Rousseau Déterminisme Liberté

pour la réussite au BAC 2 Notions : conscience- inconscient – violence – mémoire – liberté • La conscience caractérise essentiellement l’homme 1. René Descartes (1596-1650) : « je pense, donc je suis.», Discours de la méthode. 2. René Descartes : « je suis une chose qui pense. » Méditations

nécessairement agir comme un animal ? D’ailleurs qu’est ce qu’avoir un comportement animal ? Il faudrait donc avant tout savoir comment nous pourrions définir objectivement ce qu’est l’homme ? Ce qu’est l’humanité ? Là se trouve un gros problème : pour Rousseau cette question est « la plus difficile à résoudre » à cause de la constante évolution de l’être humain. Ainsi, par la suite nous étudierons le problème posé grâce à différentes parties. Tout d’abord nous tâcherons de nous demander si l’humanité

finalement une illustration, une explication de la théorie matérialiste de Diderot. 1ere partie : Une histoire hétéroclite 2e partie :  « un paradoxe n’est pas toujours une fausseté » Jacques p 709 3e partie : l’inimitié amicale : illustration d’un déterminisme moraliste 1ere PARTIE : UNE HISTOIRE « HETEROCLITE » 1) Un récit ambigu : - La 1ere phrase du texte semble être une sorte de mise en garde sur l’ambiguïté du texte : « Mon cher maître, la vie se passe en quiproquos ». Quiproquo : erreur

: http://www.etudes-litteraires.com/rousseau-discours-inegalite.php#ixzz1eboJvS5H ROUSSEAU “ Ce sont le fer et le blé qui ont civilisé les hommes et perdu le genre humain ”. (p.101). Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755) http://www.webphilo.com/reponses/voir.php?numero=453058845&reponses=23&keyword=pascal&categorie=sujets Il n'y a rien qu'on ne rende naturel, il n'y a naturel qu'on ne fasse perde. " (Pascal) Thème : Nature et culture

qui était déjà présent en lui de manière inconsciente, le plaisir de son existence, de « l’identité de la pure existence » pour reprendre l’expression de C Diano. Cet état n’est pas sans analogie avec « le bonheur suffisant et plein » dont parle Rousseau dans les Rêveries du promeneur solitaire (Cf. Texte) : « De quoi jouit-on dans une pareille situation ? De rien d’extérieur à soi, de rien sinon de soi-même et de sa propre existence, tant que cet état dure on se suffit à soi-même comme Dieu » Qu’est-ce

Spontanément, on peut être tenté de définir la liberté comme le pouvoir de se déterminer sans aucune contrainte, d’agir comme bon nous semble, sans nous soucier des contraintes qui peuvent venir entraver notre action. On assimile alors la liberté à l’indépendance : être libre, ce serait ne dépendre de rien ni de personne, avoir toute l’attitude de se déterminer par soi-même. La liberté apparaît alors comme un pouvoir illimité. Cette définition de la liberté comme un absolu peut s’appliquer à cette notion

d’une position déterministe, on considère qu’il n’y a pas de choix n’y de liberté, mais un destin qui avance en fonction du développement de la société. Les individus sont déterminés (complètement construit) par l’état de la société. Il y a des modèles qui prônent la liberté des individus qui prônent tout et que cela forme une société. Ici c’est une fonction libérale où chacun est libre de ses choix et chacun prône sa liberté) Jean Paul Sartre : « l’homme est ce qu’il fait de ce qu’on en a fait

que le désir de puissance est engendré par la relation à autrui et que le pouvoir sur autrui est le plus grand des pouvoirs. B) Quelle est la conception de la liberté en jeu dans le Léviathan ? 1) Citez la définition qu’il donne dans notre extrait. Dans le chapitre 14, aux pages 17 et 18, Hobbes donne comme définition de la liberté : « l’absence d’entraves extérieures, entraves qui, souvent, peuvent détourner une part de la puissance de faire ce que l’on voudrait, sans cependant pouvoir empêcher

JEAN JACQUES ROUSSEAU 1- Biographie de ROUSSEAU 2- Bibliographie de ROUSSEAU II- ETUDE THEMATIQUE DU LIVRE III CHAPITRE VI A IX 1- Les principaux themes 2- Rapport notionnel des themes 3- Difference notionnelle des themes III- ACTUALISATION DE LA THEMATIQUE ET RESUME 1- Résumé du livre III du chapitre VI à IX 2- Résumé général CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION Le Contrat social a été écrit à la même période que L’Emile. Rousseau après avoir

été développée au XVIIIème siècle par l'abbé Etienne de Condillac (1714-1780) ( Etienne Bonnot abbé de Condillac : Essai sur l'origine des connaissances humaines, 2 vol., P. Mortier, Amsterdam, 1746, 1 vol., Galilée, Paris, 1975. ) et a influencé Rousseau et Marx. Le dogme a trouvé son plein développement avec le léninisme. C'est par l'éducation du peuple que l'on construira la société nouvelle et donc l'homme nouveau écrit Lénine en 1917 (Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine, L'Etat et la révolution