Socio Esthétique

reproché aux impressionnistes de ne pas savoir dessiner. On a reproché à certaines musiques contemporaines leur dissonance car elles ne respectaient plus les règles de l’harmonie. 2. Le jugement esthétique est-il social ? • Le beau est une convention Il semblerait, alors, que le jugement esthétique ne peut pas s’appuyer sur des règles objectives et qu’il est seulement conventionnel, qu’il dépend de chaque culture et de la maîtrise que chacun détient d’une culture particulière. Les normes de

l’esthétique. 18e siècle → Les ℓ veulent déterminer des jugements de valeurs et une norme du beau. * Le ℓ BANGOUTEN introduit le terme « esthétique » = La valeur d’un objet réside dans sa capacité à fournir une réaction forte. * L’esthétique est une théorie non de la beauté mais du jugement qui prétend évaluer avec justesse si beau ou laid. L’expérience esthétique découle de ce que l’homme fait de son expérience avec le monde qui l’entoure + objets → expérience véhiculée par PERCEPTION Exp = nombreuses

entreprises 6. Qu’est-ce que le prolétariat? - C’est une catégorie d’ouvrier qui sont désigner à de simple tâches sans savoir particulier et font des travail simple, dangereuses et répétitives 7. À quelles nouvelles sciences, les changements socio-économiques donnent naissance? - Les sciences humaines 8. Donnez trois exemples de découvertes scientifiques ou technologiques faites au XIXe. - Le chemin de fer, le radioactivité et le téléphone 9. De qui dépend le succès de

La Sociocritique La sociocritique propose une lecture socio-historique du texte. La sociocritique, propose une lecture socio-historique du texte. Elle s’est peu à peu constituée au cours des années pré- et post- 68 pour tenter de construire « une poétique de la socialité, inséparable d’une lecture de l’idéologique dans sa spécificité textuelle » [1]. De quelle sociocritique s’agit-il, exactement ? Répondre à cette question est à la fois difficile et relativement aisé. Difficile

pulsions. La publicité se présente comme une façon de conformer la société non pas de matière autoritaire. Ce parti pris Bourdieusien conduit à déconstruire ce qui semblerait procéder d’une évidence, à déconstruire ce qui relèverait d’une esthétique. (esthétique : sentir en commun) Cette fiction de l’esthétique qui conduit à la destruction des clivages, des inégalités. L’esthétique qui rassemblerait alors qu’en réalité elle divise. Elle suppose pour son analyse la prise en compte d’une histoire.

stratégie communicationnelle visant à la compréhension d’un savoir. Davallon distingue encore deux autres styles de mises en exposition : la stratégie esthétique et la stratégie ludique. La seconde partie traite de l’opérativité d’une pratique symbolique. En effet, l’exposition, en tant que pratique sociale et de langage, est un dispositif socio-symbolique. Un rapport de connivence se crée entre le producteur et le visiteur autour d’un objet et cette situation spécifique est productrice de signification

est belle, mais elle est belle parce qu’on l’admire » Introduction - pb : rare car qu’est-ce que l’art ? faut délimiter le champ… proche de l’histoire de l’art ou de l’esthétique champ d’analyse vaste peu abordé aux origines de la socio pb de méthode - ex Georg Simmel : 1925 La tragédie de la culture et autres essais but : Mettre en évidence le conditionnement social de l’art et l’influence des visions du monde sur les oeuvres ex : goût pour la symétrie, les lignes : lié

doute exagéré et prématuré de parler de tournant sensible de la recherche contemporaine, on peut néanmoins relever la prégnance croissante de ce questionnement dans les sciences humaines et sociales. Pour le dire autrement, les questions d’ordre esthétique ne sont plus considérées comme secondaires ou accessoires, elles sont en train de devenir une des clés de la pensée urbaine actuelle. Cette perspective dans laquelle le corps et les sens trouvent droit de cité fait fi des stricts découpages disciplinaires

Analyse d’œuvres d’art 1. Les époux Arnolfini, Jean Van Eyck a. Description Un homme et une femme (époux ?) se tenant la main dans une chambre, un chien, un lustre et un miroir convexe. b. Analyse esthétique * Souci du détail extrême (reflets lumineux, rendus des textures) * Nombreuses erreurs dans la perspective, les proportions et l’échelle * Source lumineuse venant de la gauche * Allure statique et sérieuse des personnages c. Interprétation Ce tableau est énigmatique

finalité de l’art est d’ordre esthétique. Les beaux arts sont la musique, la peinture, la gravure, la sculpture, les arts décoratifs ou encore l’architecture. On voit que même si l’art est compris comme la recherche du beau, il est aussi un formidable moyen d’expression. Problématique : la volonté d’exprimer un certain nombre d’idées ne peut-elle pas être entravée par l’idéal esthétique ? L’artiste ne pourrait-il pas exprimer davantage en s’affranchissant de tout idéal esthétique ? a ce moment là, la finalité