Réfutation Socrate

Ce n'est pas de l'argumentation. On raconte ce qui s'est passé. Plan purement théorique. Qui ? Quoi ? Pourquoi ? Comment ? Ou ? La démonstration : c'est la réfutation de la thèse adverse. Épilogue, péroraison : C'est l'art de conclure joliment Platon met en scène Socrate et un ou plusieurs interlocuteurs. Il les fait débattre. Socrate les fait parler, les laisse se tromper. Idées sous-jacente : erreur = nécessite et base de la connaissance. Apprendre c'est soit corriger une erreur soit

persuader plus qu'à convaincre: l'important pour lui est d'emporter l'adhésion, et non de lui fournir des supports rationnels. Socrate essaie bien de "venir à bout" des idées qu'on a pu ainsi intérioriser, plus par le prestige de ceux qui les émettaient que par la prise en compte d'une arumentation sur le fond. On voit ainsi chez lui la pratique de l' "elenchos", processus du réfutation qui vise à mettre celui qui émet une opinion en contradiction avec l'ensemble de croyances qu'il entretient par ailleurs

Maïeutique, Allégorie de la caverne, Théorie des Formes, Participation, Réminiscence, Imitation, Philosophe roi | Œuvres principales | Le Banquet, La République, Phédon, Théétète, Le Sophiste | Influencé par | Pythagore, Parménide, Héraclite, Socrate, Mystères égyptiens | A influencé | La majeure partie de la philosophie occidentale ; une partie de la philosophie islamique | Adjectifs dérivés | platonicien, platonicienne; platonique | modifier  | Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn)

Etude du livre VIILa République Platon Il s'agit, comme le titre l'indique, d'un ouvrage de philosophie politique, mais pas seulement. Socrate dans ce dialogue rédigé par Platon présente à ses interlocuteurs une Cité idéale, parfaite, où règne la justice. On a reproché à ce projet d'être utopique. Mais cet idéal, s'il est irréalisable sur le plan politique, est réalisable sur le plan individuel. La Constitution de la Cité parfaite, même si elle est utopique, est riche en réflexions sur la politique

l’ignorance sans intermédiaire. Pourtant, une telle approche nécessite tout de même de s’interroger plus précisément sur le savoir. En effet, l’ignorance n’est peut-être pas nécessairement absence de savoir. Ici, vous pouvez penser à la célèbre formule de Socrate lorsqu’il dit « je ne sais qu’une chose c’est que je ne sais rien ». La reconnaissance de l’ignorance devient un savoir. Le savoir n’est plus conçu comme la possession d’une somme de connaissances, il est un savoir sur soi, un rapport à soi. Il faudrait

dialogue et l'implicite. Transmettre ses sentiments et ses passions est l'une des fonctions fondamentales de la parole. En révélant ses sensations intérieures, l'homme assure un lien solide avec les siens. Analysant le comportement des amants, Socrate remarque que rien ne leur est si cher que de proclamer solennellement leur passion:« ils brûlent de parler.» La révélation des sentiments est une nécessité, comme le montre le désir ardent d'en parler. Le désir de communiquer ses émotions peut excéder

Cratyle de Platon, Cratyle et Hermogène vont à la rencontre de Socrate, afin de résoudre un différend qui les opposent. Cratyle soutient une théorie naturaliste : pour chaques choses un nom serait naturellement approprié. Donc, la thèse de Cratyle repose sur l'ambition de l'universalité. Les noms sont justes par nature, c'est-à-dire: "qu'il y a par nature une faon correcte de nommer les choses , la même par tous, Grecs et Barbares". Socrate démontre qu'il y a forcemment de l'ambition dans le signe, et

comprend-elle le développement de la pensée rationnelle ? Comment peut-elle se situer dans ce développement ? Il a semblé possible de répondre à partir de trois noms : chacun à sa manière, a donné un sens particulier à l'évolution de cette pensée; Socrate par son sens de la maïeutique, Savinien Cyrano de Bergerac par sa fertile imagination au milieu du 17' siècle. Ernst Haeckel dans la dernière partie du 1 9° siècle par ses positions de biologiste, libre penseur et rationaliste. L'évocation de ces

générale il y a redéfinition des notions fondamentales, réfutation ou correction de l’idée directrice adverse, mais par là même on propose aussi sa thèse tout en réfutant celle de l’autre, par ailleurs, il ne faut pas oublier que l’argumentation philosophique est un type démonstratif c’est-à-dire qui explique avec preuve. De plus en tenant compte la façon dont les philosophes procèdent, il faut écrire ces argumentations même si le grand philosophe Socrate n’a rien écrit pour ses raisons purement pratiques

Cela s’inscrit dans la continuité du créateur de la rationalité et de la philosophie, Socrate, qui déjà, distinguait le ἐπιστήμη de la δόξα. Et c’est dans ce contexte qu’il prononce « ἕν οἶδα ὅτι οὐδὲν οἶδα » soit «  je ne sais qu’une chose, c’est que je ne sais rien » par comparaison aux « sages » qui avaient plus d’opinions que de savoir. L’opinion ne mène donc, presque, jamais à la vérité. Toutefois, Socrate n’est pas enfermé sur lui-même, puisque il ne cherche pas dans ses conversations à partager