République Athénienne

Platon, grâce à l'influence que Socrate a sur lui, met en œuvre dans son ouvrage « La République » sa propre définition de la justice. Le rôle de la justice pour Platon est donc d'être juste, équitable et assurer la garantie des droits et libertés de chaque individu de la Cité. Cependant, Platon accorde une place plus importante au caractère équitable de la justice plutôt qu'à celui de l'égalité. I. La notion de justice chez le philosophe Platon A) Définition de la justice B) L'objet et les

historique pour voir pourquoi elles étaient vu comme incompatibles et pourquoi elles sont devenues évidentes pour nous. 1.1 Une matrice Athénienne ? La cité Athénienne (-508-323) constitue historiquement l‘exemple paradigmatique de démocratie non représentative. Fonctionnement de la démocratie Athénienne : A son age d’or (5ème siècle avant JC) la démocratie Athénienne repose sur la différentiation nette entre citoyens et non citoyens. C’est une société esclavagiste qui refuse la qualité de citoyen a

parti de leur présence . Esclaves non citoyens, ni droits ni libertés, fonctions multiples, décharge les citoyens des taches quotidiennes lui permettant ainsi de s'occuper de la vie politique . | Rome I / II siècle 200 ans d'Empire av république Empire romain : + vaste que la Grèce, composé de fédération de cité ≈ provinces . S'étend au nord Bretagne au sud Égypte à l'est Mésopotamie. Englobe toute la méditerranée = lac romain. Provinces les + anciennes = provinces sénatoriales , les

imposée chez Rabelais, avec Pantangruel et Gargantua 1532. Le mot devient un nom commun etentre dans le vocabulaire politique du XVIIIe siècle ; il désigne alors le plan d'un gouvernement imaginaire, à l'image de la république de Platon (philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne au Ve sicèle avant J-C.) Ce n'est qu'au milieu du XIXe siècle que le sens courant actuel s'impose et que l'utopie en vient à qualifier une idée (politique ou sociale) séduisante mais irréalisable, de l'ordre de

une confusion des pouvoirs, à une incohérence (sous la république romaine, le peuple -à je ne sais plus quelle époque faut que je revois mes cours d'histoire- était tout puissant, et pouvait élaborer des lois allant à l'encontre de celles précédemment établies, pourtant toujours e vigueur...) ? Qui peut mener, si l'on veut aller au fond des choses, à l'anarchie, à une société chaotique (Mwa ha ha) ? On parle souvent de la démocratie athénienne comme démocratie directe. Pourtant, si elle se voulait

facilement, durcissement des conditions d’intégration. Il y a des étrangers résidents (métèques) et des esclaves, les maîtres peuvent les affranchir mais ils sont assimilés ensuite à des métèques, ils ne deviennent donc pas citoyen. b) la démocratie athénienne : rois traditionnels. Il existe un conseil d’ancien et une assemblée des citoyens qui approuve la loi. Dans certaines cités, on est passé d’un régime monarchique à un régime aristocratique : magistrat (chef temporaire élu pour 1 an, ils représentent

disposant d’un lopin de terre identique. 4) La démocratie athénienne Pour comprendre la démocratie athénienne, il faut s’émanciper de la démocratie d’aujourd’hui. Environ au V siècle avant JC ; Un principe : principe d’identité entre les gouvernants et les gouvernés, c’est-à-dire qu’ils sont identique. La démocratie est donc le gouvernement du peuple par le peuple. 3 grandes caractéristiques sortent de ce principe : * La liberté : les athéniens sont libres, ils ne peuvent être entravés sinon il ne

discussion des choix. C’est donc un modèle qui a été idéalisé. Il faut corriger ce concept erroné. 2) Les limites de la démocratie athénienne Un certain nombre de spécificités qui la distinguent de ce que nous appelons aujourd’hui, la démocratie. La démocratie moderne se fonde sur la liberté et l’égalité. Est-ce le cas concernant la démocratie athénienne ? a) La limitation de l’égalité On note le droit égal à la prise de parole. Néanmoins, il faut définir précisément ce qu’est un citoyen

lui d’acheter ses armes, ses vêtements…). Les plus riches sont les chevaliers, puis les fantassins cuirassés et les plus pauvres. C’est une nouvelle hiérarchie qui s’appuie sur la notion de citoyen-soldat qui est fondamentale jusqu’à la fin de la république romaine. Il va créer les tribus qui sont un moyen d’identifier un citoyen en fonction d’un territoire. Il crée des comices tributes de manière à renforcer l’appartenance territoriale au détriment du lien familial ou patriarcal (patres familias)

en Grèce au 6ème siècle avant JC. Distinctions entre la démocratie athénienne et la démocratie telle que nous la connaissons. La citoyenneté à Athènes ne concernait qu’un nombre limité de citoyens (les femmes, étrangers et esclaves étaient exclus). C’est l’ecclésia, l’assemblée des citoyens, qui prenait les décisions les plus importantes telles que les déclarations de guerre ou les ratifications de lois. Le système athénien n’ignorait pas pour autant le principe de la représentation. Il y avait