Récit Plaisant

Commentaire : Le conte est un genre fort ancien, offrant à travers une histoire plaisante, leçon et matière à réflexion. Sa transmission orale a assuré sa grande popularité, dans toutes lessociétés et à toutes les époques, que l'on pense aux Contes des mille et une nuits ou aux Contes de Perrault. Dans son recueil Mémoire en archipel, l'auteur contemporain R. Belamri livre un « Contearabe », raconté à ses enfants par la mère du narrateur. Ce conte rapporte les mésaventures engendrées par l'animal

efficace ? » Apologue* : récit imaginé illustrant une morale. Pratiqué par de nombreux auteurs. Il cherche à plaire et instruire. Citation Lafontaine : « une morale nue apporte l’ennui le conte est passé et le précepte avec lui » Charles Perrault : Ses «  bagatelles […] renferment une morale utile Problématique : Ne serait-ce pas une des formes d’argumentation les plus efficace qui soient ? (clarté et brièveté) *Mais la morale est cachée sous le récit (un apologue trop court complexe

apologue=cour reict a visée didactique L 1-18 → le recit de PCR (petite fille qui doit se rendre chez sa GM pr lui aporter un panier de victuailles & qui rencontre un loup.) Moralité → renferme lenseignement du conte. I-Un recit pour persuader II)Un recit pour convaincre a) recit plaisant a)un recite au service de l'argument° -presence des

qui se présente sous la forme d’un récit court à visée critique ou satirique, plutôt bref, dont la violence du style permet d’attaquer une institution ou un personnage public ; • le traité, qui est un texte didactique à dominante démonstrative, s’apparente à l’analyse d’un sujet précis (_Traité sur la peinture _de Léonard de Vinci) ; • proche du traité, le discours est aussi un genre à visée didactique. L’apologue : L’apologue est avant tout un récit court à visée morale. Selon La Fontaine

lyriques. [pic]  Questions de forme : récit - dialogue - versification - registres. http://bmirgain.skyrock.com/589701260-LE-HERON-LA-FILLE-ETUDE-COMPARATIVE-DEVOIR-D-UN-ELEVE.html : vous trouverez là une étude comparée des fables « Le Héron » et « La Fille ». Plans possibles pour un commentaire de la fable « Le Héron » I) Un récit vif et plaisant 1. Une structure narrative rigoureuse 2. Les procédés d'animation 3. Le dynamisme du récit II) Une critique de la délicatesse

revenu qui prend à contre pied les contes classiques traditionnels en emprunt leurs principaux personnages en les réunissant autour de ce qui les lie depuis toujours: la peur du loup. Mon choix s'est porté sur cette oeuvre car c'est un album très plaisant a lire qui donnera a l'élève l'occasion de lire ou de relire les différents contes auxquels il fait référence. Plein d'humour et de résonances culturelles il a su créer une rupture de l'horyzon d'attente du lecteur en nous offrant une fin originale

aux idées surnaturelles écrit en 1772 par le philosophe d'origine allemande D'Holbach . Comme Voltaire dans le chapitre 3 de « Candide », ou l’article « Paix » écrit par Damilaville pour l’ Encyclopédie, d’Hollbach aborde lui aussi dans un court récit le thème de la guerre. En effet, au XVIIIème siècle, les philosophes des Lumières ont beaucoup écrit contre la guerre, montrant son horreur ou blâmant son absurdité et l'aveuglement des chefs d'états à vouloir se battre entre eux. Lecture du texte

philosophique= un apologue= un récit fictif. -un pamphlet+ définition. -Philosophe des Lumières qui est aussi un homme de science : aversion pour la superstition et le fanatisme, use du registre de l’ironie, à la manière voltairienne, dans ses attaques de la religion. *-Le plan* de commentairequi peut être adopté : celui du compte rendu de L’Ingénu de Voltaire. Quelle est la fonction du personnage du dervis dans ce texte ? PLAN; I)Un récit plaisant qui obéît aux codes du conte= les

Les fables de La Fontaine ne sont-elles destinées qu'aux enfants ? Une fable se définit comme étant un court récit écrit en vers et ayant principalement un but didactique, se caractérisant par l'usage d'une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, des ressorts. Elle comporte une morale qui est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Les fables les plus caractéristiques comportent un double renversement

genres argumentatifs sont nombreux. Parmi eux, l’essai, inventé par Montaigne, est le plus flou, le plus libre dans sa forme, puisqu’il suit les pensées de son auteur. La fable et le conte philosophique sont des variantes de l’apologue : ce sont des récits qui ont une visée didactique. L’auteur raconte une histoire pour convaincre son lecteur : elle contient une leçon explicite ou implicite. Le point commun de tous les genres argumentatifs est de mettre en rapport des idées générales et des cas particuliers