Rousseau Principe D éducation

vivant ou le tuteur. Par opposition, la capacité et la responsabilité caractérisent le Majeur : - qui a atteint l'âge de la majorité légale ; capable et responsable, le majeur « sait ce qu'il fait » et n'a plus besoin de tuteur. II est en principe indépendant. L'entrée dans la majorité civile lui donne des droits (de vote, de se marier sans le consentement des parents etc.) et des devoirs ( respecter les lois de sa patrie) ; jugé capable de les assumer il est responsable pénalement.

Commençons en comparant deux conduites de vie très différentes : celle de Rousseau dans la 5ième promenade des Rêveries du promeneur solitaire et celle d'Alexandre Jollien, auteur du Le métier d'homme. Le premier, poussé à s'établir sur une petite île, y découvre un bonheur, une jouissance de vivre. Suivant les préceptes épicuriens, Rousseau se laisse en effet séduire par des plaisirs simples comme celui d'étudier la flore ou de se laisser bercer par les eaux d'un lac tout en se délaissant des tracas

premier des socialistes ». Il est le cousin éloigné du duc de Saint-Simon, célèbre mémorialiste de la cour de Louis XIV et de la Régence. Enfant plutôt turbulent, Claude Henri de Rouvroy de Saint Simon reçoit de son éducation d'un précepteur les enseignements de d'Alembert et de Rousseau. Adepte des idées nouvelles, le jeune aristocrate s'engage à 17 ans dans l'armée de libération des États-Unis aux côtés de La Fayette et du comte de Rochambeau. Pendant la Révolution française, abandonnant sa particule

dans la cité.) Remarquons que ces mêmes théoriciens du Droit naturel décrétaient aussi la propriété privée comme un des droits naturels inaliénables, ce qui n'était pas sans poser des problèmes de compatibilité pratique entre les deux exigences. Rousseau faisait d'ailleurs de l'appropriation l'origine de l'inégalité et ne reconnaissait un droit limité à la propritété qu'à l'intérieur de la société fondée sur un contrat légitime. Loin d'être naturelle, la propriété privée se définit juridiquement

permettent de développer le goût, le sens critique et le jugement. Un homme cultivé est formé par l'éducation dès sa naissance puis par l'instruction. Dire qu'un homme est instruit signifie qu'il détient des connaissances étendues dénotant une solide éducation, de la même manière nous disons couramment qu'une personne cultivée est une personne qui connaît beaucoup de choses, qui a développé un savoir. Si la culture découle de l'instruction alors le niveau de connaissances intellectuelles dépend du degré

transfrmation de la nature. 2) L’hypothese et l’etat de nature et de la perfectibilité Perfectibilité : une faculté de se perfectionner. Elle defini l’homme comme un etre inachevé, qui n’a pas de nature definie et definitive. Dans l’individue ; cad principe d’enfance→adulte. L’homme est un prematuré, il a tout a apprendre, il doit dev ces facultés. Dans l’espece, cad seule l’espece humaine a une histoire qui est marqué par l’accumulation et la transmission des savoirs et technique. La perfectibilité

KOSINSKI Thierry 2 ème Année de licence (L2) :M. ALTINTAS Emin 3 ème année de Licence (L3) :M. JANSSEN Olivier Master SHS mention Psychologie :1 ère année master (M1) :Mme ROUSSEAU Amélie Responsable de la Commission Budgétaire :M. SPARROW Laurent Responsable de la coordination des enseignements d’anglais :Mme MACRE Nicola Responsable de la Commission de validation des acquis :M. VILETTE Bruno Responsable ERASMUS :Mme BRUNELLIERE

ne s’exprime pour la première fois au grand jour que chez Rousseau, dans l’Emile. Romantique avant l’heure, le philosophe de Genève a, dans sa jeunesse, vibré au récit des « héros » de l’Antiquité, comme Alexandre, Brutus, ou Cincinnatus ; mais, dans sa maturité, épris de démocratie, il accorde plus volontiers son admiration à « l’homme du commun » qu’aux personnalités « en vue ». Bien qu’il ne le formule jamais explicitement, Rousseau semble penser que les héros constituent en quelque sorte la

ce qu'il sera toute sa vie, et son espèce au bout de mille ans ce qu'elle était la première année de ces mille ans.» Reconnaissance de l’enfant : - reconnaître l’enfance en tant que telle. Parlant d’Emile, Rousseau dit qu’ « il ne doit être ni bête, ni homme, mais enfant ». On a chez Rousseau une reconnaissance de la spécificité de l’enfance à une époque où l’on voit encore l’enfant comme un adulte en miniature, un petit homme et non un petit d’homme. - Laisser mûrir l’enfance. Voir l’enfance comme

liberté est alors sacrifiée à l’égalité. SMITH, ADAM – INDIVIDU ET SOCIÉTÉ LA CITATION « L’effort naturel de chaque individu pour améliorer sa condition, quand on laisse à cet effort la faculté de se développer avec liberté et confiance, est un principe si puissant que, seul et sans assistance, non seulement il est capable de conduire la Société à la prospérité et l’opulence, mais qu’il peut encore surmonter mille obstacles absurdes dont la sottise des lois humaines vient souvent entraver sa marche