman = réussie/ Bic et le parfum = echec Malgré toutes les études, le marketing ne peut pas prévoir à 100% ce qu’il va se passer, car il y a des besoins latents chez le consommateur. De plus la société évolue et il est compliqué de tout prévoir. Ce type de marketing est très

déclin, grâce à leur puissance financière et les outils dont elles disposent (Apple avec son IPod, par exemple). - Risque d’échec du produit : malgré toutes les études préalables au lancement du produit, celui-ci peut s’avérer être un véritable échec (parfum Bic, par exemple, lancés en 1988 et retirés en 1991). En cas d’échec, tout l’argent investi est perdu, et l’entreprise à tout intérêt à pouvoir assumer cette perte. - Si le produit lancé est un succès, la relance du marché risque de voir arriver