Rôle du spectateur dans l'art

littéraire vieux de plusieurs millénaires qui vise à mettre sur scène une représentation du réel par l’intermédiaire de personnages proches du spectateur. Dans quelle limite ce type de spectacle est-il capable d’installer le réel sur scène ? Nous verrons que malgré sa volonté d’installer le réel sur scène, il reste un spectacle imaginatif dans lequel le spectateur doit être capable de faire la différenciation entre la part de réel et celle de l’illusion. I- Le théâtre essaie d’installer le réel :

Antoine, la mise en scène est « l'art de dresser sur les planches l'action et les personnages imaginés par l'auteur dramatique ». Cela comprend la mise en place d'un décor, de costumes, de figurants mais également les jeux des acteurs. Ceux-ci doivent être en harmonie à la fois avec l'oeuvre écrite mais également entre eux, dont résultera avec le temps une confiance mutuelle. Le metteur en scène relie ces différents facteurs et leur confère une harmonie. Son rôle est de trouver, comprendre et transmettre

Sinon l'art va se retrouver avalé au statut de marchandise.Bref faut-il renoncer à ce terme d’œuvre d'art qui sous entendant un accomplissement étranger à la machine ?Est-ce que l'expérience de l’œuvre d'art peut-elle se concevoir désormais autrement que collectivement 

qu’il était réduit à la fonction de divertissement. Cette avant-garde tenta de réactiver le théâtre par le recours au symbole, l’abstraction et le rituel. L’un des précurseurs de ce mouvement fut le compositeur allemand Richard Wagner. Selon lui, le rôle de l’auteur-compositeur était de créer des mythes à l’image du mythe antique, et de peindre un monde idéal où le public retrouverait sa propre expérience. Son objectif était de cerner l’état d’âme, l’univers intérieur de ses personnages, plus que

prédelle ; le spectateur s’y sent ainsi d’avantage intégré (elle se présente comme une sorte de paysage dans son champ de vision). La technique de la tempera sur bois, employée par Dix pour ce triptyque, rappelle celle des anciens comme Jérôme Bosch et son Jugement Dernier Un triptyque[modifier] Le triptyque : une disposition à l'origine religieuse[modifier] Au Moyen Âge, la présentation des œuvres sous forme de triptyque (mais aussi de polyptyques) se développe au sein de l’art religieux européen

communication. Cette oeuvre délivre un message qui permet de comprendre la façon de penser et de voir le monde d'un artiste ou de ce qu'il veut représenter. Selon Hegel « l'art est moins le miroir de la nature que celui de l'esprit ». Rembranlt faisait ressortir le thème de la « lumière » dans le but de focaliser l'attention du spectateur et ainsi l'amenait où il le désirait. La lumière dans laquelle beignaient les personnages est le signe du savoir. Blake démontre aussi que l'homme fait partie de la nature

l’acteur en soit. Cependant, Aristote privilégie de son côté - en ce qui concerne le théâtre - la catharsis (purgation des âmes, qui vise à obtenir une situation de crise émotionnelle de l’ordre du problème moral chez le spectateur). Mais ce procédé fonctionne uniquement si le spectateur fini par ne plus dissocier l’imitateur de l’imité, ou ici « l’image du modèle ». Donc la moindre association critique envers le personnage qui provoque la catharsis empêche l’identification du lecteur. De ce fait, les

les jeux de masques constituent-ils un thème privilégié au théâtre ? Nous étudierons tout d’abord en quoi le masque est un objet appartenant à l’art du divertissement, deuxièmement, nous verrons quels effets connaissent les spectateurs et comment ils sont produits, et enfin nous examinerons son efficacité de transmission d’un message pour le spectateur. Le masque est premièrement un objet de divertissement existant toujours aujourd’hui comme au carnaval ou lors de la fête du 31 Octobre par exemple

Le théâtre, genre littéraire datant de l’Antiquité, évolue avec son époque depuis plus de vingt-cinq siècles, abordant des sujets divers, de faire rire le spectateur avec une comédie ou le faire pleurer avec une tragédie, il est aussi un moyen de les faire réfléchir sur la société de son temps et des défauts humains. Nous pouvons donc nous demander par quels moyens le théâtre, du grec ancien « contempler » arrive à nous faire porter un regard critique sur les défauts humains. Nous verrons dans un

pièce , on se courtise et on s'aime selon sa condition . Derrière leurs costumes de valet & servante , les maîtres Silvia et Dorante tombent au fil de la pièce, amoureux l'un de l'autre tandis que les deux valets Lisette et Arlequin offrent aux spectateurs des scènes de séduction généreusement boufonnes. Un jeu qui suppose forcément des adversaires et des alliés , des gagnants et des perdants .. 2° la scène d'exposition Acte I - Scéne 1 : dialogue entre Silvia et Lisette > Il s'agit d'une discussion