Utopie Au 18ème

auteurs qui considèrent que les principes d’organisation politique et sociale ne peuvent provenir que de Dieu et donc révolution de 1789 = absurdité, trahison. * Ecole positiviste : se détourne de Dieu et remplace « Dieu par la science », fin 18ème, début 29ème : période marquée par progrès scientifique et développement d’inventions qui vont révolutionner la France. Dans l’école positiviste, tous ne son pas sur le même registre : certains sont beaucoup plus proches des libéraux (Angleterre)

est ronde et que si on part vers l'ouest on arrive en Chine et le voyage serait beaucoup plus court. Il va donc découvrir Espagnolia et est appelé grand gouverneur de toutes les terres et iles qu'il découvrira. CC est un lettré et il a conçu une utopie chrétienne : il faut partir sur la mer. Pour CC il y a l'idée que Dieu va protéger son expédition. Il ferra 4 voyages, mais CC pense être aux portes de la Chine. Conséquences : reconnaissance des routes maritimes confirmation q'uil existe des

logocentrique mais aussi de la fonction d’interprétance de la langue, fonction que la langue seule remplit à l’égard de tous les autres systèmes de signes. Benvéniste, « Sémiologie de la langue ». – pas d’abstraction verbale (le livre sur rien est une pure utopie). Texte fondamental. La langue est pourvue d’une double signifiance : sémiotique et sémantique. Le sémiotique : mode de signifiance propre au signe et qui le constitue comme unité. Signe : deux face : signifiant-signifié. L’un ne va pas sans l’autre

Théocentrisme : considère Dieu, la religion, le pouvoir religieux comme la clé de la compréhension et de l’interprétation du Monde. Anthropocentrisme : conception qui considère l’homme comme le centre du monde et la finalité de tout le reste de l’univers. Utopie : monde où tout est idéalisé, parfait (quelque chose d’irréalisable) s’oppose à la dystopie qui présente le pire des mondes. La satire : œuvre polémique qui critique les comportements d'une époque, d'un type d'homme ou d'une institution. Discours

met en place au 18ème siècle : l'explosion des imprimés et développement du marché de l'édition. Le nombre des imprimés produit se multiplie par quatre, la lecture extensive devient une pratique moderne après le long règne de la lecture intensive ; Les bibliothèques sont alimentées par souscription : Bibliothèque Universelle de roman (1775, 1789) : une compilation des romans célèbres ; le Cabinet des Fées, 1887 – 89 (contes de fées) ; Voyages imaginaires récits de voyages, utopies... Tout ces ouvrages

socio qui permet de retracer l'activité mentale des acteurs historiques et qui permettra de comprendre des objets aussi différent qu'une révolution, une crise éco, ou un mouvement de mode comme Simmel l'étudiera. Karl Mannheim, Idéologie et Utopie parut en 1929 en Allemagne et parut en français en 1956. Karl est un marxiste hétérodoxe. Dans cet ouvrage l'auteur s'est fait une spécialité ds la socio de la connaissance. Ceci est définit comme étant celle qui cherche à établir l'influence

doit s’en remettre à la sécu* nationale. A partir du 17èmes, on a une « civilisation des mœurs » (Norbert Elias* = civilisation de contrôle/ politesse). Naissance de la démocratie représentative 18ème, la propriété privée devient garantie → domination bourgeoisie. France très endettée après- guerre indépendance américaine =/ Angleterre qui financera sans encombres ses dépenses militaires. Conclusion

| | | | | |18ème siècle et le temps des Lumières | | |On cherche à ramener dans la normalité une infirmité prétexte à division sociale.

Montesquieu, peu importe le régime choisi, tant que ce n'est pas le despotisme. Cependant : -La république a des risques de dérives en raison de la démagogie ; c'est donc un régime à éviter ; de plus, se reposer sur la vertu de tous en fait une quasi utopie ; -La monarchie risque toujours, en raison de la simple distribution des pouvoirs entre législatif et exécutif (pas de séparation des pouvoirs), de dériver vers le despotisme. Pour éviter cela, il faut que la monarchie soit modérée. Cette modération

avait seulement quelques milliers de citoyens pour devenir quelques centaines après la guerre. * La réflexion politiques des grecques va être marquée par l’utopie (ils recherchent une cité idéale, meilleur que celle qu’ils ont) ; ils veulent une utopie car ils sont fortement touchés par l’immigration. A partir de là, les tentatives d’explication de la cité sont dites par des penseurs ; Le premier est Hérodote (historien et voyageur qui entreprend un voyage en Egypte et commence à penser au principe