Taylorisme Rendement Maximum

XVIIIe siècle, l'agriculture a assez peu évolué depuis le Moyen Âge. Les disettes sont fréquentes et les gouvernements ne se préoccupent que peu de la question agricole. Seules les Provinces-Unies possèdent une agriculture vraiment soucieuse des rendements du fait du manque de terre et du coût de la création des polders. L'expression « révolution agricole » peut prêter à confusion, voire à polémique. Dans son livre La deuxième révolution agricole, Claude Laberge qualifie la révolution agricole néolithique

bien-être ». - Les secrétariats sociaux  Ils apparaissent comme les premiers services en GRH : leur rôle consistant surtout à gérer et contrôler l’ensemble des salariés, tout en décourageant la formation de syndicats. Jusqu’en 1880 : le rendement de la main d’œuvre était faible : - les méthodes de travail empiriques - les employeurs embauchant une main-d’œuvre non spécialisée, mais nombreuse. C’est à cette époque que TAYLOR propose une approche originale de la division du travail

a 1 opé simple à effectuer et chronométrée. 1ère hypothèse que Taylor admet => l’Homme n’aime pas le L il est juste intéressé par la rémunération qui l’accompagne 2ème hypothèse => la spécialisation du L selon lui permet d’améliorer les rendements. 3ème hypothèse => au sein de l’organisat°, les patrons et ouvriers on 1 intérêt commun => prospérité de l’E => les patrons pr leur profit et les salariés pr leurs salaires. Il va dc émettre les principes de base de l’OST : - C’est

et traiter de l’information • Informer et mobiliser un ensemble de personnes • Déterminer des objectifs généraux et partiels • Choisir un ensemble de critères afin de comparer les options • Identifier les ressources et contraintes • Rechercher le maximum de solutions • Évaluer les conséquences et le degré d’oppositions • Comparer les solutions • Retenir la solution la plus apte • Revenir sur le choix arrêté par des retours d’information et des contrôles successifs Pour l’étude de cas : 1. La lecture

compétences. Introduction : Quand on parle de GPRH, se pose une question centrale, celle de l’anticipation. Il faut anticiper les événements, les besoins, et il faut construire une logique entre ces deux facteurs à un horizon temporel donnée (au maximum 5 ans). Il y a différents modèles : - Avant 1975, on était dans la planification stratégique, qui dit forcément une planification à moyen terme (3 ou 4 ans), on étudie les caractéristiques de l’environnement, on se donnait des objectifs

l'établissement des lois. Les échanges de réflexion et les travaux effectués au Parlement européen nous paraissent avoir dans ce domaine une importance capitale. Mais encore faut-il qu'ils soient menés dans une optique qui ne soit pas celle d'un rendement économique maximum, sans souci du « bien-être » de l'animal : l'Acte final de la Conférence ayant abouti à la signature de Traité de Maastricht comporte une « Déclaration sur la protection des animaux » invitant les Etats membres à tenir compte des exigences

révolution industrielle à la naissance du marketing. La priorité est d’abord donnée à la production face à une pénurie chronique de biens de consommation (économie de l'offre). Au début du siècle, apparaît la production de masse (le fordisme applique le taylorisme). La crise de 1929 (dépression) suscite une économie de la demande (Keynes). L’évolution du pouvoir d'achat débouchera sur la consommation de masse. On passe alors progressivement d’une économie de l’offre à une économie de la demande. La fin des

révolution industrielle à la naissance du marketing. La priorité est d’abord donnée à la production face à une pénurie chronique de biens de consommation (économie de l'offre). Au début du siècle, apparaît la production de masse (le fordisme applique le taylorisme). La crise de 1929 (dépression) suscite une économie de la demande (Keynes). L’évolution du pouvoir d'achat débouchera sur la consommation de masse. On passe alors progressivement d’une économie de l’offre à une économie de la demande. La fin des

profit comptable mesuré par la différence entre le chiffre d’affaires et les différentes charges, le profit pour l’actionnaire ajoute le coût d’opportunité des capitaux propres. Celui-ci pourrait en effet placer ses capitaux ailleurs à un meilleur rendement. La maximisation à tout prix de la valeur pour l’actionnaire risque d’aboutir à un cauchemar plutôt qu’au rêve friedmanien d’une « société libre ». Mais, cette idée reçue n’étant pas toujours appliquée, il existe quelques espoirs de se réveiller

L9M04-F1/1 L’école des relations humaines (à partir de 1930) L’école des relations humaines (Mayo, Lewin, Maslow, etc.) garde la conception classique de l’entreprise, lieu de production où il s’agit d’optimiser le profit, mais constate que le taylorisme et ses excès n’aboutissent pas, comme prévu, à améliorer la productivité. En effet, l’individu réagit en fonction de son environnement social ; il est sensible à des stimulations autres que financières. Pour assurer le bon fonctionnement de l’entreprise