Spectateur Acteur

Dissertation : Dans quelles mesures le spectateur est-il partie prenante de la représentation théâtrale ? La particularité d’une représentation théâtrale est qu’elle doit être représentée devant un public. Le spectateur est donc essentiel à une représentation, il suit l’interprétation du metteur en scène. En effet c’est le spectateur qui va déterminer le succès de la pièce. Le théâtre est fait pour plaire au public mais aussi pour le faire réfléchir sur un sujet donné. Nous allons alors nous

les comédies sont faites pour être jouées". Mais pour quelles raisons ? Le spectateur qui assiste à une représentation théâtrale est-il partie prenante de celle-ci ? Dans quelles mesures fait-il partie intégrante du spectacle auquel il assiste ? Ce sera l'objet de notre réflexion. De ce fait, nous verrons dans une première partie que le spectateur est partie prenante de la représentation théâtrale grâce au jeu des acteurs et aux procédés utilisés. Puis, dans une deuxième partie nous nous intéresserons

comédien. L'un des deux interlocuteurs — qui est l'auteur — y pose l'insensibilité comme qualité indispensable au bon comédien : « C'est l'extrême sensibilité qui fait les acteurs médiocres ; c'est la sensibilité médiocre qui fait la multitude des mauvais acteurs ; et c'est le manque absolu de sensibilité qui prépare les acteurs sublimes. » Sensibilité : entendons émotion, émotivité, l'ensemble de ces impulsions auxquelles on s'abandonne sans les contrôler. Le comédien sensible est inégal d'une représentation

comédien. L'un des deux interlocuteurs — qui est l'auteur — y pose l'insensibilité comme qualité indispensable au bon comédien : « C'est l'extrême sensibilité qui fait les acteurs médiocres ; c'est la sensibilité médiocre qui fait la multitude des mauvais acteurs ; et c'est le manque absolu de sensibilité qui prépare les acteurs sublimes. » Sensibilité : entendons émotion, émotivité, l'ensemble de ces impulsions auxquelles on s'abandonne sans les contrôler. Le comédien sensible est inégal d'une représentation

1 - En quoi Gérard Elbaz a-t-il fait avec nous un travail de dramaturge ? a)_Quel est l'interêt pour un acteur/spectateur de regarder un livre d'art (cf dernière page) ? b)_Relisons la Lettre à un jeune Poète, la Lettre au Père, et le texte sur Ellis Island: en quoi ces supports peuvent-ils nourrir un acteur/spectateur ? 2 - Parmi tous les supports proposés, quel est celui, avant le spectacle, qui nous a marqués nourri et pourquoi ? Quel est celui qui a libérés certaines attentes par rapport

paliers horizontaux et comportant des escaliers. Aux premiers rangs, sont installés les sièges d'honneur. Les gradins étant souvent orientés au sud, les spectateurs étaient donc éblouis par le soleil plusieurs heures de suite. Face au koïlon, se dresse un bâtiment qui sert de coulisses aux acteurs : la skéné. Le proskénion est le lieu où jouent les acteurs : c’est une estrade étroite et longue, légèrement surélevée par rapport à l'orchestra. 2) Les conditions de représentation La troupe qui va

hauteur mondiale. Dans cette pièce, on retrouve des thèmes typiques à l’écriture de Mouawad, qui permettent un lien avec la Trilogie : la mort, autant que la (re)naissance, les relations père/fils, l’amour, la politique, la peinture… Si bien que le spectateur qui « connaît » Wajdi appréhende peut-être la façon dont la pièce va se dérouler, la façon dont les mots vont le chambouler. Celui qui découvre, lui, va peut-être plutôt se poser des questions sur le dispositif qui peut lui paraître … étrangement

de l’irréel » : tout y est fait d’artifices et de conventions. - le comédien qui feint l’émotion - le langage qui est inventé par l’auteur - le décor et les objets qui sont symboliques II. Cependant, le théâtre porte à la scène les rêves du spectateur dont le « cœur humain » se cherche. Paradoxe : c’est dans un lieu où tout renvoie au déguisement que la vérité se dévoile. III. Conséquences de ce double aspect du théâtre (réel et irréel) : - la variété des mises en scène qui tantôt renforcent

manifestait une insatisfaction du théâtre de son époque du fait entre autres de l'absence de nouveaux auteurs et de la « médiocrité » des conditions de jeu. André Antoine, considéré en France comme le 1er metteur en scène critique aussi les mauvais acteurs, les places inconfortable et le prix trop élevé. Il considère la mise en scène comme une production de sens car elle détermine l'identité et les mouvements de l'acteur et non pas l'inverse. Cet état d'esprit considéré comme naturaliste va entrainer

semblant, l’acteur joue un rôle et le spectateur fait semblant d’y croire mais parfois peuvent se reconnaître dans le caractère des personnages ce qui peut donc montrer qu’il y a une part de vérité dans le théâtre. I. Le théâtre, pays de l’irréel. Le théâtre est un monde «  d’illusion  comique » car tout est feint, les personnages, et le décor. 1. Les personnages a. L’acteur rentre dans la peau d’un personnage, il doit faire croire au spectateur l’histoire racontée. Pour rentrer