Taylorisme Rendement Maximum

L’ENTREPRISE I. Pourquoi l’entreprise ? 1.1 Une synergie statique On peut voir l’Entreprise comme une synergie, à un moment du temps (pas de notion de durée), entre différente unités de production, de distribution et de services, en vue d’exploiter des rendements d’échelles ou de gammes de produits. L’exploitation de ces économies va déterminer la taille de l’entreprise. Les économies d’échelle Bénéficier d’économies d’échelle signifie atteindre un volume d’activité qui permet de diminuer les coûts de production

| |Frédéric Taylor |Partisan d'une organisation rationnelle du travail (OST) En marge, il s’est intéressé au système de | |(1856-1915) |motivation(salaire au rendement) et de sélection. | |« the one best way » |Structure hiérarchique et spécialisation des tâches | |

management : 1-Le taylorisme : A la fin du siècle dernier, Frederick TAYLOR établit une théorie de Gestion Scientifique des Entreprises et de Méthodes de travail basée sur l’étude des temps élémentaires. Les principes essentiels sont les suivants: - Les responsabilités d’organisation des tâches, même les plus élémentaires, sont du ressort de l’encadrement ; les ouvriers sont de purs exécutants - Chaque ouvrier ne réalise qu’une tâche très courte, afin d’obtenir un bon rendement par l’accoutumance

(parcellisation du travail), spécialisation des tâches et chronométrage du temps de travail. * La division sociale (verticale) : séparation entre la conception ,l'exécution et le contrôle (the right person in the right place). * Salaire différentiel au rendement : le salarié ne recherche qu'une seule chose dans le travail, la rémunération, d'où la nécessité de payer plus pour les ceux qui travaillent plus. Taylor introduit une variabilité de la rémunération en fonction du respect des normes techniques. Il

chronométrage : c’est le calcul temporel, tout est scientifiquement chronométré chaque tâche doit être rempli dans un certain temps. TAYLOR a crée un bureau de méthode visant à réfléchir a l’efficacité du mode scientifique d’organisation du travail. Le taylorisme va se mondialiser et est toujours à l’origine des méthodes de doping social. Ce système va s’encrer dans le capitalisme si bien qu’on va parler de société Tayloro fordienne. Ford va comprendre l’intérêt qu’il y a commencé une politique social

ou «loi de Malthus» La population a tendance à s’accroître selon une progression géométrique alors que les subsistance et les ressources on tendance à s’accroître selon une progression arithmétique. Cette affirmation repose sur l’existence de rendement décroissant dans l’agriculture Ainsi, malgré leur croissance, les ressources sont insuffisantes par rapport aux besoins de la population et la misère et la sous-alimentations s’installent. Pour établir un équilibre, il y a des obstacles naturels

les ouvrier  garde la paix social dans son entreprise) ¤ Sur un plan macro, le salaire tend à se « fixer » par un équilibre de marché (en neutralisant l’augmentation de l’offre de travail). Exemple : les patrons essaie de diminuer les salaires au maximum et cette valeur minimal est le salaire de survie en dessous du quel l’ouvrier va se révolter). Mutation du salariat sur le pouvoir d’achat Comme la salarisation va soutenir le développement de l’industrie (on va acheter les biens produits), il

entre l’employeur et les ouvriers, dont les salaires sont fortement augmentés s’ils respectent ou dépassent la norme.  Le premier grand industriel de l’automobile, Henry Ford, partage les idées de Taylor. Il impose l’organisation, demande  des rendements élevés, et donne en contrepartie de bons salaires. C’est d’ailleurs nécessaire pour limiter la rotation  rapide  des  ouvriers,  qui  n’apprécient  guère  le  travail  à  la  chaîne  qu’il  a  institué.  Ce  donnant‐donnant  restera  dans  l’histoire comme la base du « compromis fordien »

et degré d’autonomisation type ORGANISATION DE LA PRODUCTION Nature et mode de division du travail Type et degré d’autonomisation type H. Ford s’est beaucoup inspiré du taylorisme ; son modèle a été dominant sur toute la seconde moitié du XXème siècle parce que : * OST à grande échelle (parcellisation, rendement, standardisation=tout faire de la même manière tout le temps) * Incorporation du progrès technique (automatisation de la production). Important= le tapis roulant = chaîne de

productivité et un très faible intérêt pour le facteur humain. Ce style est très efficace à court terme. Style (1,9) – Gestion de type « social » Maintenir à tout prix des relations harmonieuses dans le groupe sans se soucier de la production ou du rendement. Le leader cherche à plaire, à faire plaisir à tout le monde, a horreur des conflits, peu de contrôle, pas de sanction, rencontres informelles… Il Correspond au style centre de loisirs. Le leader est très attentif à l'état d'esprit des employés