Texte De Nietzsche Sur L Art

exemplaire d’une socialité négative: figure (comme l’assemblée du peuple et le tribunal populaire) du dèmos comme gros animal gavé et flatté ; communauté complice des pécheurs ; public passif séparé de N °1 13 /A V R IL 20 08 D O S S I E R � 1. F. Nietzsche, Le Gai Savoir, livre II, § 86, «Du théâtre». Philo113 p.1 à 128.qxp 10/04/08 10:39 Page 9 © R és ea u C an op é | T él éc ha rg é le 1 9/ 10 /2 02 2 su r w w w .c ai rn .in fo ( IP : 1 02 .1 58 .2 42 .2 00 )© R éseau C anopé | T éléchargé

Méditations philosophiques[3] (1735), Baumgarten définit l'esthétique comme « la science du mode de connaissance et d'exposition sensible », puis dans Æsthetica (1750) : « L'esthétique (ou théorie des arts libéraux, gnoséologie inférieure, art de la beauté du penser, art de l'analogon de la raison) est la science de la connaissance sensible »[4]. En effet, Baumgarten considère l'idée du beau comme une perception confuse ou un sentiment et de ce fait comme une forme inférieure de connaissance, d'où l'usage

des pistes aventureuses, plus qu’une route bien définie, tracée par le créateur. Entre discours d’un auteur, interprétation d’un spectateur, sont-ce vraiment les œuvres qui veulent dire quelque chose ? Peut-on affirmer un message contenu dans l’art, art qui servirait ainsi, de par ses formes, le message et l’auteur ? Ne peut-on pas plutôt entendre –ou voir – la voix de l’œuvre, qui prendrait le pas sur celle première de l’artiste, dans les signes et les symboles qu’elle porte, qui exigent une interprétation

philosophie de la morale de Nietzsche PAGEREF _Toc194758045 h 16 1. La vie, source de toute valeur PAGEREF _Toc194758046 h 16 2. Lvaluation des valeurs PAGEREF _Toc194758047 h 17 3. La gnalogie de la morale morale des forts et morale des faibles PAGEREF _Toc194758048 h 17 4. Par-del bien et mal PAGEREF _Toc194758049 h 18 a. La sagesse tragique PAGEREF _Toc194758050 h 18 b. Lternel retour PAGEREF _Toc194758051 h 19 c. Le surhomme PAGEREF _Toc194758052 h 19 5. Nietzsche et le nazisme PAGEREF _Toc194758053

philosophie matérialiste qui a pour théorie que toute la réalité humaine dépend du développement et de l'Histoire des forces productives (de l'économie et des techniques). L’histoire n’est que l’histoire de la lutte des classes sociales. Voir le texte de K. Marx, Manuscrits de 1844, ébauches de critique de l'économie politique. L'évolution de la civilisation conduit au développement d'une économie capitaliste. L'économie politique moderne crée de nouveaux besoins, le Besoin d'argent. Donc le besoin

STIRNER ET NIETZSCHE THÈSE Présentée à la Faculté des Lettres de l'Université de Paris Société nouvelle de librairie et d'édition 1904 Sommaire Introduction Chapitre 1er. Nietzsche a-t-il connu Stirner ? Chapitre II . Comparaison entre les idées de Stirner et les idées de Nietzsche dans sa première période. a) l'Unique b) L'Éducation c) La Philosophie et l'Art d) Histoire de la Civilisation e) L'État Chapitre III. Comparaison entre les idées de Stirner et

émerger les notions de Beau et enfin d'esthétique. Le concept d'esthétique est alors né et symbolise cette humanisation. 2. À l'instar de Barthes dans Le plaisir du texte, expliquez en quoi peut-on affirmer que le plaisir du texte est lié au plaisir culturel et la jouissance du texte à une expérience de vie? Le plaisir du texte se réfère à une lecture "confortable", qui empli et qui contente, c'est un terrain connu dont il est facile de parler. Le plaisir est de l'ordre de la culture car on

L’art, désir et volonté Art, désir et volonté : on distingue dans le sujet deux pôles importants. D’un côté l’art, en tant que domaine et de l’autre une dichotomie classique en philosophie, désir et volonté. Il s’agit donc ici non pas tant de s’interroger sur ce qu’est l’art que sur l’interaction qu’il entretient avec les deux notions : désir et volonté. Il faut cependant désigner ce qu’en art on entend confronter au désir et à la volonté. Les œuvres d’art peuvent être considérées, à bien des

un devoir ? Introduction . « L’homme n’est heureux que de vouloir et d’inventer » nous dit Alain dans Propos sur le bonheur. En effet les humains sont constamment à la recherche du bonheur mais encore faut il s’y prendre correctement. Dans le texte d’Alain sont rapprochés les termes de bonheur et de devoir ; nous pouvons obtenir le bonheur tout en rendant service au monde, ou seulement à un simple être humain ou encore à nous même. Nous avons tous des devoirs envers le monde, la société : il

d’une attention inexprimée de recherche sur soi-même. Il s’agit de la naissance d’une totalité qui conduit à ce que nous désirons être aujourd’hui. De sorte que, si l’on considère ce qu’est une société humaine, basée sur une histoire, comme le dit Nietzsche 2nd considération intempestive de l’histoire ; l’histoire est tissée dans un leurre suprême. L’origine est toujours mystifiée, al société s’invente un esprit du peuple qui prend racine dans un germe, une racine de l’esprit du peuple. Il ne s’agit