Synthese Taylorisme Fordisme

La grande distribution procède du fordisme qui permet d'écouler autrement la marchandise vers le consommateur. Autrefois, l'ancien régime organisait cette rencontre acheteur vendeur au moyen de foires où distributeurs et producteurs se confondent. Avec la révolution industrielle à la fin du XVIII siècle, l'éclosion des négociants peut paraître une prémisse de la grande distribution d'aujourd'hui. Le taylorisme a favorisé la production de masse, et le fordisme, la consommation de masse. Le problème

méthodes : -          Taylorisme : méthode de travail qui repose sur une organisation définie comme étant scientifique. OST : vise rendement maximum. Cette rentabilité peut être atteinte grâce à l’analyse des techniques de production. Analyse de la définition des tâches et passage du salaire à la tâche au salaire à l’heure. -          Fordisme : Organisation rationnelle du travail. La production en tâches spécialisées par des ouvriers travaillant à la chaîne. Le fordisme préconise également la

attitudes qui s’estomperont heureusement chez les disciples. Se caractérisant par trois idées essentielles: l’utilisation maximale de l’outillage, la suppression de tout geste inutile dans les mouvements humains, la préparation du travail, le taylorisme peut se définir comme la conjugaison optimale, recherchée scientifiquement, de la machine et de l’effort humain . ❖ FAYOL HENRI (1841-1925) Élève de l’École des mines, puis ingénieur, Fayol devient, en 1888, directeur général d’un grand

La spécialisation des travailleurs : ils exécutent toujours la même opération. - Le travail est rémunéré à la pièce : Taylor estimait que les salariés n'étaient motivés que par l'argent, donc incitation à l'effort pour gagner plus d'argent. 2) Le Fordisme, L'application industrielle : Au début du 20ème siècle, Ford met en application les principes de l'OST dans l'industrie automobile. Ford va introduire deux innovations : le travail à la chaîne et la standardisation : - La standardisation des produits

philosophie orientale. Elle tient en fait à l’impératif de qualité qui caractérise le toyotisme, c’està-dire le système de production propre à l’industrie automobile japonaise, dont Toyota fut le précurseur pour se démarquer de son rival Ford et du fordisme. Plus précisément, il convient de parler de « ohnisme », d’après le nom de l’ingénieur qui a mis au point ce paradigme industriel dès les années 1950 :Taiichi Ohno, promu directeur des usines Toyota puis reconnu comme le théoricien du toyotisme avec

confrontés à ce qu’ils ne savent plus aisément nommer, la maladie et la puissance de mort qu’elle recèle »22 Grâce aux connaissances accrues en matière de composantes physiques et chimiques des organes, ainsi que la maitrise croissante de la synthèse appliquée entre autre à la lutte contre le                                                                                

(rentabilité, création de richesses) mais à en commun le fait de regrouper des individus dont les actions doivent être coordonnées pour atteindre des objectifs. La question est de savoir quelle fonction domine ? Mais l’actualité exige la capacité de synthèse des fonctions spécialisées au sein de la direction générale et la créativité individuelle. Chapitre 1 : Qu’est-ce que la gestion ? 1.1/ Une peu d’histoire et une définition 1.1.1/ Le mot gestion dans l’histoire « Gestio » .latin, Action de

est considérée comme la moins bonne, car le bruit est fort, mais les récepteurs bien plus nombreux. Elle dispose rarement d’un feed-back. Ce type de communication a été conceptualisé avec l’apparition des notions de standardisation, le fordisme, le taylorisme et la publicité… Dans ce type de communication on utilise généralement comme canal l, qu’on appel médias de masse, il y a notÿÿment la mdiocommunication, la télévision as’est souvent l’outil de propagande. Communication de groupe : La

industries capitalistiques, la délocalisation est beaucoup moins recherchée car la volonté de disposer d’une main d’œuvre bien formée et expérimentée à la technique (le capital), constitue un facteur de compétitivité. A titre de conclusion et de synthèse à ce premier chapitre nous pouvons nous reporter aux documents correspondant au complément du chapitre 1 (Voir textes <<De la très petite à la grande entreprise, état des lieux et Les entreprises françaises: enjeux et stratégies>>). CHAPITRE 2

»). B/ Taylor a voulu montrer qu’il existait un temps minimal dans lequel un ouvrier de premier ordre peut exécuter une tâche donnée ; c’est ce qu’il appelle le « temps normal », pour le travail considéré. La théorie des organisations a retenu du taylorisme la conception selon laquelle la direction d’une organisation ne relève ni du génie individuel ni d’aptitudes personnelles, mais d’une technique qui s’apprend. Cependant, l’approche rationnelle de l’activité de production par l’ouvrier ne prend pas