Socrate Contre Le Relativisme

et le moi, qui se manifeste par un sentiment d’angoisse : – le « ça » est totalement inconscient ; il correspond à la part pulsionnelle (libido et pulsion de mort) ; – le « moi » est conscient ; la part inconsciente est chargée de se défendre contre toutes les pulsions du « ça » et les exigences du « surmoi » ; – le «  surmoi  » désigne l’instance psychique inconsciente, exprimant la puissance des interdits intériorisés (interdit parental, interdits sociaux) qui sont à l’origine du refoulement

raison. Ils veulent à tout pris convaincre et maitrise l'art de la réthorique. Ceci étant : c'est eux qui, pour la première fois, réflechissent sur la loi : ils admettent que celle-ci est humaine. « L'homme est la mesure de toute chose » Relativisme juridique. Vision pessimiste de la justice et de la loi. 2) les Philosophes Eux recherchent avant tout la vérité. Ex : Platon, la république (vers 375). Ils admettent que la loi est une nécessité et que celle-ci est raisonnable. Il disent

juridique. Mecaniquement certains seront propriétaire de la terre et d'autres non , majorité de la population n'a plus le choix que de travailler. Texte n°10 : pierre clastres : « la société entre l'etat » :la société a d'abord été société sans etat. Contre conception , cette fois ci c'est la conflictualité entre les sociétés , des lors que se met en place une société qui se sedentarise, il y a une logique imperialiste , elles seront forcement portées a s'etendre , sedentarisation ; conflit technique

ses vers l'alternance entre les deux, dont l'hégémonie semble se faire tour à tour, c'est là comme le cadre logique d'un affrontement qui n'a jamais de cesse : indéfiniment, l'un conduit au multiple, et le multiple doit reconduire à l'un,tantôt l'un contre l'autre. EMPÉDOCLE, sur le mode "relâché" qui est le sien (pour autant qu'on puisse encore reconstitué ce mode-là...), comme dit PLATON dans le Sophiste, rejoint en vérité HÉRACLITE, plus "tendu" (même remarque...), selon qui : "Il faut savoir que

La matière tend à défaire ce que la vie tend à accomplir. Toute espèce vivante représente au fond un compromis passager, un état d'équilibre. La mort, c'est ainsi, sur le plan biologique, la victoire de la matière contre l'élan de la vie. Mais dans le vivant il y a toujours victoire contre l'inertie. La conscience en entrant dans la matière a du abandonner sa légèreté, sa liberté absolue. L'existence du vivant est soumise à l'effet d'écrasement de la matière, comme il est le paradoxe de la manifestation

pouvoir y faire. Alors ils recherchèrent dans le succès économique les indices de leur salut : si Dieu les avait sauvés, alors ils rencontreraient le succès. A cette influence calviniste se joint l’influence luthérienne qui revalorise le travail contre le catholicisme. Tandis que les catholiques sont censés demeurer indifférents d’un point de vue religieux aux affaires humaines, les protestants luthériens en revanche estiment que le travail et donc la mise en valeur de la Création sont des façons

l’ami Thucydide essaie d’écrire une sorte d’histoire compréhensive pour saisir les motifs de cette guerre entre Athènes et Sparte, au-delà, l’historien restitue l’univers mental, s’attache à décrire les valeurs d’une époque/société, c’est pourquoi contre l’idée d’une sorte de « neutralité axiologie, on peut émettre l’hypothèse que l’historien doit nécessairement s’impliquer dans son étude. » [Max Weber] (Ex : la querelle des historiens concernant le génocide Juif, entre les intentionnistes et les

sophistes c’est Protagoras, il se mettait sur la place publique et interpellait les passants en leur disant qu’il pouvait régler leur litige. Ils commencent à être payés. Korax, il demandait à être payé qu’à condition de gagner un procès. À l’époque de Socrate la plupart de sophistes portaient une toge pourpre. Gorgias était un sophiste, il a accumulé une richesse sans pareille, longévité exceptionnelle (109ans). Il cherche à ramasser de la fortune. Il possédait un talent rhétorique hors du commun. IL était

I) Lectures suivies des principaux apologues du roman ........................................................31 1. L’aventure d’Esope (p 69) ; récit du narrateur. ................................................................. 31 2. La mort de Socrate (p 103) : récit du maître ..................................................................... 31 3. Les deux époux et les fausses prémonitions (p. 105) : récit du maître. ............................. 31 4. La fable de la gaine et du coutelet (p

aussi bien le mysticisme sentimental ou "Schwärmerei" que le scepticisme et la misologie. Toutefois, -4- l’Aufklärung, selon Kant, a tort d’ignorer les limites de la raison humaine, et c’est en cela qu’il faut placer les Aufklärer au-dessous de Socrate. Kant condamne la science lorsqu’elle devient insatiable et vaine : il faut qu’elle re- nonce aux projets qui sont hors de la portée des hommes. Il n’est pas question de condamner la métaphysique en général, il faut qu’elle devienne la compagne