École des femmes
Un entracte est fait pour séparer 2 actes. C’est une action qui se développe pour ménager l’attention. Elle permet aussi de cacher des faits déplaisants pour respecter la règle de bienséance. Mais elle peut aussi faire appel à l’implicite. Le spectateur doit donc deviné ce qu’il s’est passé durant cette pause. Dans la pièce de théâtre, une note est souvent donné pour que le lecteur puisse comprendre.
Le deus ex machina est une locution latine qui signifie « dieu issu de la machine ». Elle est employé dans le théâtre quand une personne arrive, d’une façon impromptue, à la fin de la pièce et par qui le dénouement s’effectue. L'expression peut être étendue à toute résolution d'histoire qui ne suit pas la logique interne du récit mais permet au dramaturge de conclure sa pièce de la manière qu'il désire. Elle peut, cependant, désigner au sens propre la simple représentation sur scène d’une divinité. Mais dans l’École des Femmes c’est surtout le fait de comprendre la jeunesse d’Agnès que le deus ex machina s’effectue et permet donc de finir la pièce.
SCÈNE 3 :
Comme nous l’avons vu, L’École des Femmes contient de nombreux quiproquo dans tout le temps de la pièce. Mais le quiproquo qui occupe une place centrale dans cette scène est dû au nom d’Arnolphe. En effet, Horace pense qu’il existe d’une part Arnolphe et de l’autre Monsieur de La Souche. C’est la même chose pour Agnès. Or là, ces deux personnages apprennent enfin qu’Arnolphe et Monsieur de La Souche ne forme qu’un et même personnage. La fin de ce quiproquo,qui est le quiproquo principal de la pièce, annonce la fin de la pièce. En effet cette identité était la plus cachée car la plus problématique pour Arnolphe.
SCÈNE 4 :
Cette scène est capitale pour la pièce. En effet Arnolphe explique enfin ses véritables sentiments à Agnès. Il essaye tant bien que mal d’avouer ce qu’il ressent. Mais même avec ses mots, il n’arrive pas à convaincre Agnès de le choisir. Agnès choisit donc Horace. Mais