Sonorité Hélène

Jersey, c’est Sainte-Hélène. Le motif insulaire permet d’identifier Hugo à Napoléon, par une « subversion de l’histoire » qui ravit l’hérédité de l’oncle à son neveu[21]. Reclus, le poète se voit donc tout de même conférée une position de juge. La geôle du poème fait front aux bagnes réels[22]. Dans le contexte maritime et insulaire des Châtiments, certaines de ces bagnes sont comparables à des îles flottantes. Les pontons, ces bagnes sur l’eau, obsèdent le lecteur de leur sonorité morne. A huit reprises

REPRÉSENTATIFS - Thomas More, Utopie - Erasme, Eloge de la folie - Marot - Rabelais, Pantagruel, Gargantua - Montaigne, Essais - Du Bellay, Les Regrets, Les Antiquités de Rome - Ronsard, Odes, Amours de Cassandre, Amours de Marie, Sonnets pour Hélène - Jodelle - Belleau - Tyard - Peletier du Mans - Baïf - Saint-Amant - Th. de Viau - Corneille (les comédies), L’Illusion comique - Cyrano de Bergerac, Histoire comique des Etats et empires de la Lune - D’Urfé, L’Astrée - D’Aubigné,

l’immortalité de la renommée, Héra lui promet uniquement la gloire, mais Aphrodite promet de lui donner la plus belle des femmes. Pâris désigne donc Aphrodite. Ensuite, c’est la belle Hélène qui apparait, offerte par Aphrodite à Pâris, mais Hélène est déjà l’épouse de Ménélas, roi de Sparte. Pâris enlève Hélène avec l’aide d’Aphrodite. Ménélas veut récupérer son épouse et assiège Troie avec tous les grecs et assiège Ithaque. Le siège de Troie dure une dizaine d’année. Finalement, Ulysse, pour mettre

l'enjambement), 1 ou un groupe de mot est rejeté au vers suivant et termine le vers. Le contre-rejet : l'inverse du rejet. L'ensemble de mot ou 1 mot est placé à la fin d'un vers alors qu'il se raccroche au vers suivant. La rime : Répétition d'une/des sonorité/s à la fin de deux ou plusieurs vers. Rimes homophones : rimes qui ont le même son. Rimes homographes : rimes qui ont la même écriture. Rimes pauvres : 1seul son identique dans le dernier mot. Rimes suffisantes : 2sons identiques dans le dernier

Il fait l’éloge de la beauté physique et de la perfection morale de quelques personnages féminins, devenus célèbres grâce à la puissance évocatrice de ses images : Cassandre, Marie, Hélène. Recueils lyriques principaux : Odes (1550-1552), les Amours de Cassandre (1552), Les Amours de Marie (1555), Sonnets pour Hélène (1578). Le poète Joachim Du Bellay (1522-1560), auteur du manifeste Défense et Illustration de la langue française, fait preuve d’un lyrisme profond et vrai. Il se traduit à travers

traditionnelle: « il y avait » (ligne 1), les personnages sont mis en scène dans un lieu imprécis: « en Westphalie » (ligne 1), qui est un pays peu connu et qui a la réputation d'être arriéré, le nom de château: « Thunder-ten-tronckh » (ligne 1-2) a des sonorités abruptes relevant de l'imagination; de même, l'époque est intemporelle. On se situe donc dans un monde qui semble lointain, voire imaginaire: le monde d'un conte. On retrouve également les personnages et le milieu traditionnels: le contexte aristocratique

ambigüité qui accepte tout les gens comme ils sont et ne porte aucun jugement. Elle est ouverte a toute les différences sociales (ex : son fils est homosexuelle, elle ne le juge pas, elle accepte son choix, sa « différence ») Ce nom n’a pas de sonorité agressive mais plu tôt douce. Sur le plan physique : Coiffée toujours de la même manière, très classique, très peu maquillée. Nous pouvons donc dire qui c’est une personne simple. Sur le plan moral : Elle montre toujours

donne la force aux mots mais les sons, la matière sonore en elle-même. Cependant, la prière peut également être silencieuse, parce que le silence est un moyen de communiquer avec le monde et d'en saisir le sens intérieur, rasa. Entre silence et pure sonorité dénuée de valeur sémantique, propositionnelle, la prière javanaise se situe dans un espace intermédiaire entre le dialogue et l' anti dialogue, dans des formules délibérément obscures dont on attend une effica cité matérielle. Outre la question de

romantiques verront en lui un ancêtre un peu par haine du classicisme mais surtout parce qu’il est le plus grand poète Français avant le XIXe siècle. - Il a écrit Amour à Cassandre[57] en 1552, Hymnes en 1572 et les Sonnets pour Hélène[58] en 1578. • Extraits : Mignonne, allons voire si la rose… C’est une ode à Cassandre universellement connue. S1) V.1 : Mignonne en tête de poème : idée de grâce Vers pleins d’élans (cf

(INTRO+AXE 1 rédigés) Par certains aspects, le sonnet intitulé A une femme , avant-dernier poème de la section Melancholia des Poèmes saturniens, semble reprendre la tradition de la poésie amoureuse (on pense par exemple à Ronsard et à ses Sonnets pour Hélène ne serait-ce qu'en raison du choix de la forme poétique du sonnet). Le poème présente en effet au moins trois éléments caractéristiques du code de la poésie amoureuse : d'abord le choix d'un destinataire explicite, la femme ; ensuite l'image qui est