Socrate Contre Le Relativisme

transforme qui vise la vérité. À l’intérieur de la philosophie : 3personnalités : Socrate / Platon / Aristote Le tournant philosophique La philosophie va opérer un retournement les sophistiques. Le sens de l'humain ne sera pas le même. On va vérifier cela grâce à 3 philosophes : Socrate Platon, Aristote. Socrate (470-399) : il va venir troublé le désordre dans l'assurance chez les sophistes, en prenant leur contre-pied, il va affiché son ignorance. Il se présente comme un chercheur de vérité

n'est-elle d'ailleurs pas mirage cette femme séduisante ? Dans le fragment 25 de Par-delà bien et mal, Nietzsche aborde non plus le rapport du philosophe avec la vérité comme une séduction mais plutôt comme une lutte, le fait qu'il cherche envers et contre tout à la débusquer se révèle être un combat. Sur cette lutte, il est catégorique, elle « abêtit » le philosophe, tourne en mascarade sa doctrine, cherchant des stratagèmes argumentatifs - Nietzsche emploie l'exemple de Spinoza dans ce même fragment :

Y-A-T-IL DES VÉRITÉS INDUSCUTABLES ?«  A chacun sa vérité », entend-on parfois, comme si l’on se méfiait de l’idée qu’il pourrait y avoir une vérité définitive, qui vendrait menacer la possibilité, pour chacun, de donner son avis, comme si la vérité coupait court à toute discussion. D’un autre côté, une vérité ne paraît en être une que parce qu’elle met tout le monde d’accord. Y-a-t-il alors, des vérités indiscutables ? La vérité se définit traditionnellement depuis le moyen âge, comme

individuelle et collective par delà toute limitation intellectuelle. Mais à vrai dire notre attitude sceptique est-elle de fond en comble sceptique dès lors qu’elle se revendique d’une éthique créatrice ? Ne sera-t-elle alors qu’une forme élaborée de relativisme qui se fonde sur un agnosticisme à l’égard de l’existence de vérités indiscutables dans le domaine des valeurs et prône la création de valeurs fortes toujours soumises à discussion ? Ou bien si on considére la force créatrice comme une forme d’intelligence

choses de la nature pouvaient être pouvaient être regroupées en deux grandes catégories. D’un côté, il y a les choses inanimées telles que les pierres, les gouttes d’eau, le métal, la poussière, etc. De l’autre, il y a les choses vivantes, qui par contre, elles, peuvent évoluer(10). Rien qu’avec cette toute première distinction, nous pouvons déjà établir que les choses inanimées ne sont pas des êtres(11) (elles ne répondent pas à notre définition(12)) et donc encore moins des êtres humains. Poursuivons

modestie et au recueillement, mais c'est à eux que semble échoir la mission d'étendre cette manière de voir avec le plus d'ardeur et de produire à son appui des matériaux empruntés à l'expérience et accessibles à tous. D'où la levée générale de boucliers contre notre science, l'oubli de toutes les règles de politesse académique, le déchaînement d'une opposition qui secoue toutes les entraves d'une logique impartiale. » (Sigmund Freud, Introduction à la Psychanalyse, Leçon 18.) Conclusion : La vie n’a pas

existence paisible, à la façon des anciens stoïciens ou épicuriens ; en ce sens, on parle de « vivre en philosophe », de « se montrer philosophe ». Au sens antique, est « philosophe » la personne qui « cherche la vérité et cultive la sagesse », comme Socrate et Platon, Épicure et Lucrèce, Épictète et Sénèque. Au sens professionnel est « philosophe » celui qui pense de façon conceptuelle, radicale, critique, systématique les grands principes et valeurs de la vie et de la connaissance, par exemple Hume

son bonheur ». Cela veut dire que les individus ne se satisfont pas de la même façon et souvent, l’enjeu est la capacité à reconnaître l’originalité des autres, et à ne pas se faire dicter une façon d’être heureux. On peut appeler cette idée le relativisme du bonheur, parce qu’il affirme que l’on ne peut connaître le bonheur qu’en relation aux façons spécifiques d’une personne de se satisfaire.D’ailleurs, si l’on regarde les idées les plus courante sur le bonheur, on trouve une puissante diversité

aussi "connaissance", par extension, les choses qui sont tenues pour des connaissances par un individu ou une société donnée; mais là aussi, les philosophes ne s'intéressent pas à cette notion, sauf dans les débats concernant certaines formes de relativisme. En philosophie, on distingue traditionnellement trois types de connaissance : -la connaissance propositionnelle est le fait de savoir qu'une certaine proposition est vraie, par exemple, "savoir que la Terre est ronde", -le savoir

concourent à rendre la scène spontanée : « demande » (l.3), « ajouta-t-il » (l.30), « répliqua » (l.9) … Léry a recours à la méthode antique de la maïeutique : c’est une méthode suscitant la mise en forme des pensées confuses par le dialogue. Initiée par Socrate, elle est utilisée dans ce texte afin de faire accoucher la vérité. Les parenthèses présentes dans le texte nous donnent des explications précises, qui semblent donc véridiques. Cela nous fait penser au discours explicatif : le vocabulaire est précis