Rodogune

avec Le Cid, tragi-comédie en alexandrins. (résumé page 125 → 126)-Cinna (1641) (résumé page 128)-Horace (1640) (résumé page 128) -Polyceute (1643) Ces 3 tragédies vont affermir son succès et sa renommée.-Rodogune (résumé page 128 → 129)-Pertharite (1642). A partir de ce moment, il obtiendra moins de succès.Corneille écrira une dernière pièce à l'âge de 69 ans, âge où il cessera sa carrière.Molière (1622-1673)Bourgeois, fait des études de droit mais, à 21

qui permettent de comparer l’évolution des costumes et du jeu des acteurs. Des témoignages du XVIIIe ou du XIXe siècle expliquent la conception que l’on a de l’interprétation des grands rôles. Les tragédies concernées sont : Andromaque, Mithridate, Rodogune. Enfin, le début du film Cyrano de Bergerac de Rappeneau montre une représentation de tragédie à l’Hôtel de Bourgogne historiquement assez fidèle. De même le film Molièred’Ariane Mnouchkine propose deux scènes de tragédie : l’une dans une grange

1633), La Place Royale (1633 – 1634), Le Menteur (1643), Don Sanche d'Aragon (1650) • Tragi-comédies : l’Illusion comique (1635), Le Cid (1637) • Tragédies : Médée (1635), Horace (1640), Cinna (1642), Polyeucte (1643), La Mort de Pompée (1643), Rodogune (1644 – 1645), Andromède (1650), Nicomède (1651), Pertharite  (1651), Oedipe (1659), Sertorius (1662), Sophonisbe (1663), Attila (1667) • Ouvrages à caractère religieux : L'Imitation de Jésus-Christ (1651 – 1656) (trad de Thomas a Kempis) • Essai

d’Auguste (1641), Polyeucte ou encore la Mort de Pompée (1643). Indifférent face aux critiques, il ne respecte pas toujours les règles classiques. Il rencontre alors un grand succès, encore renforcé par la comédie le Menteur (1643) ou la tragédie Rodogune (1644). Il aime à mettre en scène des personnages d’une grandeur d’âme remarquable, confrontés à leur passion ou à des choix délicats. Au début des années 1650, Corneille rencontre ses premiers échecs. Sa comédie intitulée Nicomède (1651) lui vaut

comporte cinq actes, écrits en vers alexandrins; le respect des bienséances et le souci de la vraisemblance participent également du code de l'écriture théâtrale. Rien de choquant ne doit être représenté sur la scène : ainsi, la mort de Cléopâtre dans Rodogune de Corneille, se déroule dans les coulisses ; le récit de Théramène, dans Phèdre, relate l'épisode de la fin violente d'Hippolyte. Le XVIIe siècle voit aussi la résurgence, après une longue éclipse, de genres littéraires hérités de l'Antiquité :

amoureux (poésies, tragédies grecques) lui évoquent sa bien-aimée. Il apprécie les comédies de Molière qui dépeignent la société parisienne (notamment « Tartuffe »), les tragédies de Racine et de Corneille. Par contre, alors que Gordon encense « Rodogune » de Corneille, l’Ingénu n’est pas sensible à ses vers et attribue le succès de la pièce à l’effet de mode. Ces trois chapitres ne font pas avancer l’intrigue, mais ils font place à une aventure intellectuelle. Chapitre 13 : Melle de Saint-Yves

(1631), ainsi que Médée (1635), sa première tragédie. Il revint plus tard à la comédie, notamment avec le Menteur (1643). D.Succès et controverses : Dans ses grandes tragédies des années 1640, Horace (1640), Cinna (1641), Polyeucte (1641) et Rodogune (1645), Corneille se montra davantage soucieux du respect des règles du théâtre classique, avec toutefois de notables exceptions. Durant ces années, il connut une carrière brillante, que vint couronner son élection à l'Académie française en 1648

redécouvre son œuvre. Il meurt en 1684. Le xvi i e siècle Œuvres Corneille a écrit 33 pièces, dont 9 comédies. Voici les principales. 1629 : Mélite, comédie. 1643 : P olyeucte*, tragédie. Le Menteur, comédie. 1631 : Clitandre, tragi-comédie. 1644 : Rodogune, tragédie. 1633 : La Galerie du Palais, comédie. 1651 : Nicomède, tragédie. 1634 : La Place royale, comédie. 1662 : Sertorius, tragédie. 1636 : L’Illusion comique, comédie. Le Cid*, tragi-comédie. 1674 : Suréna, tragédie. 1640 : Horace*, tragédie

proche parent des Corneille, ne le connaissait pas et ne le vit que peu de temps avant sa mort. Voilà pourquoi ce Corneille a été oublié dans le testament, puis débouté de sa réclamation. Au moins aura-t-il eu le bénéfice d’une représentation de Rodogune que les Comédiens-Français ont eu la générosité de donner à son profit. Mais le sort de mademoiselle Corneille n’en était pas plus assuré – la suite, qui relève, comme on sait, de la geste des générosités de Voltaire, est relatée dans la livraison

des Cinq Auteurs) | 1636 | L'Illusion comique | 1637 | Le CidL'Aveugle de Smyrne | 1640 | Horace | 1641 | Cinna ou la clémence d'Auguste | 1642 | Polyeucte | 1643 | La Mort de PompéeLe Menteur | 1644 | La suite du Menteur | 1645 | Rodogune, princesse des Parthes | 1646 | Théodore, vierge et martyr | 1647 | Héraclius, empereur d'Orient | 1650 | AndromèdeDon Sanche d'AragonLes triomphes de Louis le Juste | 1651 | NicomèdePertharite, Roi des Lombards | 1652 | Imitation de Jésus-Christ (traduction