Système linéaire

. . . . . . 1.1.1 Ensembles . . . . . . . . . . . 1.1.2 Nombres complexes . . . . . . 1.1.3 Trigonométrie . . . . . . . . 1.1.4 Dénombrement . . . . . . . . 1.1.5 Structures algébriques usuelles 1.1.6 Polynômes . . . . . . . . . . . 1.2 Algèbre linéaire . . . . . . . . . . . . 1.2.1 Dimensions . . . . . . . . . . 1.2.2 Matrices . . . . . . . . . . . . 1.2.3 Déterminants . . . . . . . . . 1.3 Algèbre bilinéaire . . . . . . . . . . . 1.3.1 Espaces préhilbertiens . . . . 1.3.2 Espaces euclidiens .

économiques. Il revient à la théorie économique de spéci er le modèle, d'en sélectionner les variables pertinentes, et d'établir, à priori, une distinction entre les variables, suivant leur rôle dans l'explication des faits. L'ensemble des variables et le système de relations qui les lient (équations, inéquations) constituent le modèle. 2. Les variables ‹ La loi psychologique fondamentale....c'est qu'en moyenne et la plupart du temps les hommes tendent à accroître leur consommation à mesure que leur revenu

valeur propre de f , alors µ = λ2 est valeur propre de g. 4. En déduire les seules valeurs propres possibles pour f. 5. Pour un vecteur x quelconque de E, montrer que : f(x) + 2 x ∈ Ker (f − 2 idE ) f(x) − 2 x ∈ Ker (f + 2 idE ) 6. Construire un système de générateurs de E formé de vecteurs propres de f. 7. Diagonaliser f , soit directement, soit en utilisant ce qui précède. EXERCICE 7. Etudier le rang, l’image, le noyau, les sous-espaces propres, l’opérateur associé à :  −1 / 2 −1 / 

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 G. Mettre la calculatrice en mode degré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 CALCULS NUMÉRIQUES A. Accéder au menu calculs - Affichage en mode linéaire ou naturel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Expressions avec des écritures fractionnaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A) Saisir une fraction et la rendre irréductible . . . . . . . . . . . .

appareil pour construire le gradient avec des solutions de saccharose à 5 et 20%. L’appareil se compose de deux réservoirs dont un constitue la chambre de mélange. Les volumes présents dans les deux réservoirs s’écoulent alors en même temps grâce à un système de vannes puis une pompe permet de faire couler le gradient via un capillaire (voir Schéma ci-dessous).   Réservoir 1 Réservoir 2 ou chambre de mélange Agitateur Pompe Vanne Capillaire Tube pour gradient   Réservoir 1 Réservoir 2 ou

l'intervalle [0 ; +[ en utilisant la méthode des inégalités successives. f est la fonction définie par f ( x)  3x 2 . f u x| x2 | 3 x2 v | X 3X On passe de x à f (x) en enchaînant la fonction « carré » u : x  x 2 suivie de la fonction linéaire v : x  3 x . Faire les flèches à la règle (en respectant bien la notation de la flèche à talon « a pour image », avec une petite barre). Bien respecter qu’il y a 2 fonctions. Bien mettre les flèches à talon. 1°) f ( x)   3 x  ; 2°) f ( x)  3

applications linéaires et matrices 3.1 Espaces et sous espaces vectoriels . . . . . . . . . . . . . 3.1.1 Rappels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1.2 Somme et somme directe de plusieurs sous espaces 3.2 Applications linéaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.1 Rappels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2.2 Sous espace stable par une application linéaire . . 3.2.3 Polynômes annulateurs d’une application linéaire . 3.3 Matrices d’une application linéaire . . . .

: idoles en marbre blanc. Puis civilisation minoenne (du bronze). 2000-1200 : Minoen vient de Minos (roi de Crête). Crête est aussi l'île de naissance de Zeus, et c'est là qu'il dépose Europe. Pas une civilisation guerrière. 1600 : Apparition du Linéaire A. Vers 1450 : destruction des palais suite à des catastrophes naturelles (tremblements de terre, incendies), puis palais reconstruits, mais affaiblis. Civilisation mycénienne Civilisation grecque continentale dont la cité la plus importante

k est une fonction affine, de coefficient directeur m = . Le coefficient directeur 4. k(x) = 3 3 3 3 3 3 est positif, la fonction affine est donc croissante. 3x 3 3 5. m(x) = − = − x. m est une fonction affine (c’est même une fonction linéaire), de coefficient directeur m = − . 2 2 2 Le coefficient directeur est négatif, la fonction affine est donc décroissante. 2. g (x) = 6. n(x) = x 2 −(x −1)2 = x 2 −(x 2 −2x +1) = 2x −1. n est une fonction affine, de coefficient directeur m

susceptibles d’être traités à l’aide du même modèle, le modèle de transport, qui constitue une catégorie particulière de Programmeslinéaires. Il serait, bien entendu, possible de résoudre ces problèmes à l’aide des techniques de la programmation linéaire (Méthode de Simplexe), mais la structure très spécifiques des problèmes de transport permet de recourir à des techniques particulières beaucoup plus légères. C’est ainsi que le problème de transport a donc pris une place de plus en plus importante