Surestaries

du conteneur vide au terminal par camion, est assurée en respectant les étapes cidessous : Vérification physique et documentaire du TC vide :    Par les représentants des compagnies maritime présents à l’entrée du terminal Mita (cabossement, surestarie, etc…); Par l’agent de sécurité en cas d’entrée des camions pour expédition. Contradictoirement avec les représentants des compagnies maritimes, comportant le numéro du conteneur, le type du conteneur, le numéro du camion, et la date d’entrée ;

couverture des besoins en approvisionnement de l’entreprise (matière premier, pièces de rechange…), régulier et moindre cout. Poursuite des actions d’amélioration du cycle d’approvisionnement par l’élimination des surcouts enregistrés (Magasinage, surestaries…). Optimiser le rapport Qualité/Cout des produits et équipements achetés compte rendue des normes de qualité, des procédures de fabrication et mise en œuvre et des quantités nécessaire Poursuite des actions d’harmonisation des relations avec les

couverture des besoins en approvisionnement de l’entreprise (matière premier, pièces de rechange…), régulier et moindre cout. Poursuite des actions d’amélioration du cycle d’approvisionnement par l’élimination des surcouts enregistrés (Magasinage, surestaries…). Optimiser le rapport Qualité/Cout des produits et équipements achetés compte rendue des normes de qualité, des procédures de fabrication et mise en œuvre et des quantités nécessaire Poursuite des actions d’harmonisation des relations avec les

couverture des besoins en approvisionnement de l’entreprise (matière premier, pièces de rechange…), régulier et moindre cout. Poursuite des actions d’amélioration du cycle d’approvisionnement par l’élimination des surcouts enregistrés (Magasinage, surestaries…). Optimiser le rapport Qualité/Cout des produits et équipements achetés compte rendue des normes de qualité, des procédures de fabrication et mise en œuvre et des quantités nécessaire Poursuite des actions d’harmonisation des relations avec les

polarisation et /ou de variation de la teneur afférentes à la liquidation des importations du sucre, de l’huile et des minerais. ......................... 122 Article 234.- Transfert d’indemnités suite à un débarquement tardif de marchandises (surestaries)................................................................................................................................... 122 Article 235.- Règlement des importations effectuées dans le cadre des expositions-ventes. 122 Article 236.- Contribution

- - Au niveau de la distribution les difficultés rencontrées se résument par deux différents flux : • Flux local : l’infrastructure non adapté (risque de dégradation) • Flux étranger : taux d’occupation au port (paiement surestarie) dépassement du délai de planche, ou starie, donnant lieu à une indemnité de retard, payée par le chargeur au transporteur, à partir du 3ème jour de la franchise. Recommandations pour optimiser lesdits flux : La plupart des dysfonctionnements

connaissement maritime, sinon il prend possession du connaissement et le fret sera payé par la suite. Une franchise de 10 jours est accordée par CMA-CGM à ses chargeurs, délai pendant lequel le séjour du conteneur au terminal n’est pas sujet aux frais de surestaries. A l’export nous avons donc 3 étapes principales : * Saisie du BL (Bill of Loading) = Connaissement maritime * Facturation et échange documentaire * Cloture d’escale Entré à MARSA MAROC Sortie du conteneur vide Station/

le moyen de transport est souvent immobilisé sur l’aire de dédouanement ( franchise), quand les documents de dédouanement ne sont pas prêts, des indemnités dans ce cas là, sont facturés en sus. La location des conteneurs génèrent le paiement de surestaries, en cas d’immobilisation de ces boites excédant la durée de location (mauvaise maîtrise des délais d’acheminement et de dédouanement). La mise en place de plates formes de groupage nécessite une gestion rigoureuse de documents d’accompagnement.

les dommages causés physiquement au navire, à son équipage ou à sa cargaison ; elle vise aussi, et peut-être encore plus souvent de nos jours, son immobilisation forcée et les pertes financières en résultant pour l'armateur, et le décompte des surestaries lors d’affrètement au voyage. La pratique des affrètements et l'examen des sentences arbitrales montrent que les clauses en usage à cet égard n'éliminent pas tous les problèmes et qu'il subsiste un contentieux assez important. J. Le Clère écrivait

situation extraordinaire. En 1975-1976 les pays du Golf Arabique ainsi que le Nigeria ont connu des périodes d’engorgement de leurs ports et les transporteurs ont du recourir au transport routier plutôt que de supporter des coûts prohibitifs de surestaries ou encore d’avoir à retarder les opérations de ravitaillement. La RTS peut rentabiliser des investissements existants. Cela pourrait être le cas de l’abattoir de GAO inutilisé depuis des années et qui pourrait contribuer à l’exportation de la viande