Théories De Démotivation

cadences imposées à l’homme par la machine ou par le chronométrage, la monotonie du travail , la négation de l’initiative individuelle, engendrent à terme des dysfonctionnements sociaux (turn over, absentéisme, accidents du travail…) traduisant la démotivation des salariés. ← le fordisme : B) L’organisation administrative du travail : H. Fayol (1841 – 1925) Fayol complète l’approche Taylorienne en analysant le travail des dirigeants. Il est à la direction ce qu’est Taylor à l’atelier.

plus redoutable au niveau des organisations car elle prend des formes diverses. On distingue des résistance ouvert et explicite (grève, négligence, diminution de productivité) et des résistances sourde ou implicite (absentéisme, retard, mutation, démotivation). Les effets de la résistance peuvent être subtils et cumulatifs. Parmi les formes de résistance au changement : 3.1 La résistance au changement de la part de l’individu : On distingue six causes les plus importantes : Attention et mémoire

du système technique Þ réduction du nombre direct subordonnés par cadre de → le choix d’un découpage territorial est justifié Voir théorie de Woodward (séquence 01) croissance externe + recherche de proximité avec les clients : → la structure suit la stratégie : le développement géographique implique une division par régions Voir théorie de Chandler (séquence 01). l’environnement Déterminants externes Annexe 2 « 5 directions régionales ; Bourgogne, Ile de France

commence à réclamer un meilleur salaire, de meilleures conditions de travail, il peut également influencer ses collègues de travail avec de telles idées… De plus, si on refuse une augmentation, il s’ensuit en général une baisse de productivité et une démotivation. Il sera donc remplacé par un jeune travailleur et la société gardera malgré tout une bonne image vis-à-vis de l’extérieur puisqu’elle recrutera souvent des jeunes talents. A ce propos, quand vous postulez dans une société qui engage très régulièrement

(fête de fin d’année) Des tabous (on ne dit pas) La culture d’entreprise est un facteur de cohésion et de performance III) Les théories de la motivation A) Les théories de la motivation au travail par les besoins. Selon ces théories les besoins poussent à l’action car ils créent des tensions que la personne veut réduire ou éliminer. 1) La théorie des besoins hiérarchisés de MASLOW (1954) Maslow a défini 5 catégories de besoin qui sont hiérarchisés, un besoin satisfait ne constitue

4/ Source de recrutement : Interne : par ex Cooptation, Intranet : Avantages : Connaissances du candidat ; moins de temps ; source de motivation d’être mobilisé… Inconvénients : risque de perdre un bon subordonné pr avoir un mauvais chef ; démotivations des autres candidats ; risque de ne pas satisfaire les besoins du poste  Externe : Médias (presse écrite, audio et visuelle), agences gouvernementaux de l’encouragement d’emploi (anapec), foires, salons et forums, offre de service (candidature

Toutefois l’expression « création de valeur » est ambiguë car elle occulte les conflits éventuels d’intérêt entre les actionnaires (shareholders) et les autres parties prenantes (stakeholders). Or, L’objectif assigné à la finance d’entreprise par la théorie néoclassique est la maximisation de la richesse des actionnaires. Le qualificatif « actionnariale » associé à la création de valeur sous-entend donc que la création de valeur est réalisée au profit des seuls actionnaires. La structure financière

II/ Introduction à la théorie de l’offre Définition : D’un point de vue économique, l’entreprise (ou firme) peut être définie comme une organisation qui rassemble et combine entre eux un certain nombre de facteurs de production dans le but de produire des biens ou des services marchands. En général, et sauf le cas de certains entreprises individuelles ou de l’EURL (société qui ne comporte qu’un seul associé et parfois qu’une seule personne), l’entreprise est une « œuvre collective » qui regroupe

signifie agir par les mains. C’est dans le sens de conduite, direction d’une entreprise qu’il trouvera sa signification anglaise reprise par Henri Fayol dans les années1920.. Considérer l’hôpital comme une entreprise, c’est lui appliquer les théories de sociologie du travail [2] contemporaines. Ainsi, on pourra considérer que, après la recherche de la productivité dans les années 50 à 80, la recherche de la qualité et un système d’adhésion narcissique du salarié à une organisation idéalisante

SOMMAIRE INTRODUCTION 2 CHAPITRE I : L’ANALYSE DE LA MOTIVATION 1 SECTION I : LES MODELES « AFFECTIFS » : LA THEORIE DES BESOINS ET MOTIVATIONS 3 I-1 : La pyramide des besoins de MASLOW 3 I-2 : La théorie de la motivation par l'accomplissement de David Mc Clelland. 4 SECTION 2 : LES MODELES «COGNITIFS» : V.I.E ET THEORIE DE L’EQUITE. 4 II-1 : Le modèle d’Adams : théorie de l’équité.' 4 II-2 : Le modèle de Vroom : V.I.E.' 5 CHAPITRE II : GENRE FEMININ ET MOTIVATION AU TRAVAIL 1