Sublimer La Souffrance

les forces du "mal" et les esprits des anciens. Autant de souvenirs d'enfance qui expriment des peurs ancrées dans chacun d'entre nous. Comment puis-je expliquer ce qui se passe, ce que cela signifie et vers quoi cela entraîne ? De sa souffrance, Freud a fait, un combat, il nous incite à nous rebeller contre ces "Maux" (mots), qui gâchent notre quotidien en nous apprenant à les "apprivoiser". Alors, FREUD est-il un "Instructeur", "Professeur" ou simple interprète d'un art subtil, celui

d’une énergie intérieure qui, se nourrissant des expériences de la vie, s’engage sur la voie de la méditation (thème très présent dans la poésie romantique). -2°/- LA Contemplation- A travers la contemplation, le poète médite sur la misère et la souffrance, la vanité des biens terrestres, le destin de l’homme, la fatalité, l’immortalité de l’âme, l’infini et le sens de l’univers.  il semble que notre poème, « Le Mendiant », en soit la parfaite illustration, et ce pour chacun des éléments cités

« Tu m’a donné ta boue, et j’en ai fait de l’or ». Il reste à commenter la valeur généralisante du singulier défini : le mal, qui embrasse ici toutes les formes de souffrances et de misère. Mal social : les êtres déchus peuplent l’univers de Baudelaire. Mal moral : sadisme et goût du crime hantent les âmes. Mal physique : souffrance du corps et des nerfs du poète. Mal métaphysique : celui d’une âme angoissée par l’absence de Dieu, et attaquée pourtant par le tourment du péché et de la damnation

 son lien avec la vertu de sa jeunesse  = > le meurtre sert à retrouver sa vertu perdu = > l’idéal moral est au-dessus de la vie et de la mort  (car en fait il doit bien se douter qu’il va mourir)  II-- Souffrance et douleur du héros = L explique à Philippe à quel point la souffrance du vice, donc la honte , est  insupportable , et provoque une douleur atroce  IIa-- Un lien affectif avec Philippe = L veut être compris de Philippe ; il veut obtenir une image honorable de la part  d’une personne qu’il estime comme une figure tutélaire 

ce qu’exprime le regard du loup (V9) Le regard est évidemment une synecdoque pour le loup. Au vers 4, l’expression « sublimes animaux » traduit l’admiration que Vigny a à l’égard des loups ; il les considère comme un modèle qui montre ce qu’il convient de faire. Le Stoïcisme : Doctrine philosophique qui préconise de rester impassible, imperturbable, de marbre face à la souffrance et à la mort. En effet, un stoïcien estime que manifester sa douleur s’humilier, s’avouer inférieur à l’adversité.

CONCLUSION………………………………………………………………………………...8 BIBLIOGRAPHIE………………………………………………………...…………………...9 INTRODUCTION Le célèbre roman français du XXème siècle « La condition humaine » a été écrit par le génie d’André Malraux qui a d’une façon sublime et exceptionnelle décrit la Révolution communiste à Shanghaï où il a mis ses personnages principaux dans de nombreuses situations différentes. A travers ses personnages révolutionnaires qui ont décidé d’affronter la condition humaine, on peut voir

d’une nuit d’insomnie, et d’une figure féminine morte) B. Une représentation paradoxale de la mort Confusion entre la vie et la mort : la femme vivante est évoquée comme déjà morte avec adjectif «  ténébreuse » => superposition vie et mort La souffrance est représentée par les euphémismes, et l’allitération en P Incarnation de la mort par «  le tombeau » : personnification car le tombeau est le confident et il a la parole : «  le tombeau te dira » = noyau essentiel du poème La femme morte n’aurait

mélange du concret avec de l'abstrait " , fusion des amants) On remarque aussi un piège de la pitié, la purification , la transformation l'un ou l'autre s'échappera toujours . 3eme strope : Evocation des sentiments amoureux , avec l'idée de la souffrance , ( registre donc lyrique ) . Une paronomase " ce que j'ai trahi quand j'ai tressailli " ( la paronomase a utiliser deux mots proches par leurs son , et proche aussi l'un de l'autre dans le texte ) . Il y a une incompréhension , une sorte de fusion

Mais refuse de mentir : - Accumutaltions des vices humaines - Antitheses et oxymore • Locus terribilis • Modalisateurs du vrai • Antithese : amour / sacré /beau -> hideux ; amour profané hideux -> sublime • Métaphore antithétique finale : « fange » -> l’amour devient sale et sublime en même temps b. L’orgeuil des amants -> tragique • Conflit verbal, chacun reste sur sa positions -> dénoument tragique : une adieu (« Adieu ») * Texte 5 Lettre 81 des Liaisons Dangereuses

interrogations de l'empereur: il doit se répéter pour être entendu, et alternance de questions directes et indirectes.=>place le théâtre comme un noble plaisir ->ce que désire Dioclétien (présence d'hyperboles et métaphores)+ intervention de Valérie: sublime le métier de comédien.Vante l'art de feindre: théâtre comique+ rappel aux sources antiques dont s'inspire Rotrou->Dioclétien privilégie la surprise (= sensibilité baroque)cf Corneille/ Sénèque =débat Anciens/Modernes suggéré ici.Acte II, scène